Alors que le Sénégal s'apprête à tourner une nouvelle page de son histoire politique, un vent de réveil citoyen souffle sur le pays. Le mouvement « Rappel à l’Ordre » émerge sur la scène publique, porté par un contexte post-électoral chargé de frustrations, de blessures encore vives et de désillusions collectives.
Né dans le sillage de ce que ses initiateurs appellent la troisième alternance démocratique, ce mouvement se veut un électrochoc citoyen, un cri contre l’oubli, un refus de l’impunité, mais surtout une exigence de responsabilité collective et de mémoire.
« Nous changeons de dirigeants, mais l’élite politique ne change pas de comportement. La société, elle, reste figée dans ses vieux schémas, engluée dans des débats stériles et des clivages artificiels », dénonce Mamadou Cissé, membre du mouvement.
Le ton est donné. « Rappel à l’Ordre » s’inscrit dans une démarche de rupture, nourrie par le constat amer d’un pays où de jeunes innocents ont perdu la vie dans des violences politiques, où les engagements sont trahis, où la parole donnée n’a plus de valeur, et où la citoyenneté se résume trop souvent à un simple vote, sans implication durable dans la construction commune.
À travers ce mouvement, ses initiateurs entendent révéler les blessures invisibles de la société sénégalaise : les familles brisées, la méfiance entre communautés, la fracture sociale qui se creuse, et l’échec d’un contrat social bafoué au fil des alternances.
Le premier acte fort de « Rappel à l’Ordre » aura lieu le 2 avril 2025, devant l’Assemblée nationale, à l’occasion du vote de la loi d’amnistie. Pour le mouvement, cette date est hautement symbolique : elle incarne le danger de l’oubli institutionnalisé et de l’amnésie des responsabilités.
« Ce n’est pas une simple manifestation, mais un appel solennel à la conscience nationale. Il est temps d’imposer une nouvelle rigueur civique, d’exiger des comptes au pouvoir et de mettre fin à la banalisation de l’impunité », lance -t-il.
Né dans le sillage de ce que ses initiateurs appellent la troisième alternance démocratique, ce mouvement se veut un électrochoc citoyen, un cri contre l’oubli, un refus de l’impunité, mais surtout une exigence de responsabilité collective et de mémoire.
« Nous changeons de dirigeants, mais l’élite politique ne change pas de comportement. La société, elle, reste figée dans ses vieux schémas, engluée dans des débats stériles et des clivages artificiels », dénonce Mamadou Cissé, membre du mouvement.
Le ton est donné. « Rappel à l’Ordre » s’inscrit dans une démarche de rupture, nourrie par le constat amer d’un pays où de jeunes innocents ont perdu la vie dans des violences politiques, où les engagements sont trahis, où la parole donnée n’a plus de valeur, et où la citoyenneté se résume trop souvent à un simple vote, sans implication durable dans la construction commune.
À travers ce mouvement, ses initiateurs entendent révéler les blessures invisibles de la société sénégalaise : les familles brisées, la méfiance entre communautés, la fracture sociale qui se creuse, et l’échec d’un contrat social bafoué au fil des alternances.
Le premier acte fort de « Rappel à l’Ordre » aura lieu le 2 avril 2025, devant l’Assemblée nationale, à l’occasion du vote de la loi d’amnistie. Pour le mouvement, cette date est hautement symbolique : elle incarne le danger de l’oubli institutionnalisé et de l’amnésie des responsabilités.
« Ce n’est pas une simple manifestation, mais un appel solennel à la conscience nationale. Il est temps d’imposer une nouvelle rigueur civique, d’exiger des comptes au pouvoir et de mettre fin à la banalisation de l’impunité », lance -t-il.
Autres articles
-
Les investisseurs chinois se précipitent sur l'or face au risque Trump
-
Le pétrole baisse à cause de la guerre commerciale entre Washington et Pékin
-
Les pays riches ne sont pas les plus "épanouis", selon une enquête
-
Burkina: manifestation en soutien à la junte qui vient de dénoncer une tentative de coup d'Etat
-
Meurtre dans une mosquée: le suspect pourrait être remis à la France "mi-mai" (avocat italien)