Affaire Cheikh Yérim Seck - Aïssata Tall : le procès bat son plein.


Affaire Cheikh Yérim Seck - Aïssata Tall : le procès bat son plein.
DAKARACTU.COM  Renvoyé à ce jour, le procès de Cheikh Yérim Seck a cours actuellement devant le Tribunal des Flagrants Délits de Dakar. Accusé de viol,  M. Cheikh Yérim Seck répond en ce moment avec sérénité aux questions du juge. Les témoins de cette affaire se succèdent également. A l'extérieur du tribunal, amis et proches du directeur de publication de DAKARACTU sont venus apporter leur soutien. Parmi eux, il a été remarqué la présence d' El hadj Cheikh Ousmane Diagne, Pésident supranational du conseil supérieur de la Khadrya pour l'Afrique (Cska) lequel a indiqué qu'il était là pour témoigner à Cheikh Yérim Seck, son soutien inconditionnel. Rappelons qu'un prévenu n'est reconnu coupable que s'il est condamné par un Tribunal. Tant que la condamnation n'est pas tombée, l'intéressé est présumé innocent.
Mercredi 19 Septembre 2012



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54.Posté par rambi le 20/09/2012 02:19
un grand marabou féticheur de passage a dakar, toi ki a de probleme o foyer, toi l'homme ki ne bande pas, toi ki riske de perdre ta femme ou tn homme, toi ki souffre de kiss ou de fibrome, ki na pas d'enfant, toi ki fume la cigarette san cess, rambi tapel o miracle; tres fort pour tt vos problemes de vie , problemes conjuguaux car dans 1 bateau il ny a k1 seul capitaine,probleme de santé, de voyage, d'argent, de travail, de mariage etc.......ne ve tu pa etre le roi de ta forèt mn lion ne laisse pas ta place tu demeure roi de la forèt mm malade? il fait des miracles, une solution a ttes vos difficultés de vie tel 77 198 94 27.

53.Posté par diop serigne le 20/09/2012 02:17
on doi le pardone les filles c des bandies c un cou monte

52.Posté par prof le 19/09/2012 22:28
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51.Posté par Coaching le 19/09/2012 22:17
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50.Posté par bezou le 19/09/2012 22:14
il merite la prison ce cretin de y c s si y avait charia c est la pandaison pour lui ,niaka fayda tu avais arreter a epouser apres deux femmes non don tu t amusais av ec une fillette de 20 ans pour ton propre plaisir

49.Posté par Marwan le 19/09/2012 22:04
Où sommes-nous? Je ne condamne ni l'un ni l'autre, je les considère juste comme deux personnages affaiblis qui, à tort ou à raison cherchent à se démettre d'une situation accablante. Sûrement tous les deux regrettent leur acte. Mais ce regret ne représente rien face à l'humiliation qui les ronge au plus profond de leurs âmes. Ni l'un ni l'autre ne peut être gagnant de ce procès quelque soit son issu; le grand perdant est notre système éducatif si l'on qualifie nos deux personnages de grands intellectuels. Un intellectuel est ce maître de ses actes qui domine sa libido quelque soient les circonstances. Un intellectuel est ce personnage qui a appris à se résigner après une forfaiture.
Que mérite l'un ou l'autre? Bien entendu en dehors de toute considération religieuse et islamique en particulier.
Si les faits s'étaient dérouler au Nord Mali, le plus chanceux allait subir le chatiment des cents coups de fouet et le moins chanceux lapidé. Au sortir de ce procès chacun devrait s'imaginer dans l'une ou l'autre situation. Et alors, il pourra se considérant gagnant ou perdant.

48.Posté par Abdoullah le 19/09/2012 20:36
Je ne comprends pas cette chute vertigineuse de Cheikh Yerim Seck . Cela me rappelle ce que dit le grand philologue arabe al Harris qui disait dans son fameux maqamat : combien de grands hommes qui se sont battu pour accumuler tous les grades , honneurs et prestiges mais une fois arrivés au summum de la grandeur , ils sont tombés dans l'abîme sans fond de la désohonneur. Je me demande comment Cheikh Yerim renaîtra de ses cendres. Qu'Allah nous préserve de tous malheurs et calamités aminé!

47.Posté par zazou le 19/09/2012 20:17
mé yerim yaw sa lamégne bou reuy bi yeup ak sa diaye clase yaw iriweur gua ak violeur

46.Posté par Chamsidine aidara le 19/09/2012 20:17
Cheikh yirime est parmi les grand homme du pays il a montre ces comptence a tt l monde .Une petite fille de rien du tt ne peu pas gâche la vie Dun homme comme yirime il fau l'on Voi les chose et les loi une fille ki vien trouve un homme ds sa chambre c'est du viole .laisse!!!cheikh yirime libre sa place n'est pas o prison ya des gens ki le mérite pas yirime

45.Posté par zazou le 19/09/2012 20:15
ah yerim le violeur

44.Posté par SADIBOU DIATTA le 19/09/2012 20:01
trop de sexe dans les colonnes sénégalaises, oui les sénégalais aiment le sexe mais un peu de pudeur quand mm sa ne fait du mal à personne. Quant à yérim et aissata je condamne les deux, s'ils aimaient vraiment et n'étaient pas envahis par le désir qu'ils ressentaient l'un vis à vis de l'autre les faits auraient pris une autre tournure.

43.Posté par le citoyen le 19/09/2012 18:52
Si j étais juge j aurais pose une seule question à chacun des acteurs en leur demandant de se regarder en répondant.
M.Seck quels sentiments vous habitent présentement face à cette personne qui vous accuse d abus sexuelle
Mlle Tall ,votre supposé bourreau est en face de vous.Qu éprouvez vous comme sentiment et qu est ce que vous avez envie de lui dire

42.Posté par NGOR le 19/09/2012 18:48
Ngorois d'ici et de l'étranger, une lettre supposée émaner du chef de village Saliou SAMBA et imame Assane DIOP affirmant un soutien indéfectible de ngor dans toute son entité :habitants et autorités confondus à l'endroit de monsieur Cheikh Yerim SECK,journaliste senegalais accusé de viol et mis sous mandat de dépôt, circule dans des sites et est mise à la face du monde!
A quelle fin cette lettre a-t-elle été écrite?
Cette lettre est elle écrite avec le consentement de tous les segments du village?
Avons nous toujours eu ce reflexe de protection d'authentiques ngorois spoliés par des spéculateurs fonciers et trainés devant les tribunaux?
Au stade de nos investigation aucun éclairage ne nous a été apporté par les protagonistes de cette affaire!
Une affaire qui jette le trouble dans nos coeurs et consciences respectifs et affecte notre équilibre de ngorois soucieux de justice sociale,de dignité et d'honneur ,un legs que nos aieuls nous ont laissé ! et également par souci de protection de nos sceaux!
Nonobstant le droit pour tout ngorois à titre privé de soutenir CYS, nous refusons la démarche cavalière de nos autorités morales à qui nous vouons un respect pour les symboles! et voulons à travers cette pétition que nous vous soumettons montrer notre désaccord! pour que des correctifs et éclairages soient apportés!
Demandons à tous les ngorois partageant notre foi et lutte de signer cette pétition par le net!
Mettre tout simplement en commentaire" JE SIGNE"
PS :cette lettre a été redigée aprés concertation avec des amis et ainés avec qui nous partageons le même combat: l'élevation au plus haut point de ngor! NGOROIS UN JOUR, NGOROIS POUR TOUJOURS!!!!

41.Posté par Maty le 19/09/2012 18:25
Pfff n'i'porte quoi !!!!!! C'est choquant le soutien des chefs religieux et imams à CYS ,quand bien même il n'y aurait pas eu viol ,ce type est polygamme , père de famille et il va s'envoyer en l'air un samedi matin avec une minette de 20 ans !!!!!! C'est grave je trouve !!!!!!

40.Posté par xalassatie le 19/09/2012 18:22
Arretez ce cirque la , la fille etait consentante , sinon elle n'aurait jamais arrete de crier au secoures .
dans un pays ou on voit un marabout de 70 ans marie des filles de 16 ans et vous voulez crier au scandale sur une relation entre majeure . bayilenn nekk nafekh

39.Posté par JMC le 19/09/2012 18:18
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38.Posté par Mor DIOUF le 19/09/2012 17:56
Hi guys,

CYS n'a pas nié les faits. Il parle de consentement. Consentement ou pas il n'avait pas à aller dans cette auberge
avec une minette de 20 ans. Quand on se veut responsable on se doit de maitriser sa...libido. Au Sénégal malheureusement si on une petite renommée/popularité on se croit tout permis : on tire sur des minettes immatures, des femmes mariées dont les maris n'ont pas les moyens et d'autres conneries. Pouah.
Ce qui s'est passé est grave...personne ne doit le banaliser. Le droit doit être dit dans toute sa rigueur

37.Posté par pularr le 19/09/2012 17:48
nous sommes avec toi et te soutenons jusko bout cys

36.Posté par Vérité le 19/09/2012 17:46
Affaire Mlle Aïssatou Tall c/ Mr CheikhYérim Seck : le point de vue d’un juriste

Dans l’affaire Aïssatou Tall c/ CheikhYérim Seck, il n’y a pas eu de viol mais conjonction sexuelle réciproquement consentie entre deux personnes majeures de sexe opposé (qu’importe l’écart de la majorité d’âge entre les deux parties) et jouissant de la plénitude de leurs facultés mentales dans un lieu privé et discret à l’abri des regards et des mœurs.

Comment une jeune femme de 20 ans habillée a pu se faire dévêtir et ôter son linge intime (slip) sans opposer une résistance déterminée et farouche, sans crier et laisser des traces, stigmates et séquelles de griffures sur le corps de son présumé violeur ? D’ailleurs, les employés de l’auberge ne sont-ils pas vite venus s’enquérir de la situation lorsqu’il y a eu pénétration phallique et dépucelage à cause des cris, a fortiori ils auraient rappliqué à la phase préliminaire du flirt et du déshabillement vestimentaire si elle avait hurlé ? Quel est l’état de ses habits ? Avec quels habits a-t-elle pu quitter l’auberge si ceux-ci ont été arrachés et malmenés par le présumé violeur ? Comment le présumé auteur de viol sexuel a pu simultanément s’occuper à enfiler, peut-être, un préservatif à usage sexuel et en même temps user de force physique pour contrecarrer et contenir les velléités de résistance de sa potentielle victime qui disposait de la liberté de ses deux mains, ses bras, ses coudes, ses jambes, ses dents pour mordre et ses cordes vocales pour crier ? Comment un soi-disant génie primée au concours général, une nouvellement préinscrite à Montpellier pour des études supérieures a pu accepter de se rendre dans une auberge, pour un premier rendez-vous aussi galant, et de monter dans une chambre où elle aperçoit un homme torse nu sans redescendre aussitôt ? Pourquoi n’a-t-elle pas exigé qu’elle préfère attendre plutôt le monsieur à la salle d’attente publique ou dans toute autre pièce accessible au public ? Une femme qui est crédible et respectable n’a rien à faire dans la chambre d’un homme qu’elle vient, récemment, de connaître à peine. Ce n’est pas l’endroit le mieux indiqué pour faire ample connaissance, à moins de vouloir approfondir la curiosité de la découverte réciproque :…l’intimité !

En réalité, elle y est venue pour un but bien précis et a délibérément offert sa virginité même si elle a avisé son partenaire de son état de vierge néophyte mais n’a pas opposé une résistance même molle avant la pénétration phallique, puis a pris peur (remords et regrets postérieurs ?) quand un jour ses parents découvriraient son manque de vertu au moment du mariage ainsi que son futur mari. Elle a voulu se défaire de sa virginité en se faisant passer pour une victime comme çà, arrivée à Montpellier, elle pourra continuer ses frasques sexuelles loin de la surveillance austère de ses parents et, si par mégarde, elle vient à tomber enceinte, elle pourra faire un tour dans les pays voisins de la France et se faire avorter en toute tranquillité ! Donc il lui fallait se défaire au préalable de cette virginité à Dakar avec un homme célèbre et feindre la victime !

Par rapports aux cris aigus de soprane prétendument de détresse et d’alerte au secours, il est très facile de les expliquer et justifier :
- d’abord, le premier rapport sexuel d’une fille ou d’une femme vierges est toujours douloureux quand il s’agit de la perte de l’hymen car l’étroitesse de son intimité n’a jamais été habituée à des pénétrations fréquentes pour un élargissement, a fortiori pour les femmes habituées à la conjonction sexuelle qui, à chaque relation avec un partenaire, procèdent à la lenteur et de petites poussettes de la pénétration phallique pour que l’appareil féminin constricteur se réapproprie progressivement à l’accoutumance ;

- ensuite, il y a le facteur possible des mensurations de l’appareil génital mâle et le facteur du passage rapide et précipité à l’acte sexuel alors que l’organe féminin, peut être, n’a pas encore été préparé aux préliminaires, notamment l’autolubrification vaginale qui signe l’élargissement progressif de l’orifice féminin en vue d’une facilitation glissée de la pénétration phallique.

Les cris perçants entendus par quelques employés du personnel (lequel positionné à l’extérieur ne peut témoigner avec certitude sur ce qui s’est réellement passé intra muros dans la chambre) se justifient, peut être, par ce qui précède au vu de l’inexpérience de la fille qui appréhende avec crainte son premier acte sexuel.
Par suite, on pourrait courir le risque de l’instrumentalisation de la justice pour en faire une affaire de corporation où les magistrats se rendent des services entre eux. Ce qui y conforte est le choix porté sur la personne d’un bleu de la profession en la personne d’un tout nouveau magistrat sorti fraîchement de sa formation judiciaire à l’ENA pour tenir les rênes de l’audience de flagrance à propos de cette affaire d’espèce. Sera-t-il dans le confort de pouvoir supporter le regard perçant et, nonchalamment, influent du père de la partie civile, un rompu à la tâche judiciaire, même si celui-ci serait confiné au rang du public, en plus d’une possibilité qu’il soit témoin à charge ? Ne sera-t-il pas plutôt enclin à être timoré pour ne pas hypothéquer l’avancée de sa carrière qu’il entame précocement et faire peser la balance en faveur d’une solidarité corporatiste ? Si le père fait tout un plat, c’est pour régler le compte à l’entêtement de Mr Cheikh Yérim Seck d’avoir refusé d’obtempérer à cesser de fréquenter sa fille. Au plus profond de lui, ce père et magistrat chevronné sait bel et bien qu’un juriste-journaliste célèbre comme l’indexé ne va pas ternir sa réputation avec un viol alors que certainement des femmes voudraient bien partager sa couche, comme c’est connu au Sénégal.
Il y a eu donc bien consentement et la fille (influencée ?) semble, avec froideur, faire volte-face en s’appuyant sur la base de précédents judiciaires et sociaux. Lesquels ? Mathiou et compagnie piégés par des filles mineures au corps précoce de femmes, l’affaire des fausses auto-stoppeuses qui font des chantages, l’affaire de la fille manipulée par sa mère et qui se disait enceinte de son père : mensonge éventé après accouchement et test d’ADN, l’affaire de filles et femmes qui simulent la recherche d’un travail de ménagère pour pouvoir ensuite désister après avoir mémorisé l’agencement et la décoration des pièces d’une maison sur la base desquels elles font des chantages à des hommes mariés ou vivant seuls, l’affaire de Dominique Strauss-Kahn à New York éventée, enfin l’affaire parisienne de l’avocat El Hadji Diouf, et tant d’autres affaires de l’esprit fécond en imaginations féminines. Donc Mlle Aïssatou Tall semble s’être inspirée du prétendu viol de l’avocat sénégalais en France et, sachant que si elle perdait sa virginité en France la justice française finira par démasquer son stratagème avant même le procès pénal, alors elle choisit délibérément de perdre sa virginité au Sénégal en comptant sur le rang et sur le statut de magistrat de son père et en feignant la stigmatisation de victime au « sexe faible » pour émouvoir la sympathie de l’opinion publique sénégalaise malléable et manipulable. Cette fille s’est défaite de sa virginité qui était un frein à sa conception de l’émancipation mais en même temps elle ne voulait pas heurter mais tenait à préserver l’apparence éducationnelle des coutumes et traditions de ses parents austères pour ne pas les décevoir et ne pas être considérée comme une fille de la semaine à petite vertu. C’est le modus operandi de cette cabale : il lui fallait un célèbre pigeon pour un scandale “Peopleˮ retentissant à la Nafissatou Diallo ou à la Monica Lewinsky pour berner ses parents avant de pouvoir quitter le Sénégal pour Montpellier car si tel n’était pas le cas son austère père aurait peut-être, pour la punir, mis fin à ses ambitieux rêves à Montpellier.

Arrêtons nous sur le cas parisien de l’avocat et député sénégalais : en France, la justice ne se laisse pas facilement démonter par des accusations de viol, c’est comme çà qu’elle a pu démasquer les mensonges de la fausse victime de l’avocat sénégalais. Cette affaire parisienne est similaire à celle de Yérim Seck et les deux affabulatrices sont des personnes majeures : la seule différence est que, au Sénégal, on a trop tendance à accorder foi à tout ce que dit la gent féminine sans isoler l’ivraie de la nuisance manifeste et délibérée du bon grain de la vérité. On donne toujours tort aux hommes (hélas beaucoup d’hommes sont en prison pour accusation fallacieuse sur la base d’une seule version prise en compte…celle féminine) et pourtant devant les enquêteurs, Yérim Seck a accepté l’humiliation de se mettre nu comme un ver de terre pour prouver qu’il n’y a pas lutte, griffures, écorchures, éraflures si sa prétendue victime avait vraiment opposé résistance.

Devant une procédure d’enquête de police judiciaire lorsqu’il est impossible de démêler le problème avec des parties qui campent sur leurs positions, la police judiciaire refile obligatoirement la patate chaude au procureur de la République. Au niveau de ce dernier lorsqu’il délègue à un de ses substituts, celui-ci préfère fréquemment inculper et placer sous mandat de dépôt sans trop se poser de questions plutôt que de courir le risque d’être désavoué par sa hiérarchie (encore la prudence excessive du magistrat pour l’avancée dans la carrière). C’est le système bien sénégalais, contrairement à l’affaire parisienne de l’avocat sénégalais. Maintenant à charge pour le juge de première instance de trancher le litige (le bleu de la magistrature cité plus haut dans l’affaire d’espèce) entre les colitigants.

Aujourd’hui, la nouvelle génération des filles et des jeunes femmes considère la virginité comme un poids lourd et un frein à leur liberté sexuelle. C’est connu ! Yérim Seck s’est fait piégé et toute la gent masculine est en péril face à ce genre de filles et femmes à l’esprit très raffiné dans le machiavélisme !
Cheikh Yérim Seck, quoique victime d’une machination, n’en sortira pas pour autant indemne du point de vue de sa réputation ternie. Par contre, la jeune femme s’en sortira sans frais comme c’est fréquent au Sénégal et son père gloussera intérieurement de joie de voir le têtu courtisan irrémédiablement marqué à vie. Comme si Dieu et le jugement dernier n’existent plus lorsqu’il se regardera devant un miroir et s’adonnera à ses 5 prières quotidiennes (Subar, Tisbar, Takusaan, Timis et Geewee) ! Ah, l’aveuglement subjectif de l’amour parental ! Le comble, c’est que cette “fille à papa” a été exfiltrée vers Montpellier et la préinscription universitaire devient une bouée de sauvetage quant à la problématique de la mauvaise foi ou non. Il convient de revisiter, dans une finalité prospective, les règles procédurales judiciaires en mettant fin à la non présence de la partie civile lors du procès ou alors qu’elle soit obligée à se présenter à date échue pour la manifestation de la vérité. Au surplus, il est dans l’intérêt de la partie défenderesse d’exiger une contre-expertise dudit certificat médical par le biais d’une commission rogatoire adressée à la justice française car l’éloignement précipité de la partie civile dans l’hexagone semble suspect. Il faut verrouiller cette boîte de Pandore dont use et abuse la gent féminine pour accuser, à tout bout de champ, des hommes sans frais en retour. C’est trop facile de retenir un homme dans les liens de la prévention carcérale au Sénégal sur la base des seules allégations unilatérales de la femme. Où sont la parité, l’égalité, l’équilibre et l’éthique entre justiciables ?
Pour une démarche toujours prospective d’une bonne justice équitable et équilibrée, on pourrait restreindre la liberté de circuler et de voyager en confisquant, peut-être, les documents de voyage (passeport…) le temps de vider l’affaire mais accorder le bénéfice de la liberté provisoire et du contrôle judiciaire à l’homme, partie défenderesse, si l’on accepte que la partie civile puisse s’évaporer dans la nature ou s’exfiltrer loisiblement.

La douzième législature de l’Assemblée nationale du Sénégal est interpellée pour des propositions de loi au cas où l’Exécutif ne prend pas des projets de loi allant dans ce sens car les femmes bénéficient trop de facilités judiciaires en matière de contentieux. Et mieux c’est une femme, Mme Aïda Mbodji, actuelle députée libérale et démocrate de la 12ème législature, qui demandait à la défunte 11ème législature lors d’un passage à l’Assemblée nationale de faire très attention à ces filles vicieuses qui s’ingénient à piéger la renommée d’hommes célèbres et argentés, reconnaissant ainsi qu’il y a des pratiques peu orthodoxes qui se font sous nos cieux sénégalais.
C’est sous ce même entrain qu’il y a lieu de ranger le prétexte fourre-tout de l’incompatibilité d’humeur pour se débarrasser d’un mari en inventant des violences pour l’abus de pensions alimentaires et les conséquences du divorce en cas d’option monogamique ou polygamique limitée ou non. En effet, l’homme qui a contracté à l’option monogamique est enfermé jusqu’à sa mort dans celle-ci même s’il a eu à subir une contrainte morale (chantage de désistement au mariage, menaces de la promise) émanant de la femme pour qu’il souscrive à cette option, avant le passage devant l’Officier de l’état civil. Toujours dans la prospective, il serait intéressant de procéder à l’application réciproque de l’option du statut conjugal (sauf consentement mutuel des parties en couple ou divorcés à se libérer de l’option souscrite pour une autre) car une femme vous enferme dans une option monogamique et demain, après le divorce, elle ne se gênera pas pour se retrouver dans un foyer polygamique et même revenir à satiété dans un mariage monogamique autant de fois qu’elle le souhaite, comme un oiseau marabout voyageur qui picote partout. Ainsi, la question de l’option au statut conjugal mettra à égalité le genre humain, plus personne ne pourra souscrire une autre option pour un autre mariage après avoir enfermé son ex-partenaire dans la bastille d’une option conjugale, sauf s’il y a consentement mutuel pour se libérer de l’option précédente.

En conclusion, le revers de la médaille pour la jeune femme Aïssatou Tall c’est la voie de droit offerte à Cheikh Yérim Seck de servir une citation directe à partie civile pour engager soit sa responsabilité civile pour dénonciation téméraire, soit sa responsabilité pénale pour dénonciation calomnieuse. Et même l’État, du fait de sa justice, prompt, à tort et à travers, à toujours faire droit et à donner raison à la gent féminine en emprisonnant des hommes victimes de cabale, pourrait voir sa responsabilité engagée pour mauvais fonctionnement du service public de la justice lors d’un recours administratif de plein contentieux devant la chambre administrative de la Cour Suprême. C’est pour éviter cette déconvenue que le tribunal parisien de Versailles a relaxé, récemment, l’ex-international français de football, Claude Makélélé, des accusations de violences portées à son encontre par son intrigante ex-petite amie. Et ce tribunal est allé jusqu’à retenir contre cette affabulatrice le délit d’abus de constitution de partie civile, en sus d’une amende.
Je doute fort que Cheikh Yérim Seck envenime les choses et usant de son droit de recours et de réplique. Et pourtant il est parfois recommandé de rendre les coups pour que ce genre de mauvaise graine féminine sache qu’on ne peut impunément salir la dignité des gens en usant de subterfuges judiciaires pour solder des comptes domestiques.

35.Posté par babacar le 19/09/2012 17:42
ce que l'islam condamne primo c'est l'adultère que Cheikh Yérim a commise. rien que ça il mérite de payer.

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