Le quartier du Colonel Geille de la Base militaire française établi à Ouakam a été attaqué par des assaillants. 14 blessés graves ont été dénombrés. Médecins et infirmiers militaires à l’assaut des blessés en détresse avec des blessures ouvertes. Sous le feu de l’action, les cris et hurlements des soldats blessés, les soignants se précipitent pour sauver le maximum de blessés ... La course contre la mort est lancée.
Bien évidemment nous ne sommes pas dans un théâtre d’opération mais plutôt dans un exercice de sauvetage au combat. Une initiative de l’armée française pour capaciter et outiller ses partenaires des armées d’Afrique de l’Ouest pour faire face à la progression djihadiste et terroriste qui gagne du terrain de jour en jour. Une formation initiée mise en condition de survie du blessé de guerre.
Médecin principal Marie, cheffe du détachement du Val de Grâce venue de France, fait partie des formateurs. Ils sont douze médecins et infirmiers d’Afrique de l’Ouest formés par les éléments français au Sénégal à la mise en condition de survie des blessés de guerre. Une formation qui a démarré le 22 novembre et pris fin le 02 décembre. Les spécialistes du centre médical interarmées des EFS ont été renforcés par un détachement de l’école du Val de Grâce de Paris.
La formation est divisée en deux phases. Durant la première partie, les stagiaires ont suivi des cours intensifs de sauvetage au combat de niveau 1. C’est-à-dire, la réalisation des gestes salvateurs compatibles avec l’exposition au feu de l’ennemi et l'utilisation de la trousse de secours individuelle du combattant. Puis de niveau 2 qui consiste à la poursuite des gestes de secours par les auxiliaires sanitaires intégrés au groupe de combat.
La seconde phase est rythmée par la formation de niveau 3 qui consiste en l’intervention des médecins et infirmiers en renfort dans un délai de moins de trente minutes. Les cours théoriques sur la médecine de guerre, apprentissage de gestes d'urgence sur mannequins et simulations de mises en situations individuelles puis collectives viennent compléter la formation.
Au terme du stage marqué par un exercice collectif d’afflux massif de blessés nommé MASCAL, le Médecin principal Marie, cheffe du détachement du Val de Grâce se réjouit du comportement exemplaire des stagiaires qui ont, selon elle, montré dévouement, abnégation, détermination et disponibilité pour acquérir ces connaissances qu’ils vont transmettre dans leurs unités respectives.
Bien évidemment nous ne sommes pas dans un théâtre d’opération mais plutôt dans un exercice de sauvetage au combat. Une initiative de l’armée française pour capaciter et outiller ses partenaires des armées d’Afrique de l’Ouest pour faire face à la progression djihadiste et terroriste qui gagne du terrain de jour en jour. Une formation initiée mise en condition de survie du blessé de guerre.
Médecin principal Marie, cheffe du détachement du Val de Grâce venue de France, fait partie des formateurs. Ils sont douze médecins et infirmiers d’Afrique de l’Ouest formés par les éléments français au Sénégal à la mise en condition de survie des blessés de guerre. Une formation qui a démarré le 22 novembre et pris fin le 02 décembre. Les spécialistes du centre médical interarmées des EFS ont été renforcés par un détachement de l’école du Val de Grâce de Paris.
La formation est divisée en deux phases. Durant la première partie, les stagiaires ont suivi des cours intensifs de sauvetage au combat de niveau 1. C’est-à-dire, la réalisation des gestes salvateurs compatibles avec l’exposition au feu de l’ennemi et l'utilisation de la trousse de secours individuelle du combattant. Puis de niveau 2 qui consiste à la poursuite des gestes de secours par les auxiliaires sanitaires intégrés au groupe de combat.
La seconde phase est rythmée par la formation de niveau 3 qui consiste en l’intervention des médecins et infirmiers en renfort dans un délai de moins de trente minutes. Les cours théoriques sur la médecine de guerre, apprentissage de gestes d'urgence sur mannequins et simulations de mises en situations individuelles puis collectives viennent compléter la formation.
Au terme du stage marqué par un exercice collectif d’afflux massif de blessés nommé MASCAL, le Médecin principal Marie, cheffe du détachement du Val de Grâce se réjouit du comportement exemplaire des stagiaires qui ont, selon elle, montré dévouement, abnégation, détermination et disponibilité pour acquérir ces connaissances qu’ils vont transmettre dans leurs unités respectives.
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