Le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du Territoire, Abdoulaye Diouf Sarr, a fait part jeudi de son ambition de travailler à faire figurer Dakar "parmi les capitales les plus propres d’Afrique".
"Présentement, nous ne sommes plus dans le temps de la parole mais de l’action. La situation de référence n’est pas reluisante et honorable pour notre capitale (….). Le travail a démarré et notre ambition est faire en sorte que demain notre capitale figure parmi les plus propres d’Afrique", a-t-il déclaré.
Abdoulaye Diouf Sarr s’adressait à des journalistes, à la fin d’un comité régional de développement (CRD) spécial sur le programme de gestion des déchets solides urbains de la région de Dakar
Il s’est félicité du démarrage du plan d’urgence mis en place par l’Unité de coordination de la gestion des déchets solides (UCG) dans la capitale sénégalaise.
Cette structure avait été chargée, en octobre dernier, de la gestion des déchets solides urbains dans la région de Dakar, en lieu et place de l’Entente Cadak-Car.
Selon Abdoulaye Diouf Sarr, la situation de Dakar "était préoccupante" en termes de salubrité, ce qui a amené les autorités à confier à l’UCG la gestion des ordures dans la capitale sénégalaise.
"Aujourd’hui, l’heure est à la mobilisation et au travail. La mission est de sortir Dakar de son insalubrité et de manière durable. Nous devons nous donner les moyens de réussir cette mission", a dit le ministre.
Selon lui, l’UCG a engagé le travail de nettoiement de la capitale depuis le 11 novembre dernier, avec le lancement d’une opération coup de poing. "Déjà, a-t-il indiqué, les populations de Dakar notent une nette amélioration’’ et cette opération "se poursuit et touchera tous les quartiers".
"Cependant, notre responsabilité commune est d’aller au-delà, de faire mieux et plus. Il nous faut mettre en place un système efficace et durable de gestion des déchets solides", a insisté le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du territoire.
Il a demandé au coordonnateur de l’UCG, Ibrahima Diangne, de "travailler étroitement avec les maires", dans la mise en oeuvre du programme de gestion des déchets solides urbains dont elle a désormais la charge.
"L’Etat met chaque année des milliards de francs dans le secteur du nettoiement. Malgré tout, les acteurs ne sont pas satisfaits, les populations non plus’’, a-t-il fait valoir.
"Il y a donc lieu de bâtir un nouveau système capable d’assurer à nos concitoyens un cadre de vie sain", a suggéré le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du territoire.
"Présentement, nous ne sommes plus dans le temps de la parole mais de l’action. La situation de référence n’est pas reluisante et honorable pour notre capitale (….). Le travail a démarré et notre ambition est faire en sorte que demain notre capitale figure parmi les plus propres d’Afrique", a-t-il déclaré.
Abdoulaye Diouf Sarr s’adressait à des journalistes, à la fin d’un comité régional de développement (CRD) spécial sur le programme de gestion des déchets solides urbains de la région de Dakar
Il s’est félicité du démarrage du plan d’urgence mis en place par l’Unité de coordination de la gestion des déchets solides (UCG) dans la capitale sénégalaise.
Cette structure avait été chargée, en octobre dernier, de la gestion des déchets solides urbains dans la région de Dakar, en lieu et place de l’Entente Cadak-Car.
Selon Abdoulaye Diouf Sarr, la situation de Dakar "était préoccupante" en termes de salubrité, ce qui a amené les autorités à confier à l’UCG la gestion des ordures dans la capitale sénégalaise.
"Aujourd’hui, l’heure est à la mobilisation et au travail. La mission est de sortir Dakar de son insalubrité et de manière durable. Nous devons nous donner les moyens de réussir cette mission", a dit le ministre.
Selon lui, l’UCG a engagé le travail de nettoiement de la capitale depuis le 11 novembre dernier, avec le lancement d’une opération coup de poing. "Déjà, a-t-il indiqué, les populations de Dakar notent une nette amélioration’’ et cette opération "se poursuit et touchera tous les quartiers".
"Cependant, notre responsabilité commune est d’aller au-delà, de faire mieux et plus. Il nous faut mettre en place un système efficace et durable de gestion des déchets solides", a insisté le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du territoire.
Il a demandé au coordonnateur de l’UCG, Ibrahima Diangne, de "travailler étroitement avec les maires", dans la mise en oeuvre du programme de gestion des déchets solides urbains dont elle a désormais la charge.
"L’Etat met chaque année des milliards de francs dans le secteur du nettoiement. Malgré tout, les acteurs ne sont pas satisfaits, les populations non plus’’, a-t-il fait valoir.
"Il y a donc lieu de bâtir un nouveau système capable d’assurer à nos concitoyens un cadre de vie sain", a suggéré le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du territoire.
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