En marge de la présentation officielle du Plan de redressement économique et social « Jubbanti Koom », le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a souligné la « rupture » qu’incarne ce plan, notamment par sa transparence financière et son réalisme budgétaire.
Abordant frontalement la question souvent posée par les partenaires techniques et financiers, dont le Fonds monétaire international (FMI), le chef de l’État a rappelé : « La question du FMI revient toujours : “Oui, vous allez faire tout ça, mais comment ? Concrètement, comment allez-vous le faire ?” »
Selon lui, les précédentes équipes dirigeantes se contentaient de réponses floues, voire imprudentes : « Évidemment, il n’y avait pas de réponses concrètes, si ce n’est “dinanouko lidianti”, c’est-à-dire “on va se débrouiller”. C’est à cause de ce « lidianti » que le Sénégal s’est retrouvé avec une dette cachée. »
Bassirou Diomaye Faye a tenu à distinguer le nouveau plan du Premier ministre Ousmane Sonko de ceux du passé, en mettant en avant une innovation essentielle : « Toute l’ingéniosité du plan réside dans le chiffrage ligne par ligne de chaque action prévue, ce qui constitue, en agrégé, les 5 667 milliards de ressources projetées. C’est précisément ce type de rigueur que le FMI attendait comme réponse, et c’est ce que nous leur fournissons aujourd’hui. »
Dans cette dynamique de reprise en main de la souveraineté financière, le président a également annoncé une première mesure concrète : « Le redressement a déjà commencé avec la réactivation du Comité national de la dette publique. Car il faut le dire, tous les mécanismes d’alerte avaient été désactivés, permettant ainsi la dissimulation de dettes. »
Abordant frontalement la question souvent posée par les partenaires techniques et financiers, dont le Fonds monétaire international (FMI), le chef de l’État a rappelé : « La question du FMI revient toujours : “Oui, vous allez faire tout ça, mais comment ? Concrètement, comment allez-vous le faire ?” »
Selon lui, les précédentes équipes dirigeantes se contentaient de réponses floues, voire imprudentes : « Évidemment, il n’y avait pas de réponses concrètes, si ce n’est “dinanouko lidianti”, c’est-à-dire “on va se débrouiller”. C’est à cause de ce « lidianti » que le Sénégal s’est retrouvé avec une dette cachée. »
Bassirou Diomaye Faye a tenu à distinguer le nouveau plan du Premier ministre Ousmane Sonko de ceux du passé, en mettant en avant une innovation essentielle : « Toute l’ingéniosité du plan réside dans le chiffrage ligne par ligne de chaque action prévue, ce qui constitue, en agrégé, les 5 667 milliards de ressources projetées. C’est précisément ce type de rigueur que le FMI attendait comme réponse, et c’est ce que nous leur fournissons aujourd’hui. »
Dans cette dynamique de reprise en main de la souveraineté financière, le président a également annoncé une première mesure concrète : « Le redressement a déjà commencé avec la réactivation du Comité national de la dette publique. Car il faut le dire, tous les mécanismes d’alerte avaient été désactivés, permettant ainsi la dissimulation de dettes. »
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