Karim WADE est-il propriétaire ?
Révolte des « travailleurs » de Dubaї Port World (DPW)
Karim WADE est-il le propriétaire ?
Ciblé dans le cadre de la traque contre, dit-on, les biens mal acquis, DPW, à cause de toute la nébuleuse qui tourne autour de sa gestion et de son possible lien « paternel » avec le fils de l’ex-chef d’Etat Abdoulaye WADE, s’est révélée être une société non conforme aux règles de l’orthodoxie de la gestion transparente.
Ce manque de transparence ne concerne pas seulement, comme l’indique Cheikh Mbacké GUISSE et Yaxam MBAYE dans leur article du lundi 26 novembre 2012 (journal Libération), « les placements hasardeux et suspects », mais plutôt, selon les déclarations de certaines sources, le mode de recrutement, les stages, les primes et le niveau des salaires.
Actuellement un bras de fer s’est installé entre la direction et les « travailleurs » qui se définissent comme les esclaves du « capitalisme moderne ». Les « travailleur-esclaves » réclament sans condition le départ du DRH qui, semble-t-il, est un exploiteur qui affiche un dédain total à leur égard. Les négociations en vue d’une reprise imminente du cours normal des activités se heurtent à cette exigence qui ne rencontre pas, pour l’heure, l’agrément du directeur.
DPW, il faut le préciser, n’est pas l’unique entreprise au Sénégal dont la gestion est tant décriée. Notre Etat, au nom du droit de regard sur une certaine forme de gestion malsaine de nombre de sociétés, doit veiller à ce que celles-ci respectent scrupuleusement les règles définies par le Code du travail. Quant à Karim WADE, il reste innocent tant que sa culpabilité n’est pas prouvée.
Le sociologue Rebelle
mactko@yahoo.fr
Karim WADE est-il le propriétaire ?
Ciblé dans le cadre de la traque contre, dit-on, les biens mal acquis, DPW, à cause de toute la nébuleuse qui tourne autour de sa gestion et de son possible lien « paternel » avec le fils de l’ex-chef d’Etat Abdoulaye WADE, s’est révélée être une société non conforme aux règles de l’orthodoxie de la gestion transparente.
Ce manque de transparence ne concerne pas seulement, comme l’indique Cheikh Mbacké GUISSE et Yaxam MBAYE dans leur article du lundi 26 novembre 2012 (journal Libération), « les placements hasardeux et suspects », mais plutôt, selon les déclarations de certaines sources, le mode de recrutement, les stages, les primes et le niveau des salaires.
Actuellement un bras de fer s’est installé entre la direction et les « travailleurs » qui se définissent comme les esclaves du « capitalisme moderne ». Les « travailleur-esclaves » réclament sans condition le départ du DRH qui, semble-t-il, est un exploiteur qui affiche un dédain total à leur égard. Les négociations en vue d’une reprise imminente du cours normal des activités se heurtent à cette exigence qui ne rencontre pas, pour l’heure, l’agrément du directeur.
DPW, il faut le préciser, n’est pas l’unique entreprise au Sénégal dont la gestion est tant décriée. Notre Etat, au nom du droit de regard sur une certaine forme de gestion malsaine de nombre de sociétés, doit veiller à ce que celles-ci respectent scrupuleusement les règles définies par le Code du travail. Quant à Karim WADE, il reste innocent tant que sa culpabilité n’est pas prouvée.
Le sociologue Rebelle
mactko@yahoo.fr
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