La dosette alcoolisée, dénommée «Jakarta», vient de s’abattre sur la commune des HLM, en faisant quatre (4) morts. Il s’agit, selon l’Ong Jamra, des adolescents à la fleur de l’âge.
Classés «Quartier rouge» par les services de sécurité urbaine, cette boisson alcoolisée est aujourd’hui accessible pour la modique somme de 100 Fcfa.
Les HLM, très affectés par le fléau de la délinquance juvénile, sont d’autant plus exposés que les débits de boissons alcoolisées y poussent comme des champignons, au point de tenir la dragée haute à des quartiers voisins, comme Niary-Tally et Castors et Grand-Yoff, qui trône toujours au sommet du podium, avec pas moins de 400 bars !
Après quatre mois d’investigation, la conviction de Jamra était définitivement acquise que c’était ici, au Sénégal, précisément à Rufisque que ces breuvages étaient conditionnés.
JAMRA avait même invité les autorités compétentes à se promener au premier quartier situé à l’entrée de Rufisque (à droite, en revenant de Thiès, après l’usine Sococim), précisément à Colobane 2 Sud. C’est là qu’effectivement opéraient les exploitants véreux de ces sachets d’alcool.
Qui, curieusement, disposaient d’une autorisation en bonne et due forme, dont il revient à Jamra que ni le Préfet, ni le Maire n’étaient impliqués dans la délivrance de ce sésame.
Alors, question à mille dosettes: qui protégeait le fabriquant de ce maudit breuvage, qui poursuivait allégrement ses activités destructrices, au vu et au su de tous ?
Classés «Quartier rouge» par les services de sécurité urbaine, cette boisson alcoolisée est aujourd’hui accessible pour la modique somme de 100 Fcfa.
Les HLM, très affectés par le fléau de la délinquance juvénile, sont d’autant plus exposés que les débits de boissons alcoolisées y poussent comme des champignons, au point de tenir la dragée haute à des quartiers voisins, comme Niary-Tally et Castors et Grand-Yoff, qui trône toujours au sommet du podium, avec pas moins de 400 bars !
Après quatre mois d’investigation, la conviction de Jamra était définitivement acquise que c’était ici, au Sénégal, précisément à Rufisque que ces breuvages étaient conditionnés.
JAMRA avait même invité les autorités compétentes à se promener au premier quartier situé à l’entrée de Rufisque (à droite, en revenant de Thiès, après l’usine Sococim), précisément à Colobane 2 Sud. C’est là qu’effectivement opéraient les exploitants véreux de ces sachets d’alcool.
Qui, curieusement, disposaient d’une autorisation en bonne et due forme, dont il revient à Jamra que ni le Préfet, ni le Maire n’étaient impliqués dans la délivrance de ce sésame.
Alors, question à mille dosettes: qui protégeait le fabriquant de ce maudit breuvage, qui poursuivait allégrement ses activités destructrices, au vu et au su de tous ?
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