L’horreur en pleine nuit. Abdoulaye Kane, un Sénégalais de 36 ans, a été retrouvé criblé de balles à Murcia, en Espagne, dans la nuit du dimanche 9 au lundi 10 mars, aux alentours de 3 heures du matin.
Selon L’Observateur, c’est l’organisation Horizôn Sans Frontières (HSF) qui a donné l’alerte à travers une note transmise à la rédaction, dénonçant un crime odieux qui suscite l’émoi au sein de la communauté sénégalaise en Espagne.
Un crime mystérieux, une communauté sous le choc
Originaire de la Casamance, Abdoulaye Kane vivait en Espagne depuis 2006 et résidait dans la région de Murcia, où la communauté sénégalaise est fortement implantée. Marié et père de deux enfants, il vivait en situation régulière sur le sol espagnol. Pourtant, dans la nuit fatale, il a été froidement abattu, laissant derrière lui une famille brisée et une communauté en état de sidération.
Selon L’Observateur, les circonstances exactes du crime restent floues. A-t-il été victime d’un règlement de comptes ? D’un acte xénophobe ? D’un braquage qui aurait mal tourné ? Pour l’instant, les enquêteurs espagnols gardent le silence, mais une autopsie a été ordonnée pour déterminer les causes précises de la mort.
Un appel à la justice et à la transparence
Face à ce drame, Horizôn Sans Frontières n’a pas tardé à réagir. Dans sa note relayée par L’Observateur, l’organisation exige que toute la lumière soit faite sur ce crime et que les autorités espagnoles prennent leurs responsabilités pour retrouver et traduire les coupables en justice. « HSF dénonce avec la plus grande fermeté ce crime odieux et demande que toute la lumière soit faite », martèle l’ONG.
L’affaire d’Abdoulaye Kane met une nouvelle fois en lumière la vulnérabilité de certains Sénégalais vivant à l’étranger, même lorsqu’ils sont en situation régulière. Ce drame résonne avec d’autres cas de violences contre des migrants, souvent victimes de discriminations ou d’actes criminels passés sous silence.
Selon L’Observateur, c’est l’organisation Horizôn Sans Frontières (HSF) qui a donné l’alerte à travers une note transmise à la rédaction, dénonçant un crime odieux qui suscite l’émoi au sein de la communauté sénégalaise en Espagne.
Un crime mystérieux, une communauté sous le choc
Originaire de la Casamance, Abdoulaye Kane vivait en Espagne depuis 2006 et résidait dans la région de Murcia, où la communauté sénégalaise est fortement implantée. Marié et père de deux enfants, il vivait en situation régulière sur le sol espagnol. Pourtant, dans la nuit fatale, il a été froidement abattu, laissant derrière lui une famille brisée et une communauté en état de sidération.
Selon L’Observateur, les circonstances exactes du crime restent floues. A-t-il été victime d’un règlement de comptes ? D’un acte xénophobe ? D’un braquage qui aurait mal tourné ? Pour l’instant, les enquêteurs espagnols gardent le silence, mais une autopsie a été ordonnée pour déterminer les causes précises de la mort.
Un appel à la justice et à la transparence
Face à ce drame, Horizôn Sans Frontières n’a pas tardé à réagir. Dans sa note relayée par L’Observateur, l’organisation exige que toute la lumière soit faite sur ce crime et que les autorités espagnoles prennent leurs responsabilités pour retrouver et traduire les coupables en justice. « HSF dénonce avec la plus grande fermeté ce crime odieux et demande que toute la lumière soit faite », martèle l’ONG.
L’affaire d’Abdoulaye Kane met une nouvelle fois en lumière la vulnérabilité de certains Sénégalais vivant à l’étranger, même lorsqu’ils sont en situation régulière. Ce drame résonne avec d’autres cas de violences contre des migrants, souvent victimes de discriminations ou d’actes criminels passés sous silence.
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