L’ancien ministre de la Communication, auteur d’une prouesse électorale remarquable à Kédougou à l’occasion ces Législatives, profite de la tribune de « Dakaractu » ce jeudi, pour livrer les secrets d’une victoire qui a échappé aux projections des augures.
Expliquant la déroute des politologues du dimanche surpris par sa percée, il renseigne : « Il y a deux sortes de leader : y a des leaders qui sont fabriqués par la presse et qui sont très souvent visibles sur les plateaux ; et il y’en a qui sont fabriqués par leurs communautés. Je n’ai jamais cessé de me battre pour Kédougou ». Partant de ce qui précède, il déplore que « des ennemis et adversaires politiques fabriqués artificiellement par le biais de l’argent » fussent dressés devant lui pour le « déstabiliser » en 2014.
« La véritable lecture, c’est de lire la frustration de ces populations », décode le président directeur général de l’Institut africain de management.
« Le bilan (de Macky Sall) s’il était satisfaisant pour nous, les populations allaient voter Benno Bokk Yakaar », fait-il comprendre. Arguant que de Senghor à Wade « les fils de Kédougou ont toujours participé à l’effort de développement de cette nation. « Kédougou et Saraya c’est le même vent de frustration », éclaire Moustapha Guirassy.
« Cinq ans sans aucun fils de Kédougou dans les différents gouvernements successifs. Aucun fils de Kédougou nommé à la tête d’une société nationale. Aucun fils de Kédougou dans aucune ambassade… », laisse-t-il méditer. Dans le même créneau de dénonciation, il déplore que sur 70 membres du Hcct (Haut conseil des collectivités territoriales) choisis par le chef de l’Etat, il n'y a aucun fils de Kédougou.
C’est ainsi qu’il a milité pour un audit permettant de savoir si les fils de la région sont pris en charge dans les recrutements effectués par les sociétés minières opérant dans la zone.
Expliquant la déroute des politologues du dimanche surpris par sa percée, il renseigne : « Il y a deux sortes de leader : y a des leaders qui sont fabriqués par la presse et qui sont très souvent visibles sur les plateaux ; et il y’en a qui sont fabriqués par leurs communautés. Je n’ai jamais cessé de me battre pour Kédougou ». Partant de ce qui précède, il déplore que « des ennemis et adversaires politiques fabriqués artificiellement par le biais de l’argent » fussent dressés devant lui pour le « déstabiliser » en 2014.
« La véritable lecture, c’est de lire la frustration de ces populations », décode le président directeur général de l’Institut africain de management.
« Le bilan (de Macky Sall) s’il était satisfaisant pour nous, les populations allaient voter Benno Bokk Yakaar », fait-il comprendre. Arguant que de Senghor à Wade « les fils de Kédougou ont toujours participé à l’effort de développement de cette nation. « Kédougou et Saraya c’est le même vent de frustration », éclaire Moustapha Guirassy.
« Cinq ans sans aucun fils de Kédougou dans les différents gouvernements successifs. Aucun fils de Kédougou nommé à la tête d’une société nationale. Aucun fils de Kédougou dans aucune ambassade… », laisse-t-il méditer. Dans le même créneau de dénonciation, il déplore que sur 70 membres du Hcct (Haut conseil des collectivités territoriales) choisis par le chef de l’Etat, il n'y a aucun fils de Kédougou.
C’est ainsi qu’il a milité pour un audit permettant de savoir si les fils de la région sont pris en charge dans les recrutements effectués par les sociétés minières opérant dans la zone.
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