Le premier TGV africain circule en Afrique du Sud


Le premier TGV africain circule en Afrique du Sud
Il relie notamment l’agglomération de Johannesbourg à la capitale Prétoria

Le second tronçon du premier train à grande vitesse en Afrique a été mis en circulation mardi dernier en Afrique du Sud. Il relie les villes de Pretoria et de Johnnesbourg.
Le premier train à grande vitesse (TGV) africain circule depuis le 2 août dernier en Afrique du Sud. Un premier tronçon, entre l’aéroport international O.R. Tambo et le centre d’affaires de Johannesbourg, avait été ouvert pour la Coupe du monde football en juin 2010. Le nouveau TGV a pour ambition de réduire la circulation routière entre Johannesbourg, centre économique de l’Afrique du Sud et capitale de la province du Gauteng, et Prétoria, la capitale administrative du pays. Chaque jour, 300 000 véhicules transitent sur l’autoroute reliant les deux villes. L’agglomération de Johannesbourg compte parmi les dix les plus congestionnées dans le monde, a indiqué Barbara Jensen, porte-parile du projet, selon l’AFP. Il faut parfois « plus de 2h et demi » pour relier Johannesburg à Prétoria (Tshwane).

De Johannesbourg à Prétoria en moins d’une heure

Le Gautrain, qui tire son nom de Gauteng, s’étend sur 77 km et compte 10 stations. Toutefois, le tronçon n’est pas encore entièrement exploitable, notamment les 6 km entre Rosebank et Park, dans le centre-ville de Johannesbourg. La totalité de la ligne devrait être opérationnelle d’ici la fin de l’année. Pour l’heure, le TGV relie Hatfield, un quartier de Pretoria, à Rosebank en 38 minutes. en voiture, il faut plus d’une heure en voiture. Le ministre sud-africain des Transports Sibusiso Ndebele, qui a emprunté le train mardi dernier, a affirmé que sa mise en service marquait « une nouvelle ère » pour les transports publics sud-africain.

L’exploitation et la maintenance du réseau ont été confiées pour 15 ans à RATP Dev, la filiale de la La Régie autonome des transports parisiens (RATP) par le consortium franco-canadien Bombela. Ce dernier, dont fait partie le canadien Bombardier tranport, a conçu et financé le projet à hauteur de 20% (l’Etat sud-africain a financé les 80% restants). Le TGV a coûté 25,4 milliards de rands (2,6 milliards d’euros).

( Avec Afrik.com ) 
Dimanche 7 Août 2011




1.Posté par S.M.G le 07/08/2011 10:48
Voila un exemple de developpement, ils nous faut au Senegal des visionaires qui savent realiser de tel projet mais pas Wade-Voleurs. Wasalaam

2.Posté par dooffff le 07/08/2011 18:17
yes we can!mais il faut changer la maniere de gouverner...pourquoi pas au senegal?YES WE CAN

3.Posté par milo le 07/08/2011 23:24
Je veux pas jouer au rabat-joie les gars mais un TGV à dakar (est pas pour demain car le transport ferroviaire au
Senegal est trés mal géré et la volonté politique au dela des moyens financiers colossaux que necessite la mise en circulation d'un tgv manque à l'appel

4.Posté par milo le 07/08/2011 23:25
Je veux pas jouer au rabat-joie les gars mais un TGV à dakar c'est pas pour demain car le transport ferroviaire au
Senegal est trés mal géré et la volonté politique au dela des moyens financiers colossaux que necessite la mise en circulation d''un tgv manque à l''appel

5.Posté par Bob le 08/08/2011 21:04
Chers compatriotes, le Gautrain n’est pas un train à grande vitesse (TGV) car sa vitesse maximale de conception est de 160 km/h. La grande vitesse ferroviaire commence à partir de 250 km/h. Il s’agit plutôt d’un « mass rapid transit railway”. Je suis présentement en Afrique du Sud et suis du métier.



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