Donald Trump n'y va pas par quatre chemins : s'il avait su que Jeff Sessions se sentait compromis dans l'affaire russe et se récuserait dans l'enquête du FBI, il ne l'aurait jamais nommé ministre de la Justice. Dans une longue interview publiée ce jeudi 20 juillet dans le New York Times, le président rajoute : « C'est extrêmement injuste, et je pèse mes mots ! »
Des propos qui étonnent, voire choquent les commentateurs qui rappellent que Jeff Sessions est un fidèle parmi les fidèles, premier sénateur à avoir soutenu le candidat Donald Trump et aujourd'hui l'un des poids lourds de son cabinet. Mais le président n'hésite pas à en remettre une couche et à critiquer son ministre pour son témoinage devant la commission de renseignement du Sénat. « Ses réponses ont été très mauvaises », a déclaré Donald Trump aux journalistes du New York Times.
Dans la même interview, il a mis en garde le procureur spécial chargé de l'enquête russe, Robert Mueller, contre toute tentative de s'immiscer dans les affaires financières de la famille Trump.
Enfin, il défend encore une fois son fils Donald Jr. Lors de sa rencontre avec l'avocate russe l'année dernière, ce dernier aurait seulement parlé d'adoption. Le problème c'est que les courriels publiés par le fils prouvent que l'objectif du rendez-vous était bel et bien la recherche d'informations compromettantes sur Hillary Clinton.
Des propos qui étonnent, voire choquent les commentateurs qui rappellent que Jeff Sessions est un fidèle parmi les fidèles, premier sénateur à avoir soutenu le candidat Donald Trump et aujourd'hui l'un des poids lourds de son cabinet. Mais le président n'hésite pas à en remettre une couche et à critiquer son ministre pour son témoinage devant la commission de renseignement du Sénat. « Ses réponses ont été très mauvaises », a déclaré Donald Trump aux journalistes du New York Times.
Dans la même interview, il a mis en garde le procureur spécial chargé de l'enquête russe, Robert Mueller, contre toute tentative de s'immiscer dans les affaires financières de la famille Trump.
Enfin, il défend encore une fois son fils Donald Jr. Lors de sa rencontre avec l'avocate russe l'année dernière, ce dernier aurait seulement parlé d'adoption. Le problème c'est que les courriels publiés par le fils prouvent que l'objectif du rendez-vous était bel et bien la recherche d'informations compromettantes sur Hillary Clinton.
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