D. Kandji, fils du Chef de quartier de Dieuppeul Derklé, risque gros. En effet, il résulte des faits que les deux familles avaient des antécédents et se querellaient à cause de leurs choix politiques différenciés. De ce fait, chacun gardait une haine contre l'autre.
Un jour, le jeune Kandji surprend la partie civile et lui assène plusieurs coups, avant de prendre la fuite abandonnant sa moto sur les lieux. Se sentant humiliée, la partie civile a porté plainte au niveau du commissariat de Dieuppeul après avoir produit un certificat médical en vain. Après plusieurs allers- retours, il a décidé de porter l'affaire devant le parquet pour avoir gain de cause.
C'est sur ces entrefaites que le jeune a été interpellé et déféré au parquet avant de bénéficier d’une liberté provisoire. Jugé ce 13 mars, le mis en cause a nié les faits qui lui reprochés. Il allègue que la partie civile a insulté son père et il a voulu intervenir.
À son tour, la partie civile Mor T. Nd. explique que le prévenu l'a pris par surprise. "Lorsque je suis allé à la police porter plainte à plusieurs reprises, on m'a fait savoir qu'un membre de sa famille souhaitait me voir pour demander pardon. Un jour, quand il m'a frappé, j'ai perdu mon téléphone portable et des lunettes qui coûtent plus de 300 mille francs Cfa," a-t-il révélé. Il ajoute également qu'il a effectué de nombreuses radios et les résultats ont révélé qu'il a eu de nombreuses blessures.
Me Baba Diop, conseil de la partie civile estime que les faits sont constants, malgré le fait que les prévenus continuent de nier sa responsabilité. Selon lui, le mis en cause a sauvagement agressé son client. "Il a subi une humiliation et il a souffert dans sa chair", relève la robe noire qui demande la somme de 1 million de francs Cfa pour dommages et intérêts.
Pour sa part, la déléguée du procureur a requis 6 mois de prison assortie de sursis avec une amende de 100.000 FCfa de nos francs. Ainsi, l'avocat de la défense a plaidé coupable et demande la clémence du tribunal.
L'affaire a été mise en délibéré au 20 mars prochain...
Un jour, le jeune Kandji surprend la partie civile et lui assène plusieurs coups, avant de prendre la fuite abandonnant sa moto sur les lieux. Se sentant humiliée, la partie civile a porté plainte au niveau du commissariat de Dieuppeul après avoir produit un certificat médical en vain. Après plusieurs allers- retours, il a décidé de porter l'affaire devant le parquet pour avoir gain de cause.
C'est sur ces entrefaites que le jeune a été interpellé et déféré au parquet avant de bénéficier d’une liberté provisoire. Jugé ce 13 mars, le mis en cause a nié les faits qui lui reprochés. Il allègue que la partie civile a insulté son père et il a voulu intervenir.
À son tour, la partie civile Mor T. Nd. explique que le prévenu l'a pris par surprise. "Lorsque je suis allé à la police porter plainte à plusieurs reprises, on m'a fait savoir qu'un membre de sa famille souhaitait me voir pour demander pardon. Un jour, quand il m'a frappé, j'ai perdu mon téléphone portable et des lunettes qui coûtent plus de 300 mille francs Cfa," a-t-il révélé. Il ajoute également qu'il a effectué de nombreuses radios et les résultats ont révélé qu'il a eu de nombreuses blessures.
Me Baba Diop, conseil de la partie civile estime que les faits sont constants, malgré le fait que les prévenus continuent de nier sa responsabilité. Selon lui, le mis en cause a sauvagement agressé son client. "Il a subi une humiliation et il a souffert dans sa chair", relève la robe noire qui demande la somme de 1 million de francs Cfa pour dommages et intérêts.
Pour sa part, la déléguée du procureur a requis 6 mois de prison assortie de sursis avec une amende de 100.000 FCfa de nos francs. Ainsi, l'avocat de la défense a plaidé coupable et demande la clémence du tribunal.
L'affaire a été mise en délibéré au 20 mars prochain...
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