Depuis plusieurs années, constatent les cadres paysans, «une importance est donnée au foncier, notamment à travers la multiplication de programmes de développement agricole, la sécurité alimentaire, l’amélioration de la sécurité énergétique depuis la crise de 2008».
Mr. El Hadji Thierno Cissé, assistant au coordinateur du Conseil national des cadres ruraux (Cncr), a remarqué que de plus en plus, le foncier dans le monde, est devenu une ressource capitale «qui a engendré une ruée vers la terre de certains Etats et même de multinationales». Ces dernières, a-t- il indiqué, viennent dans les pays moins développés pour chercher des espaces pour mener des activités agricoles. ET, cela a des impacts sur la production agricole.
C’est la raison pour laquelle, M. Cissé estime que ces leaders- là doivent pouvoir maîtriser les enjeux, développer des stratégies mais surtout également s’appuyer sur les instruments disponibles, à savoir «les directives volontaires sur la gouvernance foncières».
Ainsi, Mr. Cheikh Oumar Ba, directeur exécutif de l’Initiative prospective agricole (IPAR) a rappelé qu’à cet effet une brochure qui découle du processus inclusif de formulation a été élaborée. Ce processus, a-t- il soutenu, qui a intégré plus d’une centaine de pays et des organisations de la société civile, des institutions internationales, comporte des directives prenant en compte les préoccupations des producteurs agricoles.
Parmi ces directives, il faut noter le respect des droits légitimes des collectivités locales. Les cadres ruraux pensent que leaders paysans doivent s’approprier de ces directives qui constituent «un instrument de plaidoyer» dans le processus de réformes foncières.
Mr. El Hadji Thierno Cissé, assistant au coordinateur du Conseil national des cadres ruraux (Cncr), a remarqué que de plus en plus, le foncier dans le monde, est devenu une ressource capitale «qui a engendré une ruée vers la terre de certains Etats et même de multinationales». Ces dernières, a-t- il indiqué, viennent dans les pays moins développés pour chercher des espaces pour mener des activités agricoles. ET, cela a des impacts sur la production agricole.
C’est la raison pour laquelle, M. Cissé estime que ces leaders- là doivent pouvoir maîtriser les enjeux, développer des stratégies mais surtout également s’appuyer sur les instruments disponibles, à savoir «les directives volontaires sur la gouvernance foncières».
Ainsi, Mr. Cheikh Oumar Ba, directeur exécutif de l’Initiative prospective agricole (IPAR) a rappelé qu’à cet effet une brochure qui découle du processus inclusif de formulation a été élaborée. Ce processus, a-t- il soutenu, qui a intégré plus d’une centaine de pays et des organisations de la société civile, des institutions internationales, comporte des directives prenant en compte les préoccupations des producteurs agricoles.
Parmi ces directives, il faut noter le respect des droits légitimes des collectivités locales. Les cadres ruraux pensent que leaders paysans doivent s’approprier de ces directives qui constituent «un instrument de plaidoyer» dans le processus de réformes foncières.
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