Plusieurs boursiers non répertoriés dans le fichier des bacheliers du Sénégal ont été décelés dans le rapport de la Cour des comptes durant la période 2008-2010, pendant laquelle les fonctions de directeur ont été successivement assurées par Ousseynou Goumbala et Joseph Sarr.
La comparaison de la table électronique des bénéficiaires d’allocations d’études à celle des bacheliers permet de s’assurer qu’une des conditions prévues par la réglementation, à savoir que l’étudiant est bien titulaire d’un diplôme du baccalauréat ou équivalent, est remplie.
L’application de cette TVI qui a porté sur les fichiers des aides et ceux des bourses (bourses ordinaires et bourses sociales) a permis d’identifier des anomalies dans les données du système.
Concernant les aides, la comparaison entre le fichier des bénéficiaires et le répertoire des bacheliers révèle cent soixante-dix-neuf (179) enregistrements de bénéficiaires d’aides non concordants sur un total de trente-huit mille neuf cent dix-huit (38 918) étudiants sur la période 2008 à 2010.
Pour les bourses, la comparaison laisse apparaître que deux cent quarante et un (241) enregistrements de boursiers ne se retrouvant pas sur la liste des bacheliers sur un total de soixante-quinze mille cent deux (75102) sur la période 2008 à 2010.
Toutefois, ces chiffres ne traduisent pas exactement le nombre de bénéficiaires d’allocations d’études non titulaires du bac. Ils permettent, cependant, de déceler l’existence dans le fichier des bourses d’une quantité non négligeable d’enregistrements erronés qui pourraient, pour certains, constituer des cas de fraude.
Les recherches effectuées dans la base de données du SGEE concernant les étudiants sénégalais à l’Etranger, montrent que trente-huit (38) d’entre eux ne figurent pas dans le fichier de l’Office du Baccalauréat.
Il résulte de ce constat que des étudiants peuvent être attributaires d’une allocation alors qu’il n’existe aucune preuve pour attester qu’ils sont titulaires du baccalauréat. Les types d’allocations constatés concernent particulièrement les aides et les bourses. Pourtant, l’Office du Baccalauréat dispose d’un fichier informatique qui répertorie tous les élèves admis à l’examen et qui fournit beaucoup de renseignements sur les récipiendaires. Mais ce fichier n’est pas disponible à la Direction des Bourses, alors qu’il aurait pu permettre aux agents de ce service d’effectuer un contrôle de corroboration.
La comparaison de la table électronique des bénéficiaires d’allocations d’études à celle des bacheliers permet de s’assurer qu’une des conditions prévues par la réglementation, à savoir que l’étudiant est bien titulaire d’un diplôme du baccalauréat ou équivalent, est remplie.
L’application de cette TVI qui a porté sur les fichiers des aides et ceux des bourses (bourses ordinaires et bourses sociales) a permis d’identifier des anomalies dans les données du système.
Concernant les aides, la comparaison entre le fichier des bénéficiaires et le répertoire des bacheliers révèle cent soixante-dix-neuf (179) enregistrements de bénéficiaires d’aides non concordants sur un total de trente-huit mille neuf cent dix-huit (38 918) étudiants sur la période 2008 à 2010.
Pour les bourses, la comparaison laisse apparaître que deux cent quarante et un (241) enregistrements de boursiers ne se retrouvant pas sur la liste des bacheliers sur un total de soixante-quinze mille cent deux (75102) sur la période 2008 à 2010.
Toutefois, ces chiffres ne traduisent pas exactement le nombre de bénéficiaires d’allocations d’études non titulaires du bac. Ils permettent, cependant, de déceler l’existence dans le fichier des bourses d’une quantité non négligeable d’enregistrements erronés qui pourraient, pour certains, constituer des cas de fraude.
Les recherches effectuées dans la base de données du SGEE concernant les étudiants sénégalais à l’Etranger, montrent que trente-huit (38) d’entre eux ne figurent pas dans le fichier de l’Office du Baccalauréat.
Il résulte de ce constat que des étudiants peuvent être attributaires d’une allocation alors qu’il n’existe aucune preuve pour attester qu’ils sont titulaires du baccalauréat. Les types d’allocations constatés concernent particulièrement les aides et les bourses. Pourtant, l’Office du Baccalauréat dispose d’un fichier informatique qui répertorie tous les élèves admis à l’examen et qui fournit beaucoup de renseignements sur les récipiendaires. Mais ce fichier n’est pas disponible à la Direction des Bourses, alors qu’il aurait pu permettre aux agents de ce service d’effectuer un contrôle de corroboration.
Autres articles
-
Magal Serigne Mbacké Madina : Touba se rappelle de la vie et l’œuvre d'un pur Soufi et Homme de Dieu dévoué
-
Sénégal - Inclusion numérique des femmes : la Fondation Sonatel au chevet de la classe démunie
-
Audit personnel enseignant : « Nous nous attendons à des sanctions fermes » (SG SAEMS)
-
MBACKÈ - Énorme problème foncier qui fait jaser et qui risque de faire couler beaucoup d’encre
-
Déchets toxiques et destruction de l'environnement: La population de Ndane exige la délocalisation de l'usine " Éléphant vert" et menace