L’ancien ministre de la justice, garde des sceaux sous le régime de Wade, a réagi à l’arrestation de nombreuses personnes après les manifestations survenues ces derniers jours. Particulièrement sur celles du jeudi 16 mars dernier, Maître Amadou Sall ne fait aucune concession à ceux qui, selon lui, ne s’adonnent qu’à des actes de vandalisme. « Nous avons remarqué dans le département de Thiès, un responsable de l’opposition qui s’est permis de dire qu’ils connaissent les domiciles de responsables de la mouvance présidentielle. Si nous n’obtenons pas ce que nous voulons, nous irons chez eux, brûler leurs maisons et les brûler vifs », se désole le membre fondateur du Parti des Libéraux et Démocrates qui s’exprimait à l’occasion de l’émission Point de Vue sur la chaîne nationale, la Rts.
À en croire Me Amadou Sall, « si ces personnes tiennent ce genre de propos et que le lendemain des manifestations suivies d’attaques aux personnes et aux biens se produisent, l’autorité judiciaire se doit de les arrêter. Sinon, elle aura failli. »
Me Amadou Sall, prenant l’exemple d’autres démocraties, à l’instar des États-Unis avec ce qui s’est passé au Capitole, le palais servant de siège au congrès américain ou encore le Brésil, déclare que l’autorité policière est dans une logique cohérente en procédant à la traque de ces fauteurs qui veulent installer le pays dans une permanente instabilité. Donc, dira l’ancien ministre, la police a le devoir et l’obligation de s’exercer pour faire régner l’ordre...
À en croire Me Amadou Sall, « si ces personnes tiennent ce genre de propos et que le lendemain des manifestations suivies d’attaques aux personnes et aux biens se produisent, l’autorité judiciaire se doit de les arrêter. Sinon, elle aura failli. »
Me Amadou Sall, prenant l’exemple d’autres démocraties, à l’instar des États-Unis avec ce qui s’est passé au Capitole, le palais servant de siège au congrès américain ou encore le Brésil, déclare que l’autorité policière est dans une logique cohérente en procédant à la traque de ces fauteurs qui veulent installer le pays dans une permanente instabilité. Donc, dira l’ancien ministre, la police a le devoir et l’obligation de s’exercer pour faire régner l’ordre...
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