Les monuments ont ceci de particulier : ils sont érigés pour célébrer la gloire d’un peuple ou d’un homme. Ils apparaissent du fait de l’homme et disparaissent du fait des hommes.
Un monument, le Professeur Moustapha SOURANG, vient de s’effondrer. Il disparait du fait de son démiurge, le Tout-puissant qui l’a brusquement arraché à notre tendre affection. Homme exceptionnel, Il ne pourrait disparaître, ni mourir dans nos cœurs, car le souvenir de sa mémoire restera vif, vivant et éternel dans nos esprits.
Et soudainement le Professeur n’est plus ! L’annonce de la triste nouvelle de son décès a été aussi brusque que soudaine pour nous ses épigones et admirateurs. Nous voici, orphelins de sa naturelle générosité, de sa grande capacité d’écoute et de son savoir.
Rarement un homme aura fait l’unanimité dans son cercle professionnel. Cette unanimité fut le gage de sa longévité et de sa constance dans ses fonctions d’universitaires et au sein des différents gouvernements auxquels il a appartenu.
Heureux étaient ses interlocuteurs qui avaient la chance de gouter à sa sérénité, de respirer la confiance qu’il inspirait. Il fallait être Professeur SOURANG pour marquer toute une génération d’étudiants, de collègues enseignants-chercheurs et de fonctionnaires. Il fallait être Professeur SOURANG pour « respecter dans chaque homme, l’homme, sinon celui qu’il est, au moins celui qu’il pourrait être, qu’il devrait être ».
En mettant toute son intelligence au service du droit, il a, en plus, irradié son monde de par son exemplarité. Le Professeur au visage impavide, a su, avec patience, écouter, redresser, orienter, éduquer et susciter des vocations…En vrai enseignant, il croyait en l’Homme !
Sincères condoléances à sa famille biologique, au Président de la République, au monde éducatif et paix éternelle à son âme.
Un monument, le Professeur Moustapha SOURANG, vient de s’effondrer. Il disparait du fait de son démiurge, le Tout-puissant qui l’a brusquement arraché à notre tendre affection. Homme exceptionnel, Il ne pourrait disparaître, ni mourir dans nos cœurs, car le souvenir de sa mémoire restera vif, vivant et éternel dans nos esprits.
Et soudainement le Professeur n’est plus ! L’annonce de la triste nouvelle de son décès a été aussi brusque que soudaine pour nous ses épigones et admirateurs. Nous voici, orphelins de sa naturelle générosité, de sa grande capacité d’écoute et de son savoir.
Rarement un homme aura fait l’unanimité dans son cercle professionnel. Cette unanimité fut le gage de sa longévité et de sa constance dans ses fonctions d’universitaires et au sein des différents gouvernements auxquels il a appartenu.
Heureux étaient ses interlocuteurs qui avaient la chance de gouter à sa sérénité, de respirer la confiance qu’il inspirait. Il fallait être Professeur SOURANG pour marquer toute une génération d’étudiants, de collègues enseignants-chercheurs et de fonctionnaires. Il fallait être Professeur SOURANG pour « respecter dans chaque homme, l’homme, sinon celui qu’il est, au moins celui qu’il pourrait être, qu’il devrait être ».
En mettant toute son intelligence au service du droit, il a, en plus, irradié son monde de par son exemplarité. Le Professeur au visage impavide, a su, avec patience, écouter, redresser, orienter, éduquer et susciter des vocations…En vrai enseignant, il croyait en l’Homme !
Sincères condoléances à sa famille biologique, au Président de la République, au monde éducatif et paix éternelle à son âme.
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