Suite à l’exécution des 72 heures de grève décrétée par les chauffeurs de bus AFTU qui a paralysé le transport urbain de la capitale, les patrons de l’Association de Financement des professionnels du Transport Urbain sont sortis de leur mutisme. Lors d'une conférence de presse organisée ce 25 juillet 2023 au sein de leur siège, les patrons de l’AFTU n’ont pas eu besoin de porter des gants pour démentir et déconstruire les motifs de la grève de 72 heures des chauffeurs « TATA ».
Pour rappel, les chauffeurs TATA revendiquent entre autres le statut des chauffeurs, la revalorisation salariale et des conditions de travail précaire auxquelles ils font face dans ce secteur.
Ainsi, pour les patrons de l’AFTU, les chauffeurs ont tout faux. Par la voix de leur vice-président monsieur Ndongo FALL, la majeure partie des chauffeurs ont un contrat en bonne et due forme, « en atteste des bulletins de salaire et des contrats ».
Toujours selon les patrons d'AFTU, les chauffeurs sont bien payés selon les législations et des primes journalières leurs sont accordées ce qui n’est pas obligatoire.
À cet effet, pour éviter de paralyser davantage le transport urbain et de soulager les usagers, les associations de transport urbain affirment être ouvertes au dialogue avec les grévistes et avec les autorités compétentes.
Pour rappel, les chauffeurs TATA revendiquent entre autres le statut des chauffeurs, la revalorisation salariale et des conditions de travail précaire auxquelles ils font face dans ce secteur.
Ainsi, pour les patrons de l’AFTU, les chauffeurs ont tout faux. Par la voix de leur vice-président monsieur Ndongo FALL, la majeure partie des chauffeurs ont un contrat en bonne et due forme, « en atteste des bulletins de salaire et des contrats ».
Toujours selon les patrons d'AFTU, les chauffeurs sont bien payés selon les législations et des primes journalières leurs sont accordées ce qui n’est pas obligatoire.
À cet effet, pour éviter de paralyser davantage le transport urbain et de soulager les usagers, les associations de transport urbain affirment être ouvertes au dialogue avec les grévistes et avec les autorités compétentes.
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