Tout ce qu’il faut exiger pour que le Sénégal redevienne la grande démocratie qu’il a toujours été, c’est de « respecter la constitution ». Cela passe nécessairement par le respect du calendrier électoral avec « un scrutin qui doit se tenir à date échue », selon Aïda Mbodj, présidente du parti And Saxal Liggey et membre de la conférence des leaders de Yewwi Askan Wi.
Au moment où des acteurs parlent parlent d’une « impossibilité » de la tenue de la présidentielle le 25 février prochain, Aïda Mbodj ne veut pas être divertie par des subterfuges. « Tout autre sujet différent de la tenue de cette élection n’est que futilité », a-t-elle scandé lors du point de presse des leaders de la coalition ce matin.
Au moment où des acteurs parlent parlent d’une « impossibilité » de la tenue de la présidentielle le 25 février prochain, Aïda Mbodj ne veut pas être divertie par des subterfuges. « Tout autre sujet différent de la tenue de cette élection n’est que futilité », a-t-elle scandé lors du point de presse des leaders de la coalition ce matin.
Autres articles
-
Crous-SS/Dette de 6 milliards : «Nous avons trouvé plusieurs dossiers de maires qui avaient des CDI au sein du Crous-SS » (Jean Birane Gning, Dg)
-
État des lieux : Le Crous-Sine Saloum un temple du « tok muy dokh »
-
PDF: « Le communiqué de la gendarmerie n’honore pas la corporation »
-
Droit des femmes et des enfants : l'Association des Juristes Sénégalaises entend renforcer les acquis tout en s’adaptant aux nouveaux défis
-
Arrestation de Bougane / les faits selon Thierno Bocoum : « Nous avons tous été violentés. Il n’y a pas eu de rébellion, ni de refus d’obtempérer, mais une arrestation musclée ».