Le projet de loi portant suppression du CESE et du HCCT, a relancé le débat sur une promesse de campagne relative à la suppression des fonds politiques.
D'après le chroniqueur, Badara Gadiaga, il est désormais interdit de faire l'apologie du reniement. C'est-à-dire essayer de défendre quelqu'un qui avait fait une promesse au peuple et à l'arrivée, ce dernier décide de s'en laver les mains comme par enchantement. S'adressant au régime actuel, M. Gadiaga de marteler, concernant
l'appel à candidatures, qu'il devait passer à l'acte parce qu'il s'agit dans cette affaire d'une promesse, à l'instar de la suppression du CESE et du HCCT. "Je crois qu'il faut approuver le convenable et condamner le blâmable", a-t-il évoqué.
Le chroniqueur dit s'en tenir au principe. Mais ce qui l'étonne dans cette affaire c'est le fait de vouloir s'adjuger quelque chose en empêchant par ricochet à son vis-à-vis de bénéficier des mêmes privilèges. " Ils nous ont parlé de rationalisation et pourtant le président de ce Parti, Ousmane Sonko, avait dit que les fonds politiques sont illicites (haram), alors personne ne doit les utiliser", a-t-il rappelé. Badara Gadiaga de préciser que les fonds du CESE et du HCCT additionnés, ne dépassent pas ceux qui sont attribués à la primature et à la Présidence. " Et quand je dois rationaliser, je dois tout mettre dans le même sac".
Avant de rappeler également les déclarations du président Bassirou Diomaye Faye qui, lors de son face-à-face avec la presse, répondant à une question d'un journaliste, avait indiqué qu'ils ne détiennent pas une majorité à l’Assemblée nationale pour pouvoir aller vers l'exécution de leur promesse relative à la suppression de ces fonds. " Alors, entre temps qu'est-ce qui a changé à l’Assemblée nationale. Est-ce que la majorité a changé?, s'est-il interrogé. Et d'ajouter que ces fonds doivent faire l'objet de suppression tout comme le HCCT et le CESE.
D'après le chroniqueur, Badara Gadiaga, il est désormais interdit de faire l'apologie du reniement. C'est-à-dire essayer de défendre quelqu'un qui avait fait une promesse au peuple et à l'arrivée, ce dernier décide de s'en laver les mains comme par enchantement. S'adressant au régime actuel, M. Gadiaga de marteler, concernant
l'appel à candidatures, qu'il devait passer à l'acte parce qu'il s'agit dans cette affaire d'une promesse, à l'instar de la suppression du CESE et du HCCT. "Je crois qu'il faut approuver le convenable et condamner le blâmable", a-t-il évoqué.
Le chroniqueur dit s'en tenir au principe. Mais ce qui l'étonne dans cette affaire c'est le fait de vouloir s'adjuger quelque chose en empêchant par ricochet à son vis-à-vis de bénéficier des mêmes privilèges. " Ils nous ont parlé de rationalisation et pourtant le président de ce Parti, Ousmane Sonko, avait dit que les fonds politiques sont illicites (haram), alors personne ne doit les utiliser", a-t-il rappelé. Badara Gadiaga de préciser que les fonds du CESE et du HCCT additionnés, ne dépassent pas ceux qui sont attribués à la primature et à la Présidence. " Et quand je dois rationaliser, je dois tout mettre dans le même sac".
Avant de rappeler également les déclarations du président Bassirou Diomaye Faye qui, lors de son face-à-face avec la presse, répondant à une question d'un journaliste, avait indiqué qu'ils ne détiennent pas une majorité à l’Assemblée nationale pour pouvoir aller vers l'exécution de leur promesse relative à la suppression de ces fonds. " Alors, entre temps qu'est-ce qui a changé à l’Assemblée nationale. Est-ce que la majorité a changé?, s'est-il interrogé. Et d'ajouter que ces fonds doivent faire l'objet de suppression tout comme le HCCT et le CESE.
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