Alioune Badara Sané, membre du bureau des cadres du parti politique Pastef revient sur le procès opposant son leader Ousmane Sonko à Adji Sarr.
Selon lui, ce procès est une « mascarade politique » bien orchestrée pour salir Ousmane Sonko afin de l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024. Cependant, il estime que la tenue du procès a permis de mettre en évidence la vérité qui « blanchit de facto Ousmane Sonko » devant l’opinion nationale et internationale.
Le responsable politique de Pastef/Kolda reste craintif et dubitatif pour la suite des évènements vis-à-vis de la justice. Toutefois, il reste positif en pensant que le droit sera dit en faveur d’Ousmane Sonko car tous les témoignages « l’innocentent » .
À l’en croire, « on savait que le procès allait se passer comme ça parce que la partie adverse n’a pas de preuve pour justifier le viol tant décrié par le camp présidentiel. D’ailleurs, on savait que c’était des accusations fallacieuses contre un candidat potentiel à la présidentielle. En ce sens, tout porte à croire que c’est un complot qu’on a pu établir au niveau du tribunal. Mieux, nous pensons que les témoins à leur passage à la barre ont apporté des précisions sur ce complot. »
Dans la foulée, il précise : « en tout-cas, tout porte à croire que c’est quelqu’un qui a voulu du mal au président Ousmane Sonko ayant tout fait pour qu’on l’accuse de viol dans des circonstances injustifiables. À ce titre, où sont les vidéos et les audio qu’ils disent détenir. Aujourd’hui, on leur demande ces audios mais ils nous disent que c’est Sonko qui les a supprimés de son portable. Pour moi, ce n’est pas du sérieux car ce procès c’était plus du folklore qu’un procès réel, d’un cas de viol. »
Il ajoute en déplorant : « et maintenant ma souffrance est aux femmes qui ont été vraiment violées qui ont porté plainte. Avec ce procès sur un supposé viol, Adji Sarr a sali la mémoire de ces femmes. Et pour moi, on ne devrait même pas jouer avec des questions pareilles par malhonnêteté, fumisterie, complicité qui a fait des morts d’homme. C’est pourquoi, normalement ça ne devait même pas arriver à un procès. 
D’ailleurs, même un juge a démissionné parce qu’il s’est rendu compte que le dossier est vide… »
Selon lui, ce procès est une « mascarade politique » bien orchestrée pour salir Ousmane Sonko afin de l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024. Cependant, il estime que la tenue du procès a permis de mettre en évidence la vérité qui « blanchit de facto Ousmane Sonko » devant l’opinion nationale et internationale.
Le responsable politique de Pastef/Kolda reste craintif et dubitatif pour la suite des évènements vis-à-vis de la justice. Toutefois, il reste positif en pensant que le droit sera dit en faveur d’Ousmane Sonko car tous les témoignages « l’innocentent » .
À l’en croire, « on savait que le procès allait se passer comme ça parce que la partie adverse n’a pas de preuve pour justifier le viol tant décrié par le camp présidentiel. D’ailleurs, on savait que c’était des accusations fallacieuses contre un candidat potentiel à la présidentielle. En ce sens, tout porte à croire que c’est un complot qu’on a pu établir au niveau du tribunal. Mieux, nous pensons que les témoins à leur passage à la barre ont apporté des précisions sur ce complot. »
Dans la foulée, il précise : « en tout-cas, tout porte à croire que c’est quelqu’un qui a voulu du mal au président Ousmane Sonko ayant tout fait pour qu’on l’accuse de viol dans des circonstances injustifiables. À ce titre, où sont les vidéos et les audio qu’ils disent détenir. Aujourd’hui, on leur demande ces audios mais ils nous disent que c’est Sonko qui les a supprimés de son portable. Pour moi, ce n’est pas du sérieux car ce procès c’était plus du folklore qu’un procès réel, d’un cas de viol. »
Il ajoute en déplorant : « et maintenant ma souffrance est aux femmes qui ont été vraiment violées qui ont porté plainte. Avec ce procès sur un supposé viol, Adji Sarr a sali la mémoire de ces femmes. Et pour moi, on ne devrait même pas jouer avec des questions pareilles par malhonnêteté, fumisterie, complicité qui a fait des morts d’homme. C’est pourquoi, normalement ça ne devait même pas arriver à un procès.
D’ailleurs, même un juge a démissionné parce qu’il s’est rendu compte que le dossier est vide… »
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