Affaire Mlle Aïssatou Tall c/ Mr CheikhYérim Seck : le point de vue d’un juriste


Affaire Mlle Aïssatou Tall c/ Mr CheikhYérim Seck : le point de vue d’un juriste
Il faut s’offusquer de la fausse échappatoire de la plupart des juristes qui estiment ne pas vouloir se prononcer sur une affaire pendante devant la justice. Or, dans un passé encore récent, ces ouailles de la versatilité et girouettes de la tartufferie se sont données à cœur joie pour des débats épiques de doctrine, avant et après, à propos de la décision du conseil constitutionnel relative à la constitutionnalité et à la validité de la candidature controversée de l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, à la présidentielle de février et mars 2012.

Dans l’affaire Aïssatou Tall c/ CheikhYérim Seck, il n’y a pas eu de viol mais conjonction sexuelle réciproquement consentie entre deux personnes majeures de sexe opposé (qu’importe l’écart de la majorité d’âge entre les deux parties) et jouissant de la plénitude de leurs facultés mentales dans un lieu privé et discret à l’abri des regards et des mœurs.

Comment une jeune femme de 20 ans habillée a pu se faire dévêtir et ôter son linge intime (slip) sans opposer une résistance déterminée et farouche, sans crier et laisser des traces, stigmates et séquelles de griffures sur le corps de son présumé violeur ? D’ailleurs, les employés de l’auberge ne sont-ils pas vite venus s’enquérir de la situation lorsqu’il y a eu pénétration phallique et dépucelage à cause des cris, a fortiori ils auraient rappliqué à la phase préliminaire du flirt et du déshabillement vestimentaire si elle avait hurlé ? Quel est l’état de ses habits ? Avec quels habits a-t-elle pu quitter l’auberge si ceux-ci ont été arrachés et malmenés par le présumé violeur ? Comment le présumé auteur de viol sexuel a pu simultanément s’occuper à enfiler, peut-être, un préservatif à usage sexuel et en même temps user de force physique pour contrecarrer et contenir les velléités de résistance de sa potentielle victime qui disposait de la liberté de ses deux mains, ses bras, ses coudes, ses jambes, ses dents pour mordre et ses cordes vocales pour crier ? Comment un soi-disant génie primée au concours général, une nouvellement préinscrite à Montpellier pour des études supérieures a pu accepter de se rendre dans une auberge, pour un premier rendez-vous aussi galant, et de monter dans une chambre où elle aperçoit un homme torse nu sans redescendre aussitôt ? Pourquoi n’a-t-elle pas exigé qu’elle préfère attendre plutôt le monsieur à la salle d’attente publique ou dans toute autre pièce accessible au public ? Une femme qui est crédible et respectable n’a rien à faire dans la chambre d’un homme qu’elle vient, récemment, de connaître à peine. Ce n’est pas l’endroit le mieux indiqué pour faire ample connaissance, à moins de vouloir approfondir la curiosité de la découverte réciproque :…l’intimité !

En réalité, elle y est venue pour un but bien précis et a délibérément offert sa virginité même si elle a avisé son partenaire de son état de vierge néophyte mais n’a pas opposé une résistance même molle avant la pénétration phallique, puis a pris peur (remords et regrets postérieurs ?) quand un jour ses parents découvriraient son manque de vertu au moment du mariage ainsi que son futur mari. Elle a voulu se défaire de sa virginité en se faisant passer pour une victime comme çà, arrivée à Montpellier, elle pourra continuer ses frasques sexuelles loin de la surveillance austère de ses parents et, si par mégarde, elle vient à tomber enceinte, elle pourra faire un tour dans les pays voisins de la France et se faire avorter en toute tranquillité ! Donc il lui fallait se défaire au préalable de cette virginité à Dakar avec un homme célèbre et feindre la victime !

Par rapports aux cris aigus de soprane prétendument de détresse et d’alerte au secours, il est très facile de les expliquer et justifier :
- d’abord, le premier rapport sexuel d’une fille ou d’une femme vierges est toujours douloureux quand il s’agit de la perte de l’hymen car l’étroitesse de son intimité n’a jamais été habituée à des pénétrations fréquentes pour un élargissement, a fortiori pour les femmes habituées à la conjonction sexuelle qui, à chaque relation avec un partenaire, procèdent à la lenteur et de petites poussettes de la pénétration phallique pour que l’appareil féminin constricteur se réapproprie progressivement à l’accoutumance ;

- ensuite, il y a le facteur possible des mensurations de l’appareil génital mâle et le facteur du passage rapide et précipité à l’acte sexuel alors que l’organe féminin, peut être, n’a pas encore été préparé aux préliminaires, notamment l’autolubrification vaginale qui signe l’élargissement progressif de l’orifice féminin en vue d’une facilitation glissée de la pénétration phallique.

Les cris perçants entendus par quelques employés du personnel (lequel positionné à l’extérieur ne peut témoigner avec certitude sur ce qui s’est réellement passé intra muros dans la chambre) se justifient, peut être, par ce qui précède au vu de l’inexpérience de la fille qui appréhende avec crainte son premier acte sexuel.
Par suite, on pourrait courir le risque de l’instrumentalisation de la justice pour en faire une affaire de corporation où les magistrats se rendent des services entre eux. Ce qui y conforte est le choix porté sur la personne d’un bleu de la profession en la personne d’un tout nouveau magistrat sorti fraîchement de sa formation judiciaire à l’ENA pour tenir les rênes de l’audience de flagrance à propos de cette affaire d’espèce. Sera-t-il dans le confort de pouvoir supporter le regard perçant et, nonchalamment, influent du père de la partie civile, un rompu à la tâche judiciaire, même si celui-ci serait confiné au rang du public, en plus d’une possibilité qu’il soit témoin à charge ? Ne sera-t-il pas plutôt enclin à être timoré pour ne pas hypothéquer l’avancée de sa carrière qu’il entame précocement et faire peser la balance en faveur d’une solidarité corporatiste ? Si le père fait tout un plat, c’est pour régler le compte à l’entêtement de Mr Cheikh Yérim Seck d’avoir refusé d’obtempérer à cesser de fréquenter sa fille. Au plus profond de lui, ce père et magistrat chevronné sait bel et bien qu’un juriste-journaliste célèbre comme l’indexé ne va pas ternir sa réputation avec un viol alors que certainement des femmes voudraient bien partager sa couche, comme c’est connu au Sénégal.
Il y a eu donc bien consentement et la fille (influencée ?) semble, avec froideur, faire volte-face en s’appuyant sur la base de précédents judiciaires et sociaux. Lesquels ? Mathiou et compagnie piégés par des filles mineures au corps précoce de femmes, l’affaire des fausses auto-stoppeuses qui font des chantages, l’affaire de la fille manipulée par sa mère et qui se disait enceinte de son père : mensonge éventé après accouchement et test d’ADN, l’affaire de filles et femmes qui simulent la recherche d’un travail de ménagère pour pouvoir ensuite désister après avoir mémorisé l’agencement et la décoration des pièces d’une maison sur la base desquels elles font des chantages à des hommes mariés ou vivant seuls, l’affaire de Dominique Strauss-Kahn à New York éventée, enfin l’affaire parisienne de l’avocat El Hadji Diouf, et tant d’autres affaires de l’esprit fécond en imaginations féminines. Donc Mlle Aïssatou Tall semble s’être inspirée du prétendu viol de l’avocat sénégalais en France et, sachant que si elle perdait sa virginité en France la justice française finira par démasquer son stratagème avant même le procès pénal, alors elle choisit délibérément de perdre sa virginité au Sénégal en comptant sur le rang et sur le statut de magistrat de son père et en feignant la stigmatisation de victime au « sexe faible » pour émouvoir la sympathie de l’opinion publique sénégalaise malléable et manipulable. Cette fille s’est défaite de sa virginité qui était un frein à sa conception de l’émancipation mais en même temps elle ne voulait pas heurter mais tenait à préserver l’apparence éducationnelle des coutumes et traditions de ses parents austères pour ne pas les décevoir et ne pas être considérée comme une fille de la semaine à petite vertu. C’est le modus operandi de cette cabale : il lui fallait un célèbre pigeon pour un scandale “Peopleˮ retentissant à la Nafissatou Diallo ou à la Monica Lewinsky pour berner ses parents avant de pouvoir quitter le Sénégal pour Montpellier car si tel n’était pas le cas son austère père aurait peut-être, pour la punir, mis fin à ses ambitieux rêves à Montpellier.

Arrêtons nous sur le cas parisien de l’avocat et député sénégalais : en France, la justice ne se laisse pas facilement démonter par des accusations de viol, c’est comme çà qu’elle a pu démasquer les mensonges de la fausse victime de l’avocat sénégalais. Cette affaire parisienne est similaire à celle de Yérim Seck et les deux affabulatrices sont des personnes majeures : la seule différence est que, au Sénégal, on a trop tendance à accorder foi à tout ce que dit la gent féminine sans isoler l’ivraie de la nuisance manifeste et délibérée du bon grain de la vérité. On donne toujours tort aux hommes (hélas beaucoup d’hommes sont en prison pour accusation fallacieuse sur la base d’une seule version prise en compte…celle féminine) et pourtant devant les enquêteurs, Yérim Seck a accepté l’humiliation de se mettre nu comme un ver de terre pour prouver qu’il n’y a pas lutte, griffures, écorchures, éraflures si sa prétendue victime avait vraiment opposé résistance.

Devant une procédure d’enquête de police judiciaire lorsqu’il est impossible de démêler le problème avec des parties qui campent sur leurs positions, la police judiciaire refile obligatoirement la patate chaude au procureur de la République. Au niveau de ce dernier lorsqu’il délègue à un de ses substituts, celui-ci préfère fréquemment inculper et placer sous mandat de dépôt sans trop se poser de questions plutôt que de courir le risque d’être désavoué par sa hiérarchie (encore la prudence excessive du magistrat pour l’avancée dans la carrière). C’est le système bien sénégalais, contrairement à l’affaire parisienne de l’avocat sénégalais. Maintenant à charge pour le juge de première instance de trancher le litige (le bleu de la magistrature cité plus haut dans l’affaire d’espèce) entre les colitigants.

Aujourd’hui, la nouvelle génération des filles et des jeunes femmes considère la virginité comme un poids lourd et un frein à leur liberté sexuelle. C’est connu ! Yérim Seck s’est fait piégé et toute la gent masculine est en péril face à ce genre de filles et femmes à l’esprit très raffiné dans le machiavélisme !
Cheikh Yérim Seck, quoique victime d’une machination, n’en sortira pas pour autant indemne du point de vue de sa réputation ternie. Par contre, la jeune femme s’en sortira sans frais comme c’est fréquent au Sénégal et son père gloussera intérieurement de joie de voir le têtu courtisan irrémédiablement marqué à vie. Comme si Dieu et le jugement dernier n’existent plus lorsqu’il se regardera devant un miroir et s’adonnera à ses 5 prières quotidiennes (Subar, Tisbar, Takusaan, Timis et Geewee) ! Ah, l’aveuglement subjectif de l’amour parental ! Le comble, c’est que cette “fille à papa” a été exfiltrée vers Montpellier et la préinscription universitaire devient une bouée de sauvetage quant à la problématique de la mauvaise foi ou non. Il convient de revisiter, dans une finalité prospective, les règles procédurales judiciaires en mettant fin à la non présence de la partie civile lors du procès ou alors qu’elle soit obligée à se présenter à date échue pour la manifestation de la vérité. Au surplus, il est dans l’intérêt de la partie défenderesse d’exiger une contre-expertise dudit certificat médical par le biais d’une commission rogatoire adressée à la justice française car l’éloignement précipité de la partie civile dans l’hexagone semble suspect. Il faut verrouiller cette boîte de Pandore dont use et abuse la gent féminine pour accuser, à tout bout de champ, des hommes sans frais en retour. C’est trop facile de retenir un homme dans les liens de la prévention carcérale au Sénégal sur la base des seules allégations unilatérales de la femme. Où sont la parité, l’égalité, l’équilibre et l’éthique entre justiciables ?
Pour une démarche toujours prospective d’une bonne justice équitable et équilibrée, on pourrait restreindre la liberté de circuler et de voyager en confisquant, peut-être, les documents de voyage (passeport…) le temps de vider l’affaire mais accorder le bénéfice de la liberté provisoire et du contrôle judiciaire à l’homme, partie défenderesse, si l’on accepte que la partie civile puisse s’évaporer dans la nature ou s’exfiltrer loisiblement.

La douzième législature de l’Assemblée nationale du Sénégal est interpellée pour des propositions de loi au cas où l’Exécutif ne prend pas des projets de loi allant dans ce sens car les femmes bénéficient trop de facilités judiciaires en matière de contentieux. Et mieux c’est une femme, Mme Aïda Mbodji, actuelle députée libérale et démocrate de la 12ème législature, qui demandait à la défunte 11ème législature lors d’un passage à l’Assemblée nationale de faire très attention à ces filles vicieuses qui s’ingénient à piéger la renommée d’hommes célèbres et argentés, reconnaissant ainsi qu’il y a des pratiques peu orthodoxes qui se font sous nos cieux sénégalais.
C’est sous ce même entrain qu’il y a lieu de ranger le prétexte fourre-tout de l’incompatibilité d’humeur pour se débarrasser d’un mari en inventant des violences pour l’abus de pensions alimentaires et les conséquences du divorce en cas d’option monogamique ou polygamique limitée ou non. En effet, l’homme qui a contracté à l’option monogamique est enfermé jusqu’à sa mort dans celle-ci même s’il a eu à subir une contrainte morale (chantage de désistement au mariage, menaces de la promise) émanant de la femme pour qu’il souscrive à cette option, avant le passage devant l’Officier de l’état civil. Toujours dans la prospective, il serait intéressant de procéder à l’application réciproque de l’option du statut conjugal (sauf consentement mutuel des parties en couple ou divorcés à se libérer de l’option souscrite pour une autre) car une femme vous enferme dans une option monogamique et demain, après le divorce, elle ne se gênera pas pour se retrouver dans un foyer polygamique et même revenir à satiété dans un mariage monogamique autant de fois qu’elle le souhaite, comme un oiseau marabout voyageur qui picote partout. Ainsi, la question de l’option au statut conjugal mettra à égalité le genre humain, plus personne ne pourra souscrire une autre option pour un autre mariage après avoir enfermé son ex-partenaire dans la bastille d’une option conjugale, sauf s’il y a consentement mutuel pour se libérer de l’option précédente.

En conclusion, le revers de la médaille pour la jeune femme Aïssatou Tall c’est la voie de droit offerte à Cheikh Yérim Seck de servir une citation directe à partie civile pour engager soit sa responsabilité civile pour dénonciation téméraire, soit sa responsabilité pénale pour dénonciation calomnieuse. Et même l’État, du fait de sa justice, prompt, à tort et à travers, à toujours faire droit et à donner raison à la gent féminine en emprisonnant des hommes victimes de cabale, pourrait voir sa responsabilité engagée pour mauvais fonctionnement du service public de la justice lors d’un recours administratif de plein contentieux devant la chambre administrative de la Cour Suprême. C’est pour éviter cette déconvenue que le tribunal parisien de Versailles a relaxé, récemment, l’ex-international français de football, Claude Makélélé, des accusations de violences portées à son encontre par son intrigante ex-petite amie. Et ce tribunal est allé jusqu’à retenir contre cette affabulatrice le délit d’abus de constitution de partie civile, en sus d’une amende.
Je doute fort que Cheikh Yérim Seck envenime les choses et usant de son droit de recours et de réplique. Et pourtant il est parfois recommandé de rendre les coups pour que ce genre de mauvaise graine féminine sache qu’on ne peut impunément salir la dignité des gens en usant de subterfuges judiciaires pour solder des comptes domestiques.

Mardi 18 Septembre 2012
Pierre Dieng



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1.Posté par Narrdoumbokkdouxarit le 18/09/2012 10:42
Tout ce texte a étè inspiré de la relation parfois difficile entre Koy et Data. Yerim doit être relaxé.

2.Posté par AMD le 18/09/2012 10:54
Les avocats de CYS doivent exiger la présence de la présumée victime. Chaque accusé a le droit d'être confronté a son accusateur devant un tribunal indépendant et impartial. En refusant la présence de la présumée victime, le tribunal ne se sera pas donné les moyens de connaitre les faits avec précisions. De plus, il serait trop léger de dire la justice sur le simple procès verbal de déposition de la présumée victime.

D'ailleurs, n'a-t-on jamais vu des accusateurs arriver à la barre et changer totalement de version ?

CYS à le droit d'être confronté à son accusateur et il appartient à ses avocats de veiller à cette exigence procédurale.

3.Posté par khalil le 18/09/2012 10:56
Analyse pertinente du point de vue objectif. Mais je crois CYS aussi, de par son expérience et son parcours devrait eviter de tomber dans ce genre de piège. Encore que vous avez raison, certaines de ces filles sont de vrais pestes il faut s'en méfier !

4.Posté par mamid2012@yahoo.fr le 18/09/2012 11:00
étant juriste je suis en phase avec cette analyse pertinente faite sur l'affaire CYS . Cette analyse décortique parfaitement cette cabale montée de toute piéce contre CYS. je lui souhaite bon courage et lui demande de croire en DIeu qui est seul juge. CYS est un homme bien et trés généreux.l'homme est de nature faible et tombe facilement dans les perches tendues par les femmes.
seul Dieu peut l'aider à éviter ces dérives.
du courage Yérim

5.Posté par serge le 18/09/2012 11:00
N'importe quoi, si c le poinrt de vue d'un juriste pourquoi le sieur n'a pas signé l'article. L'article n'est pas signé donc sans fondemement

6.Posté par Annoncé le 18/09/2012 11:00
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7.Posté par mbaye ndiaye le 18/09/2012 11:03
MERCI C BIEN DIT FAUT PAS TJR DONNER REZON A C PETITE SALOPE KI AIME LARGENT PARFOIS EL SON A LORIGINE DE TOUS C PROBLEM EN PLUS C JAMAI AVK D PAUVRE TOUJOUR AVK LES RICHES BANDE DE SALOPE

8.Posté par jurisconsult le 18/09/2012 11:05
Slt M. le Juriste.
Dans votre argumentaire, vous précisez bien (au 3e paragraphe) que la fille est âgée de 20 ans.
Ainsi il me vient à l'esprit de vous demander quel est l'âge limite de la minorité pénale, je précise bien minorité pénale. Pour vous aider, je vous renvois, entre autres, aux articles 245, 319 et 327 bis du Code pénal!
Il me semble que c'est 21 ans!

9.Posté par People le 18/09/2012 11:14
même si CYS a fauté je pense que le tribunal devrait prendre en compte la responsabilité de la fille dans cette affaire.
je suis d'accord avec l'auteur quand il dit qu'au Sénégal les hommes sont en danger et peuvent se retrouver à tout moment en prison et avoir une réputation définitivement compromise, peu importe que l'homme soit coupable ou pas.

10.Posté par Sall le 18/09/2012 11:17
GIVE CYS À BREAK!
S'il a trompé ses épouses, c'est son problème, mais l'accuser de viol est un insulte. Cette BITCH, WHORE est une fille de Magistrat, raison de plus de le traiter comme un vulgaire criminel! Et si les VAGINS pouvaient parler, Mr l'honorable Magistrat allait clouer son BEC. La justice va blanchir Mr CYS. Ses ennemis, présidents de certaines groupes , de pseudo journalistes vont mourir de honte. Keep strong!

11.Posté par leba le 18/09/2012 11:26
arretez please CYS est coupable et il merite la sentance l8 ki se reclame intellectuel de faire venir cette jeune fille à sn age ki garde tjrs sa vierginite et sa ne vw plus a dakar pr la promettre mont et merveille kil tiendra jamais car meme si l'affaire n'avait pas èclaté il l'épouserai jamais pr la déviergé c t1 salaud vwla le mot, un idiot

12.Posté par JMC le 18/09/2012 11:32
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13.Posté par Noisy le 18/09/2012 11:35
J'ai pas le temps de lire le texte parce que je sais d'avance qu'il plaide pitoyablement en faveur du présumé violeur. Arrêtez votre campagne médiatique destinée à déguiser la vérité. Un texte non signé ne peut être que l'oeuvre des talibés de CYS. On vous comprend bien nak. Vous êtes en train de vous battre pour votre emploi. Sans CYS Dakaractu ne fera plus de profit puisque vous ses talibés n'excellez pas dans le chantage comme votre maitre ami de Dadis CAMARA.

14.Posté par mor faama le 18/09/2012 11:36
L'affaire a atteri au tribunal uniquement parceque son pere est magistrat et est blessé au coeur.
C'est pourquoi personne ne sera surpris si cette affaire sent deja le coporatisme.
Si le pere de la fille n'etait pas juriste il ya mille chance que le tribunal ne sera pas saisi.
je sur que la fille est influancée.... Advienne que porra!!!

15.Posté par Un ancien de SANAR le 18/09/2012 11:45
Cet article est vraisemblament fait par Mounirou Sy son ami et compagnon d'universitè et de LOuga. Da'illeurs la fille a eu des rencontres avec Yerim chez le directeur de la BSDA. Tous des tartuffes. (Parole de Sanarois)! Faut pas faire l'avocat du diable, Yerim a doublement fautè vis àvis de lui meme. vis à vis de sa famille. Je ne parlerai pas de sa religion.
Pour avoir fait lexperinece plusieurs fois je sais que une fille peut se denuder, flirter avec toi sans vouloir une penetration. Donc si on franchit le pas ça s'appelle VIOL.

16.Posté par YERIM SECKK le 18/09/2012 11:47
VOTRE TORCHON NE VAUT RIEN ! VOUS PRENEZ PARTIE DES LE DÉPART .

LE PRINCIPE QUE RETIENT LE JUGE EST SIMPLE : " EST CE QU'IL Y A EU RELATION SEXUELLE NON CONSENTIE ? " .

17.Posté par zidane le 18/09/2012 11:47
Il est coupable. Pourquoi la fille est rentré toute seul

18.Posté par kloyti le 18/09/2012 11:48
Pour l'auteur, pour qu'on puisse parler de viol, la fille aurait dû se débattre ? Pour qu'il y'ait viol faut il nécessairement violence ( aux sens d''usage de la force physique) ? Exrait de l'article 320 Code Pénal " Tout acte de pénétration sexuelle de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol. Ce délit supporte des circonstances aggravantes nombreuses, dont certains criminalisent le viol. ..." Pourquoi se focaliser sur l'absence de " combat", pour disculper CYS ? Il me semble qu'il faut plutot prouver que y'a eu consentement, jusqu'à présent vous ne vous limitez qu'en l'absence de traces de batailles pour parler de consentement, mais quand une fille dit non ( elle dit l'avoir dit à CYS) c'est non ! pas besoin forcément de griffer pour exprimer son désaccord pour faire l'amour !!!

19.Posté par MBOW le 18/09/2012 12:03
Merci pour la brillante analyse que tu as servi aux lecteurs. La justice divine est la seule qui compte prions pour que Allah guide le juge a dire le droits. Moi je ne crois pas a la culpabilité de CYS mais je ne suis juge de rien.

20.Posté par magattou toubaab le 18/09/2012 12:25
Si l'auteur de ce texte est un juriste alors moi je suis Serigne Touba himself ! A part de vagues évocations de concepts tirés du jargon des juristes, je ne vois qu'un cours intitulé "le savoir faire en matière de baise" plagiat minable de Gérard de Villiers. La démonstration de l'innocence de CYS est tellement boiteuse qu'elle risque de lui porter préjudice. C'est une démonstration de grand-place. Aucune rigueur dans le raisonnement qui fait plus appel à des arguments tirés de faits divers que d'une doctrine ou d'une jurisprudence sérieuse. Et je ne parle pas du niveau de maîtrise de la langue que l'auteur s'est volontairement imposé. Il balbutie le français plus qu'il ne l'écrit.
Je croyais que ce Directeur du BSDA est un docteur en droit, alors s'il est l'auteur de ce galimatias, je plains les artistes et je comprends mieux que sa première décision a été d'augmenter son salaire.
Ce texte est nul de chez nullissime!

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