Placé sous mandat de dépột à la date du 26 avril 2023 pour tentative de viol sur une déficiente mentale, sujette à des crises épileptiques, le médecin, chef de service de neurologie de l'hôpital de Ziguinchor sera jugé le 02 mai 2024. D’après le journal Libération son dossier ouvre d'ailleurs le bal des accusés du rôle de l'audience de la Chambre criminelle de Ziguinchor. Le scandale sexuel qui a défrayé la chronique en 2023 dans le Centre hospitalier régional de Ziguinchor, sera enfin jugé le 02 mai 2024.
Une affaire qui met en cause le medecin, chef de service de neurologie de l'hôpital régio-naide Ziguinchor, le Dr D.Ka. Il avait été placé sous mandat de dépôt à l'issue de son face-à-face avec le Procureur de la République. Son dossier était en instruction. Pour rappel, tout s'était passé le 17 avril 2023 quand, les éléments de la Brigade de recherches du commissariat de police de Ziguinchor, accompagnés du nommé P.Diédhiou, avait arrêté l'accusé.
« Le Dr D.Ka habite avec ma tante qui répond du nom de N.Atchikyti, déficiente mentale et suiette à des crises épileptiques. Cette dernière a été mise en rapport avec le Dr D.Ka, médecin neurologue en service au Centre hospitalier régional de Ziguinchor. C'est ce même jour, c'est-à-dire le 17 avril 2023, que le Dr Djibril Ka est venu rejoindre la fille dans sa chambre, à l'insu des habitants de la maison. C’est ainsi que vers 00 heure 30 mn, ils ont entendu des gémissements et des cris de la fille venant du salon.
Venus aux nouvelles, ils ont surpris le médecin neurologue, le Dr Djibril Ka, pantalon baissé en train de se débattre avec cette dernière qu'il a réussi à déshabiller. Il a été interpellé et mis à la disposition de la police», avait confié aux policiers enquêteurs, P. Diédhiou. La victime, entendue à son tour, affirmait : « Le Dr D.Ka est venu me rendre visite chez moi vers 00 heure et m'a trouvé dans le salon. A peine arrivé, alors qu'il n'y avait personne dans le bâtiment, il s'est attaqué à moi avant de me déshabiller par force. Il a baissé son pantalon par la suite avant de sortir son sexe pour me pénétrer. Ce sont mes cris qui ont alerté mon neveu qui, est aussitôt venue à mon secours», avait expliqué, à son tour, la victime N.Atchikyti aux limiers en charge de l'enquête.
Interrogé sur procès-verbal en présence de son avocat Me Kaoussou Kaba Bodian, le mis en cause, le Dr D.Ka avait nié avoir tenté de violer sa patiente. «Nous entretenons des relations amoureuses. J'ai été même provoqué par la fille qui s'est levée de son siège pour venir s'asseoir sur mes cuisses. Je nie avoir sorti mon sexe au moment des faits et d'avoir forcé à la pénétrer», avait dit aux enquêteurs le Dr Badji.
Une affaire qui met en cause le medecin, chef de service de neurologie de l'hôpital régio-naide Ziguinchor, le Dr D.Ka. Il avait été placé sous mandat de dépôt à l'issue de son face-à-face avec le Procureur de la République. Son dossier était en instruction. Pour rappel, tout s'était passé le 17 avril 2023 quand, les éléments de la Brigade de recherches du commissariat de police de Ziguinchor, accompagnés du nommé P.Diédhiou, avait arrêté l'accusé.
« Le Dr D.Ka habite avec ma tante qui répond du nom de N.Atchikyti, déficiente mentale et suiette à des crises épileptiques. Cette dernière a été mise en rapport avec le Dr D.Ka, médecin neurologue en service au Centre hospitalier régional de Ziguinchor. C'est ce même jour, c'est-à-dire le 17 avril 2023, que le Dr Djibril Ka est venu rejoindre la fille dans sa chambre, à l'insu des habitants de la maison. C’est ainsi que vers 00 heure 30 mn, ils ont entendu des gémissements et des cris de la fille venant du salon.
Venus aux nouvelles, ils ont surpris le médecin neurologue, le Dr Djibril Ka, pantalon baissé en train de se débattre avec cette dernière qu'il a réussi à déshabiller. Il a été interpellé et mis à la disposition de la police», avait confié aux policiers enquêteurs, P. Diédhiou. La victime, entendue à son tour, affirmait : « Le Dr D.Ka est venu me rendre visite chez moi vers 00 heure et m'a trouvé dans le salon. A peine arrivé, alors qu'il n'y avait personne dans le bâtiment, il s'est attaqué à moi avant de me déshabiller par force. Il a baissé son pantalon par la suite avant de sortir son sexe pour me pénétrer. Ce sont mes cris qui ont alerté mon neveu qui, est aussitôt venue à mon secours», avait expliqué, à son tour, la victime N.Atchikyti aux limiers en charge de l'enquête.
Interrogé sur procès-verbal en présence de son avocat Me Kaoussou Kaba Bodian, le mis en cause, le Dr D.Ka avait nié avoir tenté de violer sa patiente. «Nous entretenons des relations amoureuses. J'ai été même provoqué par la fille qui s'est levée de son siège pour venir s'asseoir sur mes cuisses. Je nie avoir sorti mon sexe au moment des faits et d'avoir forcé à la pénétrer», avait dit aux enquêteurs le Dr Badji.
Autres articles
-
Communique du conseil des ministres du Mardi 03 Décembre 2024
-
Nouvelle Assemblée Nationale: Les citoyens partagés entre scepticisme et attentes élevées
-
Liste des médias conformes: le CDEPS dénonce une décision unilatérale du ministère de la Communication
-
Installation de la 15e législature: " Les violations graves de la loi par la nouvelle majorité parlementaire"( Thierno Bocoum)
-
Orctis : la chute spectaculaire du capo de la drogue A. Bangoura et de son réseau criminel de cambriolages et de blanchiment après six années de traque