À la veille de la finale explosive de la Coupe du Sénégal entre Génération Foot et l’ASC Jaraaf, le mythique stade Léopold Sédar Senghor s’apprête à redevenir le théâtre d’une bataille historique. Dans une ambiance survoltée, placée sous le haut patronage du président de la République, tous les projecteurs sont braqués sur Malick Daf, coach du Jaraaf, qui retrouve ses racines au cœur de cette affiche. À l’occasion des grandes retrouvailles organisées la veille, l’homme fort de la Médina a livré un message chargé d’émotion, de foi et de feu intérieur.
« Ici, j’ai tout appris. J’ai grandi dans cette culture de la gagne. Depuis Mbotty Pom, on m’a formé pour soulever des trophées, pas pour les regarder », confie un Malick Daf transcendé, porté par la ferveur de sa “famille de football”, qu’il décrit comme un socle indestructible. Cette finale, pour lui, n’est pas une simple confrontation sportive, c’est l’aboutissement d’un héritage collectif, d’un esprit de groupe forgé dans la rue, la sueur et l’amour du maillot vert et blanc. Serein mais combatif, il affirme : « Je ne suis pas prophète, mais je suis un compétiteur. Nous allons jouer pour gagner, avec humilité et détermination. »
L’ancienne gloire Omar Guèye Sène, présent lui aussi lors des retrouvailles, a tenu à rappeler l’aura du club : « Jaraaf, c’est un monument. Ce que vous voyez aujourd’hui, c’est la force du passé qui guide le présent. » Pour lui comme pour tous les anciens, cette finale est un passage de flambeau sacré. Le décor est donc planté : entre mémoire, fierté et ambition, Jaraaf entre sur la pelouse pour défendre bien plus qu’un trophée. C’est tout un peuple qui joue dimanche...
« Ici, j’ai tout appris. J’ai grandi dans cette culture de la gagne. Depuis Mbotty Pom, on m’a formé pour soulever des trophées, pas pour les regarder », confie un Malick Daf transcendé, porté par la ferveur de sa “famille de football”, qu’il décrit comme un socle indestructible. Cette finale, pour lui, n’est pas une simple confrontation sportive, c’est l’aboutissement d’un héritage collectif, d’un esprit de groupe forgé dans la rue, la sueur et l’amour du maillot vert et blanc. Serein mais combatif, il affirme : « Je ne suis pas prophète, mais je suis un compétiteur. Nous allons jouer pour gagner, avec humilité et détermination. »
L’ancienne gloire Omar Guèye Sène, présent lui aussi lors des retrouvailles, a tenu à rappeler l’aura du club : « Jaraaf, c’est un monument. Ce que vous voyez aujourd’hui, c’est la force du passé qui guide le présent. » Pour lui comme pour tous les anciens, cette finale est un passage de flambeau sacré. Le décor est donc planté : entre mémoire, fierté et ambition, Jaraaf entre sur la pelouse pour défendre bien plus qu’un trophée. C’est tout un peuple qui joue dimanche...
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