Ce mercredi 20 Novembre 2019 marque la commémoration du 30e anniversaire de la « journée mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant. Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde.
Cette convention, adoptée par les Nations Unies en 1989, doit être considérée comme une opportunité pour les acteurs qui s’intéressent à la question de l’Enfant, de se retrouver autour d’un idéal qui est « celui de la mobilisation des ressources » pour mieux prendre en considération la question liée à la liberté et à l’épanouissement des enfants.
Selon Ramatoulaye Ndao de la cellule d’appui et de protection des enfants, à l’occasion de cette journée, « il est important d’inclure les enfants dans le droit de la participation notamment dans les débats, mais aussi les impliquer dans le choix des émissions, etc… ».
Cette convention, qui est le premier instrument juridique international du reste le plus ratifié, s’octroie comme principes fondamentaux : l’intérêt supérieur de l’enfant, le principe de non-discrimination, l’enfant devant être un sujet de droit et non un objet. Cependant, le plus important de tous ces aspects reste « la participation des enfants dans des espaces d’échanges, de communications etc... »
Toutefois, la modernisation des Daaras est une réponse pour la prise en charge de cette question de retrait et de réinsertion des enfants de la rue. Le président de la République a d’ailleurs donné des directives dans ce sens. C'est donc une question qui sera appréhendée par les différents acteurs autour du ministère de tutelle. Et cette démarche partenariale pourrait certainement aboutir à d’éventuelles solutions qui verront enfin « le sourire des enfants ».
Cette convention, adoptée par les Nations Unies en 1989, doit être considérée comme une opportunité pour les acteurs qui s’intéressent à la question de l’Enfant, de se retrouver autour d’un idéal qui est « celui de la mobilisation des ressources » pour mieux prendre en considération la question liée à la liberté et à l’épanouissement des enfants.
Selon Ramatoulaye Ndao de la cellule d’appui et de protection des enfants, à l’occasion de cette journée, « il est important d’inclure les enfants dans le droit de la participation notamment dans les débats, mais aussi les impliquer dans le choix des émissions, etc… ».
Cette convention, qui est le premier instrument juridique international du reste le plus ratifié, s’octroie comme principes fondamentaux : l’intérêt supérieur de l’enfant, le principe de non-discrimination, l’enfant devant être un sujet de droit et non un objet. Cependant, le plus important de tous ces aspects reste « la participation des enfants dans des espaces d’échanges, de communications etc... »
Toutefois, la modernisation des Daaras est une réponse pour la prise en charge de cette question de retrait et de réinsertion des enfants de la rue. Le président de la République a d’ailleurs donné des directives dans ce sens. C'est donc une question qui sera appréhendée par les différents acteurs autour du ministère de tutelle. Et cette démarche partenariale pourrait certainement aboutir à d’éventuelles solutions qui verront enfin « le sourire des enfants ».
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