DAKARACTU.COM En politique, les amitiés ne sont pas toujours sincères car elles sont déterminées le plus souvent par des intérêts conjoncturels qui ne résistent pas aux caprices et autres aléas de l’histoire. Les rapports se nouent et se dénouent au gré des situations et des opportunités. Il y a donc lieu de nuancer le jugement en parlant de camaraderie politique plutôt que d’amitié politique. Mais, enfin… Ces termes ont des variables selon les types de relations entre les hommes et en fonction du niveau des liens qui les unissent. Pour ainsi dire, c'est un truisme de le dire, REWMI, entre autres partis alliés de l'APR, peut, du jour au lendemain, devenir son adversaire politique.
Cela dit, avec la polémique du moment, c'est à dire ce qu'il est convenu d'appeler "la traque des biens mal acquis", il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître que cela n'en demeure pas moins salutaire. Car, relevant de la demande sociale du commun des Sénégalais. Mais, ils sont légion à croire mordicus que ce sont les partis alliés, particulièrement les aguerris à la politique politicienne, en l'occurrence Niass, Dansokho ou un Bathily qui "mènent leur petit jeu". En clair, ces "papys politiques" pousseraient, en catimini, Macky "à commettre des erreurs". A quelles fins ? Ils récolteraient ensuite les retombées politiques ; une fois hors de l'ossature gouvernementale. Car, le compagnonnage entre Macky et ses alliés ne sera pas, du tout alors éternel. Ils finiront par prendre un de ces quatre le Macky, à l'image d'un certain Ibrahima Fall.
En tous les cas, Macky, qui semble avoir l’étoffe d'un chef, n'est pas sans savoir qu'une erreur politique, si minime soit-elle, se paye cash.
Cela dit, avec la polémique du moment, c'est à dire ce qu'il est convenu d'appeler "la traque des biens mal acquis", il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître que cela n'en demeure pas moins salutaire. Car, relevant de la demande sociale du commun des Sénégalais. Mais, ils sont légion à croire mordicus que ce sont les partis alliés, particulièrement les aguerris à la politique politicienne, en l'occurrence Niass, Dansokho ou un Bathily qui "mènent leur petit jeu". En clair, ces "papys politiques" pousseraient, en catimini, Macky "à commettre des erreurs". A quelles fins ? Ils récolteraient ensuite les retombées politiques ; une fois hors de l'ossature gouvernementale. Car, le compagnonnage entre Macky et ses alliés ne sera pas, du tout alors éternel. Ils finiront par prendre un de ces quatre le Macky, à l'image d'un certain Ibrahima Fall.
En tous les cas, Macky, qui semble avoir l’étoffe d'un chef, n'est pas sans savoir qu'une erreur politique, si minime soit-elle, se paye cash.
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