Affaire Mlle Aïssatou Tall c/ Mr CheikhYérim Seck : le point de vue d’un juriste


Affaire Mlle Aïssatou Tall c/ Mr CheikhYérim Seck : le point de vue d’un juriste
Il faut s’offusquer de la fausse échappatoire de la plupart des juristes qui estiment ne pas vouloir se prononcer sur une affaire pendante devant la justice. Or, dans un passé encore récent, ces ouailles de la versatilité et girouettes de la tartufferie se sont données à cœur joie pour des débats épiques de doctrine, avant et après, à propos de la décision du conseil constitutionnel relative à la constitutionnalité et à la validité de la candidature controversée de l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, à la présidentielle de février et mars 2012.

Dans l’affaire Aïssatou Tall c/ CheikhYérim Seck, il n’y a pas eu de viol mais conjonction sexuelle réciproquement consentie entre deux personnes majeures de sexe opposé (qu’importe l’écart de la majorité d’âge entre les deux parties) et jouissant de la plénitude de leurs facultés mentales dans un lieu privé et discret à l’abri des regards et des mœurs.

Comment une jeune femme de 20 ans habillée a pu se faire dévêtir et ôter son linge intime (slip) sans opposer une résistance déterminée et farouche, sans crier et laisser des traces, stigmates et séquelles de griffures sur le corps de son présumé violeur ? D’ailleurs, les employés de l’auberge ne sont-ils pas vite venus s’enquérir de la situation lorsqu’il y a eu pénétration phallique et dépucelage à cause des cris, a fortiori ils auraient rappliqué à la phase préliminaire du flirt et du déshabillement vestimentaire si elle avait hurlé ? Quel est l’état de ses habits ? Avec quels habits a-t-elle pu quitter l’auberge si ceux-ci ont été arrachés et malmenés par le présumé violeur ? Comment le présumé auteur de viol sexuel a pu simultanément s’occuper à enfiler, peut-être, un préservatif à usage sexuel et en même temps user de force physique pour contrecarrer et contenir les velléités de résistance de sa potentielle victime qui disposait de la liberté de ses deux mains, ses bras, ses coudes, ses jambes, ses dents pour mordre et ses cordes vocales pour crier ? Comment un soi-disant génie primée au concours général, une nouvellement préinscrite à Montpellier pour des études supérieures a pu accepter de se rendre dans une auberge, pour un premier rendez-vous aussi galant, et de monter dans une chambre où elle aperçoit un homme torse nu sans redescendre aussitôt ? Pourquoi n’a-t-elle pas exigé qu’elle préfère attendre plutôt le monsieur à la salle d’attente publique ou dans toute autre pièce accessible au public ? Une femme qui est crédible et respectable n’a rien à faire dans la chambre d’un homme qu’elle vient, récemment, de connaître à peine. Ce n’est pas l’endroit le mieux indiqué pour faire ample connaissance, à moins de vouloir approfondir la curiosité de la découverte réciproque :…l’intimité !

En réalité, elle y est venue pour un but bien précis et a délibérément offert sa virginité même si elle a avisé son partenaire de son état de vierge néophyte mais n’a pas opposé une résistance même molle avant la pénétration phallique, puis a pris peur (remords et regrets postérieurs ?) quand un jour ses parents découvriraient son manque de vertu au moment du mariage ainsi que son futur mari. Elle a voulu se défaire de sa virginité en se faisant passer pour une victime comme çà, arrivée à Montpellier, elle pourra continuer ses frasques sexuelles loin de la surveillance austère de ses parents et, si par mégarde, elle vient à tomber enceinte, elle pourra faire un tour dans les pays voisins de la France et se faire avorter en toute tranquillité ! Donc il lui fallait se défaire au préalable de cette virginité à Dakar avec un homme célèbre et feindre la victime !

Par rapports aux cris aigus de soprane prétendument de détresse et d’alerte au secours, il est très facile de les expliquer et justifier :
- d’abord, le premier rapport sexuel d’une fille ou d’une femme vierges est toujours douloureux quand il s’agit de la perte de l’hymen car l’étroitesse de son intimité n’a jamais été habituée à des pénétrations fréquentes pour un élargissement, a fortiori pour les femmes habituées à la conjonction sexuelle qui, à chaque relation avec un partenaire, procèdent à la lenteur et de petites poussettes de la pénétration phallique pour que l’appareil féminin constricteur se réapproprie progressivement à l’accoutumance ;

- ensuite, il y a le facteur possible des mensurations de l’appareil génital mâle et le facteur du passage rapide et précipité à l’acte sexuel alors que l’organe féminin, peut être, n’a pas encore été préparé aux préliminaires, notamment l’autolubrification vaginale qui signe l’élargissement progressif de l’orifice féminin en vue d’une facilitation glissée de la pénétration phallique.

Les cris perçants entendus par quelques employés du personnel (lequel positionné à l’extérieur ne peut témoigner avec certitude sur ce qui s’est réellement passé intra muros dans la chambre) se justifient, peut être, par ce qui précède au vu de l’inexpérience de la fille qui appréhende avec crainte son premier acte sexuel.
Par suite, on pourrait courir le risque de l’instrumentalisation de la justice pour en faire une affaire de corporation où les magistrats se rendent des services entre eux. Ce qui y conforte est le choix porté sur la personne d’un bleu de la profession en la personne d’un tout nouveau magistrat sorti fraîchement de sa formation judiciaire à l’ENA pour tenir les rênes de l’audience de flagrance à propos de cette affaire d’espèce. Sera-t-il dans le confort de pouvoir supporter le regard perçant et, nonchalamment, influent du père de la partie civile, un rompu à la tâche judiciaire, même si celui-ci serait confiné au rang du public, en plus d’une possibilité qu’il soit témoin à charge ? Ne sera-t-il pas plutôt enclin à être timoré pour ne pas hypothéquer l’avancée de sa carrière qu’il entame précocement et faire peser la balance en faveur d’une solidarité corporatiste ? Si le père fait tout un plat, c’est pour régler le compte à l’entêtement de Mr Cheikh Yérim Seck d’avoir refusé d’obtempérer à cesser de fréquenter sa fille. Au plus profond de lui, ce père et magistrat chevronné sait bel et bien qu’un juriste-journaliste célèbre comme l’indexé ne va pas ternir sa réputation avec un viol alors que certainement des femmes voudraient bien partager sa couche, comme c’est connu au Sénégal.
Il y a eu donc bien consentement et la fille (influencée ?) semble, avec froideur, faire volte-face en s’appuyant sur la base de précédents judiciaires et sociaux. Lesquels ? Mathiou et compagnie piégés par des filles mineures au corps précoce de femmes, l’affaire des fausses auto-stoppeuses qui font des chantages, l’affaire de la fille manipulée par sa mère et qui se disait enceinte de son père : mensonge éventé après accouchement et test d’ADN, l’affaire de filles et femmes qui simulent la recherche d’un travail de ménagère pour pouvoir ensuite désister après avoir mémorisé l’agencement et la décoration des pièces d’une maison sur la base desquels elles font des chantages à des hommes mariés ou vivant seuls, l’affaire de Dominique Strauss-Kahn à New York éventée, enfin l’affaire parisienne de l’avocat El Hadji Diouf, et tant d’autres affaires de l’esprit fécond en imaginations féminines. Donc Mlle Aïssatou Tall semble s’être inspirée du prétendu viol de l’avocat sénégalais en France et, sachant que si elle perdait sa virginité en France la justice française finira par démasquer son stratagème avant même le procès pénal, alors elle choisit délibérément de perdre sa virginité au Sénégal en comptant sur le rang et sur le statut de magistrat de son père et en feignant la stigmatisation de victime au « sexe faible » pour émouvoir la sympathie de l’opinion publique sénégalaise malléable et manipulable. Cette fille s’est défaite de sa virginité qui était un frein à sa conception de l’émancipation mais en même temps elle ne voulait pas heurter mais tenait à préserver l’apparence éducationnelle des coutumes et traditions de ses parents austères pour ne pas les décevoir et ne pas être considérée comme une fille de la semaine à petite vertu. C’est le modus operandi de cette cabale : il lui fallait un célèbre pigeon pour un scandale “Peopleˮ retentissant à la Nafissatou Diallo ou à la Monica Lewinsky pour berner ses parents avant de pouvoir quitter le Sénégal pour Montpellier car si tel n’était pas le cas son austère père aurait peut-être, pour la punir, mis fin à ses ambitieux rêves à Montpellier.

Arrêtons nous sur le cas parisien de l’avocat et député sénégalais : en France, la justice ne se laisse pas facilement démonter par des accusations de viol, c’est comme çà qu’elle a pu démasquer les mensonges de la fausse victime de l’avocat sénégalais. Cette affaire parisienne est similaire à celle de Yérim Seck et les deux affabulatrices sont des personnes majeures : la seule différence est que, au Sénégal, on a trop tendance à accorder foi à tout ce que dit la gent féminine sans isoler l’ivraie de la nuisance manifeste et délibérée du bon grain de la vérité. On donne toujours tort aux hommes (hélas beaucoup d’hommes sont en prison pour accusation fallacieuse sur la base d’une seule version prise en compte…celle féminine) et pourtant devant les enquêteurs, Yérim Seck a accepté l’humiliation de se mettre nu comme un ver de terre pour prouver qu’il n’y a pas lutte, griffures, écorchures, éraflures si sa prétendue victime avait vraiment opposé résistance.

Devant une procédure d’enquête de police judiciaire lorsqu’il est impossible de démêler le problème avec des parties qui campent sur leurs positions, la police judiciaire refile obligatoirement la patate chaude au procureur de la République. Au niveau de ce dernier lorsqu’il délègue à un de ses substituts, celui-ci préfère fréquemment inculper et placer sous mandat de dépôt sans trop se poser de questions plutôt que de courir le risque d’être désavoué par sa hiérarchie (encore la prudence excessive du magistrat pour l’avancée dans la carrière). C’est le système bien sénégalais, contrairement à l’affaire parisienne de l’avocat sénégalais. Maintenant à charge pour le juge de première instance de trancher le litige (le bleu de la magistrature cité plus haut dans l’affaire d’espèce) entre les colitigants.

Aujourd’hui, la nouvelle génération des filles et des jeunes femmes considère la virginité comme un poids lourd et un frein à leur liberté sexuelle. C’est connu ! Yérim Seck s’est fait piégé et toute la gent masculine est en péril face à ce genre de filles et femmes à l’esprit très raffiné dans le machiavélisme !
Cheikh Yérim Seck, quoique victime d’une machination, n’en sortira pas pour autant indemne du point de vue de sa réputation ternie. Par contre, la jeune femme s’en sortira sans frais comme c’est fréquent au Sénégal et son père gloussera intérieurement de joie de voir le têtu courtisan irrémédiablement marqué à vie. Comme si Dieu et le jugement dernier n’existent plus lorsqu’il se regardera devant un miroir et s’adonnera à ses 5 prières quotidiennes (Subar, Tisbar, Takusaan, Timis et Geewee) ! Ah, l’aveuglement subjectif de l’amour parental ! Le comble, c’est que cette “fille à papa” a été exfiltrée vers Montpellier et la préinscription universitaire devient une bouée de sauvetage quant à la problématique de la mauvaise foi ou non. Il convient de revisiter, dans une finalité prospective, les règles procédurales judiciaires en mettant fin à la non présence de la partie civile lors du procès ou alors qu’elle soit obligée à se présenter à date échue pour la manifestation de la vérité. Au surplus, il est dans l’intérêt de la partie défenderesse d’exiger une contre-expertise dudit certificat médical par le biais d’une commission rogatoire adressée à la justice française car l’éloignement précipité de la partie civile dans l’hexagone semble suspect. Il faut verrouiller cette boîte de Pandore dont use et abuse la gent féminine pour accuser, à tout bout de champ, des hommes sans frais en retour. C’est trop facile de retenir un homme dans les liens de la prévention carcérale au Sénégal sur la base des seules allégations unilatérales de la femme. Où sont la parité, l’égalité, l’équilibre et l’éthique entre justiciables ?
Pour une démarche toujours prospective d’une bonne justice équitable et équilibrée, on pourrait restreindre la liberté de circuler et de voyager en confisquant, peut-être, les documents de voyage (passeport…) le temps de vider l’affaire mais accorder le bénéfice de la liberté provisoire et du contrôle judiciaire à l’homme, partie défenderesse, si l’on accepte que la partie civile puisse s’évaporer dans la nature ou s’exfiltrer loisiblement.

La douzième législature de l’Assemblée nationale du Sénégal est interpellée pour des propositions de loi au cas où l’Exécutif ne prend pas des projets de loi allant dans ce sens car les femmes bénéficient trop de facilités judiciaires en matière de contentieux. Et mieux c’est une femme, Mme Aïda Mbodji, actuelle députée libérale et démocrate de la 12ème législature, qui demandait à la défunte 11ème législature lors d’un passage à l’Assemblée nationale de faire très attention à ces filles vicieuses qui s’ingénient à piéger la renommée d’hommes célèbres et argentés, reconnaissant ainsi qu’il y a des pratiques peu orthodoxes qui se font sous nos cieux sénégalais.
C’est sous ce même entrain qu’il y a lieu de ranger le prétexte fourre-tout de l’incompatibilité d’humeur pour se débarrasser d’un mari en inventant des violences pour l’abus de pensions alimentaires et les conséquences du divorce en cas d’option monogamique ou polygamique limitée ou non. En effet, l’homme qui a contracté à l’option monogamique est enfermé jusqu’à sa mort dans celle-ci même s’il a eu à subir une contrainte morale (chantage de désistement au mariage, menaces de la promise) émanant de la femme pour qu’il souscrive à cette option, avant le passage devant l’Officier de l’état civil. Toujours dans la prospective, il serait intéressant de procéder à l’application réciproque de l’option du statut conjugal (sauf consentement mutuel des parties en couple ou divorcés à se libérer de l’option souscrite pour une autre) car une femme vous enferme dans une option monogamique et demain, après le divorce, elle ne se gênera pas pour se retrouver dans un foyer polygamique et même revenir à satiété dans un mariage monogamique autant de fois qu’elle le souhaite, comme un oiseau marabout voyageur qui picote partout. Ainsi, la question de l’option au statut conjugal mettra à égalité le genre humain, plus personne ne pourra souscrire une autre option pour un autre mariage après avoir enfermé son ex-partenaire dans la bastille d’une option conjugale, sauf s’il y a consentement mutuel pour se libérer de l’option précédente.

En conclusion, le revers de la médaille pour la jeune femme Aïssatou Tall c’est la voie de droit offerte à Cheikh Yérim Seck de servir une citation directe à partie civile pour engager soit sa responsabilité civile pour dénonciation téméraire, soit sa responsabilité pénale pour dénonciation calomnieuse. Et même l’État, du fait de sa justice, prompt, à tort et à travers, à toujours faire droit et à donner raison à la gent féminine en emprisonnant des hommes victimes de cabale, pourrait voir sa responsabilité engagée pour mauvais fonctionnement du service public de la justice lors d’un recours administratif de plein contentieux devant la chambre administrative de la Cour Suprême. C’est pour éviter cette déconvenue que le tribunal parisien de Versailles a relaxé, récemment, l’ex-international français de football, Claude Makélélé, des accusations de violences portées à son encontre par son intrigante ex-petite amie. Et ce tribunal est allé jusqu’à retenir contre cette affabulatrice le délit d’abus de constitution de partie civile, en sus d’une amende.
Je doute fort que Cheikh Yérim Seck envenime les choses et usant de son droit de recours et de réplique. Et pourtant il est parfois recommandé de rendre les coups pour que ce genre de mauvaise graine féminine sache qu’on ne peut impunément salir la dignité des gens en usant de subterfuges judiciaires pour solder des comptes domestiques.

Mardi 18 Septembre 2012
Pierre Dieng



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

49.Posté par ngor sarr le 18/09/2012 18:36
Les plus pertinentes analyses sont : 44; 39; 37; 35; 34; 29

48.Posté par JURISTE le 18/09/2012 17:47
LA GYMNASTIQUE INTELLECTUELLE INDIGNE DE CE JURISTE NE SAUVERA PAS CE JOURNALISTE-VIOLEUR DES GRIFFES DE DAME JUSTICE. LISEZ BIEN CECI :
CODE PENAL SENEGALAIS Article 320. – Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol.
Le viol sera puni d’un emprisonnement de cinq à dix ans.

47.Posté par DESCARTES le 18/09/2012 17:46
CODE PENAL SENEGALAIS Article 320. – Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol.
Le viol sera puni d’un emprisonnement de cinq à dix ans.

46.Posté par un passant le 18/09/2012 17:31
Juste dire que CYS a été certes imprudent mais cest des fautes que font tous les hommes. par rapport à la fille, je ne crois pas à un piège mais elle a joué à un jeu qu'elle ne connait pas et ça la dépassé. CYS pouvait être plus tact et trouver les mots juste avant qu'elle ne sorte même de la chambre. Aujourdhui les dégats sont des deux côtés et leurn image est ternie à jamais puisque l'adultère ( proscrit par toutes les religions au Sénégal et par notre société ) est établi. Pour finir, peut être même un couple semblalble à CYS et à Aiisastou est entrain de lire ces commentaires dans une auberge...pour dire que le phénomène est endémique au Sénégal.

45.Posté par Almamy le 18/09/2012 17:21
CYS n'est pas un gentleman.
Il était convenu avec la fille de jouer au "frotti frotta"; mais il l'a dit durant l'enquete: "je ne vois pas de différence majeure entre frotter à l'entrée et pénétrer".
Il n'a pas respecté le contrat, la fille ne voulait pas lui offrir sa virginité, il devait se limiter aux termes du deal.
Après son forfait, pourquoi a t il parlé d'incompréhension ? Pourquoi a t il proposé réparation en épousant la fille ?
Ce donneur de leçon est minable.
Il n'est pas un gentleman

44.Posté par m le 18/09/2012 17:17
Bonne chance CYS dans cette douloureuse épreuve.

43.Posté par KOCC le 18/09/2012 17:14
MAIS QU'EST CE QUI PROUVE QU'IL Y A VIOL ?
JE NE VOIS PAS

42.Posté par ISSA le 18/09/2012 17:05
Cher Monsieur le soi disant juriste,
Je suis sidéré par la pauvreté de la défense qui est tenté à travers cette argumentation . Pelle mêle vous citez des faits qui n'ont rien à voire les uns avec les autres et vous vous permettez de citer des noms qui peuvent vous valoir des plaintes pour diffamation. Je vous laisse entre les mains des interessés qui ne manqueront pas de réagir. Vous ne pouvez pas faire la différence entre un acte consenti et un acte imposé. Votre ami a apparemment prémédité son forfait et la façon et les mots que vous utisez pour salir l'honeur de cette fille et de sa famille ne sont pas dignes du juriste que vous prétendez être. Quand au site d'information qui a cru trouvé en vous un défenseur il ganerait à se faire discret car tous les commentaires vont dans le même sens. Et bien au contraire vous contribuez à la culpapabilité de CYS et à attirer la sympathie et le soutien auprès de la victime et de sa famille. Ne vous en faites pas la fille sera bien là demain pour démolir tout ce matraquage. Elle affrontera son bourreau devant la justice avec ses avocats. Ton gus paiera pour ce qu'il a fait et ce sera justice.

41.Posté par Cayorman le 18/09/2012 17:03
J'ai vraiment peur pour le Senegal si l'auteur de cet article est juriste. Un texte nul.

40.Posté par mew le 18/09/2012 16:58
Sex Yerim Seck écrit cet article, le signe sous Pierre DIENG et donne son avis. Il cogite beaucoup, je sais, depuis qu'il est entre les liens de la détention. Mais qui connaît un Pierre DIENG, juriste au Sénégal. Je sais que Sex Yerim Seck ne peut pas se prononcer alors qu'il est détenu. Alors, il trouve l'astuce de rédiger et de faire passer son texte sous un pseudo-nom. Je défie Dakaractu de donner les coordonnées de Pierre DIENG. Les lecteurs de Dakaractu sont en mesure d'écrire que c'est bel et bien Sex Yerim SECK qui a écrit cet article sur le viol au Sénégal. Le gars, il jeûnait les lundi et jeudi, contribue à la mosquée de son quartier, donne des leçons aux gens, alors qu'il a des capotes dans sa voiture. Il tirait simplement sur les filles. Sacré Sex Yerim SECK!

39.Posté par ZAMI le 18/09/2012 16:33
L'ARGUMENTAIRE EST D'UNE PAUVRETE ET D'UNE BASSESSE D'ESPRIT TELLE QU'ELLE SE PASSE DE COMMENTAIRE. EN TOUT ETAT DE CAUSE ET EN TANT QUE PERE D'UNE FILLE QUE J'ADORE ET JE VEUT PRESERVER DE CETTE RACE D'ADULTES ANIMAUX CARNIVORES ET FEROCES QUI N'ONT MEME PAS DE RESPECT POUR LEURS EPOUSES ET LEURS PROPRES ENFANTS, JE SOUHAITE QUE LE CHATIMENT QUI LUI SERA INFLIGE SOIT D'UNE EXTREME SEVERITE.CAR IL FAUT NOUS PRESERVER DES AUTRES DE SES SEMBLABLES COMME L'AUTEUR DE CET ARTICLE QUI MERITE UNE NOTE ELIMINATOIRE.

38.Posté par FAUX JURISTE le 18/09/2012 16:11
Mon ami et confrère juriste,
Je vs pardonne d’être passé à coté de ce dont vous avez fait comprendre en titre. Je m attendais a ce que vous parliez de viol dans sa conception technique. Mais vous vous êtes noyez dans des extrapolations aux allures de campagne de communication en faveur des hommes pour certainement un homme. Sauf si vous êtes je ne sais quoi, vous devez être en mesure de savoir que l on peut inviter une fille dans un endroit discret pour plaire. Vous devez savoir que flirter peu impliquer déshabillement complet des partenaires. choses qui ne signifient guère rapport sexuels obligatoires.
En plus vous sembler être un témoin privilégié des faits. Ce qui m 'étonnerait. Sinon en bon juriste tu dois savoir que le contexte d un fait ou d'un acte est essentiel à connaitre pour pouvoir tirer des conclusions plus ou moins proche de la vérité souvent très loin de nous. un exemple: je vais te tuer n'a point le même sens selon les contextes car ce propos peut traduire un profond amour attaché au destinataire de ces mots comme ils peuvent traduire l'autre extrémité qui est la haine. SI TU NE CONNAIS PAS LE CONTEXTE TU FAUSSE LE SENS A DONNER A UN ACTE A UN FAIT OU A UN ETAT DE FAIT; Alors laisse les magistrats et l'administration déterminer le contexte de ces faits et tirer les conclusions correspondant à la justice des hommes.
Merci
abajioe2002@yahoo.fr

37.Posté par S/s le 18/09/2012 16:00
gor en erection n'a plus de pensées

36.Posté par Espion le 18/09/2012 15:58
Pitoyable venant d'un supposé juriste, plutôt digne d'un KF avec saison 3.

Soyons sérieux, la fille n'est pas une sainte ni touche mais de là, à développer tout un argumentaire fallacieux théorisant un piège tendu par cette dernière qui cherche à se débarrasser de sa virginité afin de vagabonder une fois à Montpellier est ridicule. Jusque là tous les actes ont été posés par CYS (drague, rv...)

C'est simple, notre cher journaliste n'arrive pas à dissocier rancard et sexe. La preuve, il vient couvert, armé de son Manix et monte dans la chambre en devançant la fille (comme le prouve son CDF) alors que la rencontre aurait pu se tenir dans un autre lieu de l'auberge.

La bonne demoiselle a reconnu être consentante pour un flirt mais pas plus et notre cher ami d'après les "doulnalistes" avance ne pas voir la différence entre frotter et enfourcher.
Cher juriste, pourquoi la fille se serait barricadée dans les chiottes ? Si elle était apeurée par le sang suite un acte voulu, qui de mieux que CYS pour la consoler ?
En plus, le sentiment de culpabilité de ton ami manifesté à travers son harcèlement téléphonique et sa proposition de mariage en dit long sur sa connerie qu'il ne lui reste plus qu'à lâcher le morceau.

C'est bien dommage pour CYS car ses jeûnes ne lui ont pas permis de canaliser sa libido.

Par ailleurs, suis entièrement d'accord sur le seul point intéressant du texte à savoir la nécessité de revoir le régime matrimonial.

35.Posté par une senegalaise le 18/09/2012 15:48
cet article est a vomir! J'ai honte pour celui qui l'a ecrit, un homme apparemment migogyne, machiste et frustré et tellement lache qu'il n'a pas voulu signer ce torchon. Encore une fois un homme marié a 2 femmes, père de famille responsable et digne n'a rien a faire dans une auberge avec une fille de l'age de ses enfants.
Mlle Tall a eu le tort comme bcp de filles de son age d'etre imprudente, naive et eblouie par la celebrite de Mr Seck, mais cela ne lui donne, en aucun cas le DROIT DE LA VIOLER.
Nous sommes dans un pays de droit ou les femmes ont le droit de circuler librement y compris dans une auberge, sans que pour cela on porte atteinte a leur integrite physique.
Ou va le Sénégal si a chaque fois qu'une fille se retrouve seule avec un homme celui ci la viole sous pretexte qu'elle aurait du rester chez elle ?

34.Posté par Juricabece le 18/09/2012 15:45
Ce texte me laisse sceptique. Il est cousu de fil blanc. Pl'auteur n'en est autre que ce violeur de Cheikh Yerim, que l'on reconnaît facilement à sa propension à flatter son égo.
Il veut appa
Emment nous faire prendre des vessies pour des lanternes, en essayant de faire passer cette innocente gamine pour une fille aux mœurs légères. Et même! Si tel était le cas, de quel droit cet obsédé sexuel arracherait-il la virginité de cette gamine soul le prétexte qu'elle consentait à faire l'amour avec lui?
La théorie fumeuse qui veut le faire passer pour une victime à la place de sa victime ne pourr bluffer personne, et nos magistrats en ont vu bien d'autres, car un violeur, tout juriste qu'il soit, restera toujours un violeur, et il aura beau faire des contorsions juridiques et philosophiques, celane l'empêchera pas de répondre devant Dieu et les hommes de son actée odieux. Cinq années de prisons ne devraient pas être de trop pour lui apprendre l'humilité, car c'est trop facile de dire : " j'ai été piège".

33.Posté par Sandrine Ndiaye le 18/09/2012 15:33
J'ai lu ce texte avec un profond dépit, une colère et une honte. Vous êtes ignoble, M. Dieng (Mounirou Sy certainement), à tout point de vue. Je suis au travail, mais je vous répondrai ce soir, aussi bien sur la forme (plus que limitée de votre niveau de langue) que sur le fond (absence de cicatrices physiques = absence de viol !!! Quelle ignominie).

32.Posté par DEUG REK MONOU GNOR le 18/09/2012 14:34
Sinlcerement les hommes sont fatigués au senegal. On a donné trop de pouvoirs aux femmes et les mauvaises en profitent pour etre celebres. Ce que CYS a fait, disons la verité meme de grands marabouts font parfois des sorties, c'est un péché qui nous suit tous. Pourquoi en faire un cas isolé comme si délibéremment on voulait la peau de ce jeune homme victime de sa notorieté et de l'amour? C'est pas parce que son père est magistrat qu'on doit porter atteinte à la carrière de CYS. Il faut qu'on cesse d'être jaloux au sénégal, il faut dire la vérité? IL faut bien éduquer les filles. Comment une fille qui na jamais connu de sexe peut elle fixer un RV, arriver la première, se loger dans une chambre d'hôtel, se déshabiller et attendre un homme dont elle ignore la taille de ses membres pour prétendre ensuite à un viol. Chers magistrats, faites correctement votre travail, si son père prétend avoir une fille éduquée, il faut d'abord qu'il nous montre comment elle a fait tout ça.

31.Posté par CYS le 18/09/2012 14:29
Notre justice est merdique, notre système en général est merdique. Les mentalités sont congelées! Très peu de Sénégalais prennent le temps de réfléchir devant une situation complexe. Il y a tellement de conneries dans nos textes juridiques, tellement d'errements, de portes ouvertes... Lacunes? échappatoires? ou je je-m’en-foutisme? Beaucoup d'hommes sont en prisons pour rien. Très probablement CYS sera jugé coupable, mais il faudrait bien que l'on revoie les textes trop à l'avantage des femmes.
Personnellement, je n'espère pas que cela change, en tout pas pour les 50 années à venir. Nous sommes encore très très loin du chemin, et c'est valable dans tous les domaines.
Pour ce qui sont contre, sachez que je m'en fou de ce que vous pensez de ce j'ai dis.

30.Posté par mmm le 18/09/2012 14:26
Comment les gens ne peuvent pas comprendre que penetrer une fille qui flirte avec toi sans son consentement est un viol.
La loi est la loi . Que la fille ne soit pas prudente , qu'elle ait accepté de se déshabiller , qu'elle est accepté de flirter et de sucer ou se faire sucer (excusez moi les termes crus) , si pendant la pénétration elle ne voulait pas alors c'est un viol.
La seule est question que les avocats de CYS doivent chercher est : Est ce qu'elle a accepté l'acte sexuel et a paniqué au vu du sang.
Pour eviter des choses commme ça quand je m'apprete à coucher avec une fille et que je rend compte qu'elle est virege , je ne la pénétre jamais.
Si elle ne l'est pas mais au moement de la pénétration elle dit non , je m'arrete et demande une fellation que toutes les filles acceptent en général .
Je n'etais pas dans l'intimité de la chambre de l'hotel donc je ne peux pas dire à 100% que c'est un viol mais apres flirté , fait une fellation et tout elle ne voulait pas etre pénétré alors c'est un viol.

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