Le secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République a fait face à la presse ce jeudi suite au lancement du plan de redressement économique et social présenté par le premier ministre Ousmane Sonko. Plusieurs responsables ont marqué de leur présence cette rencontre avec les journalistes.
Parmi eux Me Sidiki Kaba, Seydou Guèye porte-parole du parti, Abdou Mbow, Me Oumar Youm, l’ancien ministre Néné Fatoumata Tall, Amadou Mame Diop ancien président de l’assemblée nationale, Papa Malick Ndour, Hamidou Anne et d’autres responsables politiques.
Après avoir exprimé leur compassion aux populations de Touba victimes des dernières inondations, le parti par le voix de son porte-parole, souhaite au Khalife Serigne Mountakha Mbacké, un excellent Grand Magal de Touba.
La rencontre a été axé principalement sur le plan de redressement économique et social. En effet, « les incohérences du plan dans la conception et la vision et les perspectives sont à revoir. Il y’a un problème de forme car, la loi n’a aucunement changé. Mais également sur le fond. En effet, cette décision de délester les sénégalais de plus de 5 000 milliards est une décision lourde de conséquences. En plus, sur les 100 milliards que l’État aura à contribuer, l’acte de centraliser les dépenses peut avoir comme conséquence, le fait de sacrifier toutes les entreprises avec qui il a contracté. Une mort programmée », a dénoncé Papa Malick Ndour qui ajoute qu’il y’a aussi d’autres décisions plus dangereuses : le ciblage. Une politique difficile à exécuter, selon le coordinateur des cadres républicains.
La remise en cause des exonérations fiscales : une politique contradictoire
Papa Malick Ndour a d’abord voulu rappeler que ces accusations disant que l’ancien président Macky Sall donnait gracieusement aux entreprises étrangères des exonérations, étaient totalement fausses.
En outre, il rappelle qu’il existe des régimes dérogatoires qui sont régis par des textes. « Cette remise en cause des exonérations fiscales est loin d’être une idée pertinente. Il faut que l’investissement soit diversifié, étalé dans les autres régions et permette aux Sénégal d’avoir une large assiette d’investissements », ajoute Papa Malick Ndour qui se demande si les ménages ne seront pas « matraqués fiscalement » sans oublier la taxation sur les activités marchandes qui également, « vont étouffer les Sénégalais », estime Papa Malick Ndour.
Parmi eux Me Sidiki Kaba, Seydou Guèye porte-parole du parti, Abdou Mbow, Me Oumar Youm, l’ancien ministre Néné Fatoumata Tall, Amadou Mame Diop ancien président de l’assemblée nationale, Papa Malick Ndour, Hamidou Anne et d’autres responsables politiques.
Après avoir exprimé leur compassion aux populations de Touba victimes des dernières inondations, le parti par le voix de son porte-parole, souhaite au Khalife Serigne Mountakha Mbacké, un excellent Grand Magal de Touba.
La rencontre a été axé principalement sur le plan de redressement économique et social. En effet, « les incohérences du plan dans la conception et la vision et les perspectives sont à revoir. Il y’a un problème de forme car, la loi n’a aucunement changé. Mais également sur le fond. En effet, cette décision de délester les sénégalais de plus de 5 000 milliards est une décision lourde de conséquences. En plus, sur les 100 milliards que l’État aura à contribuer, l’acte de centraliser les dépenses peut avoir comme conséquence, le fait de sacrifier toutes les entreprises avec qui il a contracté. Une mort programmée », a dénoncé Papa Malick Ndour qui ajoute qu’il y’a aussi d’autres décisions plus dangereuses : le ciblage. Une politique difficile à exécuter, selon le coordinateur des cadres républicains.
La remise en cause des exonérations fiscales : une politique contradictoire
Papa Malick Ndour a d’abord voulu rappeler que ces accusations disant que l’ancien président Macky Sall donnait gracieusement aux entreprises étrangères des exonérations, étaient totalement fausses.
En outre, il rappelle qu’il existe des régimes dérogatoires qui sont régis par des textes. « Cette remise en cause des exonérations fiscales est loin d’être une idée pertinente. Il faut que l’investissement soit diversifié, étalé dans les autres régions et permette aux Sénégal d’avoir une large assiette d’investissements », ajoute Papa Malick Ndour qui se demande si les ménages ne seront pas « matraqués fiscalement » sans oublier la taxation sur les activités marchandes qui également, « vont étouffer les Sénégalais », estime Papa Malick Ndour.
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