Le prétexte était l’interpellation d’un des leurs, en l’occurrence Moustapha Ndiaye, dans le cadre de la reddition des comptes liée à la gestion des fonds Covid-19. L’UNACOIS Jappo, son président et son directeur exécutif, Ousmane Sy Ndiaye, se sont adressés à la presse pour dénoncer cette machine judiciaire à l’encontre de leur camarade, qu’ils considèrent comme un des champions de l’exportation de riz au Sénégal. Mais avant de soulever cette question et d’apporter leur soutien indéfectible à Moustapha Ndiaye, l’UNACOIS JAPPO a fait un rappel sur « la situation économique morose », constatée depuis l’arrivée du nouveau régime.
Durant toutes les crises traversées, depuis la dévaluation du Franc CFA jusqu’à la grande crise internationale sur les finances publiques et celle de la Covid-19, Ousmane Sy Ndiaye et ses camarades ont remarqué que « la concertation et le dialogue ont été les principaux vecteurs d’identification des contraintes, de préservation des activités des entreprises et de relance des activités ». Dans ce contexte de mise en œuvre du programme 20-50, ils estiment que les questions suivantes restent toujours en suspens : « quel est le cadre dans lequel nous allons évoluer avec l’État, quel sera le modèle de dialogue à mener et quels en seront les tenants et les aboutissants ? »
D’après l’association de commerçants, il est suffisamment lourd et préoccupant de voir leur secteur être confronté à des risques de nos jours. « C’est l’une des raisons qui explique le ralentissement de l’activité. Nous l’avons constaté dans la circulation, dans le flux des transactions et activités du port de Dakar, affectant ainsi le secteur du commerce qui est aujourd’hui à l’agonie », ont remarqué le regroupement de commerçants qui s’adressait à la presse ce jeudi.
Durant toutes les crises traversées, depuis la dévaluation du Franc CFA jusqu’à la grande crise internationale sur les finances publiques et celle de la Covid-19, Ousmane Sy Ndiaye et ses camarades ont remarqué que « la concertation et le dialogue ont été les principaux vecteurs d’identification des contraintes, de préservation des activités des entreprises et de relance des activités ». Dans ce contexte de mise en œuvre du programme 20-50, ils estiment que les questions suivantes restent toujours en suspens : « quel est le cadre dans lequel nous allons évoluer avec l’État, quel sera le modèle de dialogue à mener et quels en seront les tenants et les aboutissants ? »
D’après l’association de commerçants, il est suffisamment lourd et préoccupant de voir leur secteur être confronté à des risques de nos jours. « C’est l’une des raisons qui explique le ralentissement de l’activité. Nous l’avons constaté dans la circulation, dans le flux des transactions et activités du port de Dakar, affectant ainsi le secteur du commerce qui est aujourd’hui à l’agonie », ont remarqué le regroupement de commerçants qui s’adressait à la presse ce jeudi.
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