Le Forum des femmes leaders pour un plan d'action effectif et efficace sur les changements climatiques Co-organisé par Marie Robinson ancienne Présidente d'Islande et Onufemme a enregistré la participation de Michelle Bachelet, Présidente du Chili et celle de 5 anciennes présidentes et premières ministres notamment Gro Harlem Bruntland de Norvège, Tarja Halonen de Finland, Julia Gillard d Australie, Joyce Banda du Malawi, et Aminata Touré du Senegal.
L'événement avait pour objectif de mobiliser le leadership des femmes au niveau mondial pour que des actions effectives soient prises qui prennent en compte la spécificité des femmes qui le plus souvent subissent plus durement les contrecoups des changements climatiques notamment au niveau des communautés les plus démunies. Ces femmes qui ont joué des rôles de premier plan dans leurs pays se veulent les porte-voix des millions de femmes sans voix souvent négligées voire oubliées dans les négociations sur les changements climatiques. A cette rencontre ont aussi participé des leaders jeunes et des représentants des organisations communautaires venant de diverses parties du monde.
Aminata Toure a soulevé essentiellement la question qui fâche à savoir que les pays pollueurs doivent mettre la main à la poche et faire preuve de solidarité envers les pays en voie de développement qui du fait de leur faible niveau d'industrialisation ont peu de responsabilité dans les changement climatiques.
L'événement avait pour objectif de mobiliser le leadership des femmes au niveau mondial pour que des actions effectives soient prises qui prennent en compte la spécificité des femmes qui le plus souvent subissent plus durement les contrecoups des changements climatiques notamment au niveau des communautés les plus démunies. Ces femmes qui ont joué des rôles de premier plan dans leurs pays se veulent les porte-voix des millions de femmes sans voix souvent négligées voire oubliées dans les négociations sur les changements climatiques. A cette rencontre ont aussi participé des leaders jeunes et des représentants des organisations communautaires venant de diverses parties du monde.
Aminata Toure a soulevé essentiellement la question qui fâche à savoir que les pays pollueurs doivent mettre la main à la poche et faire preuve de solidarité envers les pays en voie de développement qui du fait de leur faible niveau d'industrialisation ont peu de responsabilité dans les changement climatiques.
La cellule de communication de madame Aminata Touré
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