DAKARACTU.COM Lors de son face à face avec la presse, le Procureur général adjoint Amadou Seydi, a révélé les causes de la mort de l’étudiant Bassirou Faye.
D'après lui, « Bassirou a été tué par une balle qui a causé un traumatisme crânien et une hémorragie externe et interne. Ce sont les résultats communiqués par le Dr Victorino Mendez, qui a effectué l’autopsie de l’étudiant ».
Mieux, Amadou Seydi rassure : « la police scientifique nationale aidée par la police internationale, par exemple canadienne, américaine, feront une expertise balistique pour trouver exactement l’arme d’où provient la balle, l’angle de tir, la trajectoire de tir, et par conséquent identifier le tireur ».
Parlant du corps, le Procureur révèle ne pas vouloir polémiquer sur la question, mais il ne sera pas, pour le moment, restitué aux parents de l’étudiant, car les enquêteurs n’ont pas encore fini avec : « Nous ne voudrions pas leur rendre le corps et que par la suite l’enquête nécessite son exhumation. Ainsi, on préfère le garder jusqu'à ce que l’enquête soit finie ».
Sur la possibilité d’un tireur infiltré, Me Amadou Seydi déclare « toutes les armes sont déclarées et portent un nom. Qu’il soit policier ou infiltré, le résultat le montrera et il sera sévèrement sanctionné. Pour ça, n’ayez aucun doute »
Avant de conclure, Amadou Seydi a lancé deux appels en direction des étudiants : « les enquêteurs, pour faire leur travail, ont besoin d’aller sur la scène du crime. Les experts en balistique et la police scientifique devront retourner à l’université, alors mon appel est qu’il faudra que les étudiants gardent leur calme et permettent aux enquêteurs de faire leur travail dans la plus grande sérénité. S'ils veulent que justice soit faite, elle ne pourra s'exercer qu’après l’enquête qui, je le rappelle, ira jusqu’au bout.».
Son deuxième appel sera un appel à témoin. Le Procureur adjoint demande à toute personne témoin du crime, de se présenter à la Division des Investigations Criminelles pour faire son témoignage en toute sécurité. Il pense que les témoignages de ces personnes là, seront déterminants pour la suite de l’enquête...
D'après lui, « Bassirou a été tué par une balle qui a causé un traumatisme crânien et une hémorragie externe et interne. Ce sont les résultats communiqués par le Dr Victorino Mendez, qui a effectué l’autopsie de l’étudiant ».
Mieux, Amadou Seydi rassure : « la police scientifique nationale aidée par la police internationale, par exemple canadienne, américaine, feront une expertise balistique pour trouver exactement l’arme d’où provient la balle, l’angle de tir, la trajectoire de tir, et par conséquent identifier le tireur ».
Parlant du corps, le Procureur révèle ne pas vouloir polémiquer sur la question, mais il ne sera pas, pour le moment, restitué aux parents de l’étudiant, car les enquêteurs n’ont pas encore fini avec : « Nous ne voudrions pas leur rendre le corps et que par la suite l’enquête nécessite son exhumation. Ainsi, on préfère le garder jusqu'à ce que l’enquête soit finie ».
Sur la possibilité d’un tireur infiltré, Me Amadou Seydi déclare « toutes les armes sont déclarées et portent un nom. Qu’il soit policier ou infiltré, le résultat le montrera et il sera sévèrement sanctionné. Pour ça, n’ayez aucun doute »
Avant de conclure, Amadou Seydi a lancé deux appels en direction des étudiants : « les enquêteurs, pour faire leur travail, ont besoin d’aller sur la scène du crime. Les experts en balistique et la police scientifique devront retourner à l’université, alors mon appel est qu’il faudra que les étudiants gardent leur calme et permettent aux enquêteurs de faire leur travail dans la plus grande sérénité. S'ils veulent que justice soit faite, elle ne pourra s'exercer qu’après l’enquête qui, je le rappelle, ira jusqu’au bout.».
Son deuxième appel sera un appel à témoin. Le Procureur adjoint demande à toute personne témoin du crime, de se présenter à la Division des Investigations Criminelles pour faire son témoignage en toute sécurité. Il pense que les témoignages de ces personnes là, seront déterminants pour la suite de l’enquête...
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