Comme annoncé par Dakaractu, le maître des poursuites, autrement dit le Procureur de la République, a versé dans des révélations et non des moindres.
En effet, selon Serigne Bassirou Guèye, le tireur suspect qui a abrégé atrocement la vie de l'étudiant Bassirou Faye, a été formellement identifié et serait du nombre des limiers.
Et à en croire toujours le Procureur, le présumé assassin a été mis aux arrêts, suite à ses instructions.
A force de "creuser", nous sommes en mesure de révéler que le probable meurtrier du regretté Bass Faye porte le nom de Tombon Oualy
Seulement, cet élément "incontrôlé" vers lequel "toutes les pistes convergent", aurait agi en solo; c'est à dire qu'il aurait tapé l'incruste à l'UCAD. En clair, il ne faisait pas partie des éléments devant officier ce jour là. Il était volontairement venu, juste pour "prêter main forte."
Ce qui laisse perplexe plus d'un. Quel intérêt avait cet agent de la police pour commettre pareille ignominie? Était-il en service commandé? Qui pourrait bien en être le commanditaire? A quelle fin? Est-ce le même agent de la police qu'avaient identifié les deux étudiants témoins oculaires des faits et qui avaient dressé son portrait devant les enquêteurs de la DIC ? Autant de questions jusque là sans réponse précise.
Affaire à suivre...
En effet, selon Serigne Bassirou Guèye, le tireur suspect qui a abrégé atrocement la vie de l'étudiant Bassirou Faye, a été formellement identifié et serait du nombre des limiers.
Et à en croire toujours le Procureur, le présumé assassin a été mis aux arrêts, suite à ses instructions.
A force de "creuser", nous sommes en mesure de révéler que le probable meurtrier du regretté Bass Faye porte le nom de Tombon Oualy
Seulement, cet élément "incontrôlé" vers lequel "toutes les pistes convergent", aurait agi en solo; c'est à dire qu'il aurait tapé l'incruste à l'UCAD. En clair, il ne faisait pas partie des éléments devant officier ce jour là. Il était volontairement venu, juste pour "prêter main forte."
Ce qui laisse perplexe plus d'un. Quel intérêt avait cet agent de la police pour commettre pareille ignominie? Était-il en service commandé? Qui pourrait bien en être le commanditaire? A quelle fin? Est-ce le même agent de la police qu'avaient identifié les deux étudiants témoins oculaires des faits et qui avaient dressé son portrait devant les enquêteurs de la DIC ? Autant de questions jusque là sans réponse précise.
Affaire à suivre...
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