Attention Monsieur le Ministre de l'Intérieur !


L’immigration de jeunes nigérians au Sénégal est dangereuse

Attention Monsieur le Ministre de l'Intérieur !
Monsieur le Ministre de l’Intérieur Pathé SECK, comme je l’avais dit à votre prédécesseur Monsieur Ousmane NGOM en 2005, dans une lettre que je lui avais adressée, lettre que vous pouvez retrouver certainement dans les archives de votre ministère, je reviens, ici, au risque d’être taxé de xénophobe, vous alerter sur la menace que constitue la présence des jeunes nigérians présents au Sénégal,.

Après avoir vécu hors de mon pays pendant longtemps, mais aussi grâce à mes nombreux réseaux de relations dans bon nombre de pays, j’ai, dès la découverte de mes racines sénégalaises, observé et décrypté une migration nigériane assez inquiétante. Au début, je soumettais mes craintes à mes amis les plus proches, mais ces derniers semblaient ne pas voir les raisons de mon inquiétude. L’un d’entre eux m’a même dit un jour, « laisse-les vivre leur vie ». Je me rendis compte que l’esprit patriotique qui m’animait, malgré un long vécu à l’étranger, était loin d’habiter ces natifs du Sénégal. Être patriote, c’est un esprit, une attitude, un engagement, mais aussi un Amour lucide. Sachant que je ne pouvais compter sur mes plus proches camarades pour alerter les autorités qui détiennent le pouvoir de décision et d’action, je me rendis, un après-midi de 2004, avec une lettre intitulée « Alerte maximale », à la gendarmerie de TCHONK.

Ce jour, je ne parvins pas à rencontrer le Commandant D. C’est avec son secrétaire que je m’entretenus. Je lui remis la lettre après lui avoir expliqué le sentiment que j’avais sur la porosité de nos frontières et les risques que cela pouvait engendrer, surtout lorsque les migrants étrangers, au lieu de venir travailler légalement dans le pays hôte, échafaudent des plans ourdis en vue du gain facile. Je lui parlai, par ailleurs, des salons de coiffures que les Nigérians utilisaient comme couverture pour échapper aux soupçons que l’on pouvait se faire sur leurs pratiques parallèles, tout en ajoutant que, plus tard, ils feront venir des filles de leur pays, puisqu’ils ne pourront plus compter sur les prostituées qu’ils sont portés à fréquenter, pour servir de relais à leur « commerce ». Mais, lorsqu’il commença à enchaîner des questions, je l’arrêtai aussitôt en lui précisant que je n’étais pas un délateur, mais aussi, que c’est à elles, les forces de l’ordre, de faire leur travail, c’est-à-dire d’enquêter pour vérifier la véracité de « mes soupçons ».

Quelques moi après, j’écrivis au ministre Ousmane NGOM. Des membres de son cabinet m’appelèrent, mais je n’appréciais pas leurs méthodes, et cela parce que la communication médiatique faite sur les premières arrestations, avant même le démantèlement du noyau des réseaux nigérians, ne me convainquit pas.

Monsieur Pathé SECK, votre parcours dans la gendarmerie, m’autorise à croire que vous prendrez au sérieux les pratiques frauduleuses, délictuelles, voire criminelles de ces jeunes africains dont la plupart sont interdits d’accès en Gambie. La Côte d’Ivoire s’étant embrasée depuis 2000, et l’accès au Sénégal étant très facile (ce qui m’amène d’ailleurs à me poser des questions sur la sécurité au niveau de nos frontières), de jeunes nigérians impénitents ont trouvé leur Eldorado au Sénégal, un pays en crise, sans ressources véritables, mais dans lequel, « sans même travailler », ils parviennent à « vivre la belle vie ». Le drame, c’est que cela fait des émules auprès de notre jeunesse qui, depuis l’engrangement de l’argent facile par la Lutte sénégalaise (Lamb), et en face de « l’impunité » dont bénéficient les personnes accusées dans la traque des biens mal acquis, pense (ou pourrait penser) que le travail légal n’a aucune valeur. Cette contamination épidémiologique doit être freinée à temps.

Plus grave, ces Nigérians parviennent facilement, comme la communauté guinéenne, à obtenir la nationalité sénégalaise. La corruption dans notre police, non, je veux dire de certains policiers, devra faire l’objet d’enquête et les mis en cause, sanctionnés. Des Nigérians possédant la nationalité sénégalaise, et résidant dans d’autres pays européens, selon de nombreux témoins, ont compliqué le séjour des Sénégalais dans ces pays-là, du fait des contrôles draconiens qui font suite aux soupçons portés sur leurs activités, alors qu’ils n’ont rien à voir avec les pratiques criminelles des dealers nigérians « naturalisés » sénégalais.

C’est pourquoi, monsieur le Ministre de l’intérieur, je vous demande de mettre tout en œuvre pour démanteler les trafiquants nigérians et de les mettre en hors d’état de nuire. Certains d’entre eux ont été surpris en train de tourner des films pornographiques au quartier Fadia, il ya quelques années. Hier, c’est avec une violence indescriptible qu’ils s’en sont pris à leur ambassade. Au moment où le problème de sécurité se pose de plus en plus au Mali, je crois, monsieur le Ministre, que vous devriez prendre la menace au sérieux. Un enquêteur de la police, dont je tairais le nom, me disait un jour : « Avec le panafricanisme de WADE, nous n’y pouvons rien ». Cet argument me paraît peu recevable. Car, le panafricanisme, dont l’un des plus illustres concepteurs fut le professeur Cheikh Anta DIOP, inscrit la SÉCURITÉ dans les conditions de l’émergence économique de l’Afrique.
Par cette alerte, monsieur le Ministre, je me joins à votre mission de sécurisation notre pays contre toute menace d’où qu’elle vienne.

Le Sociologie Rebelle
mactko@yahoo.fr
Mardi 12 Mars 2013
Le Sociologue Rebelle




1.Posté par aht le 12/03/2013 10:12
C'est totalement vrai et c'est bien écrit. Le comble c'est que c'est une situation qui semble n'émouvoir personne y compris nos dirigeants.

2.Posté par Alioune le 12/03/2013 10:40
Pourtant il dit vrai, ces gens là, sont dangereux à tout point de vue. Nous ne partageons avec eux aucune culture, ni religion, en général ce sont meme des rebelles reconvertis qui vivent dans une discrétion totale. Nous ne savons rien d'eux et ils ont importés dans notre pays leurs cultures d'homosexualité et de prostitution sans oublier la drogue. Sur DIX (10) sénégalais emprisonnés en europe les huit ( 8) ne sont pas sénégalais mais plutot anglophones ( nigeria, ghana, etc...)donc ALERTE ROUGE pour le SENEGAL !

3.Posté par BOUNKATAB le 12/03/2013 10:44
Les commissaires de police et les Commandants de Brigade de Gendarmerie n'ont pas besoin d'instructions de leurs hierarchie pour effectuer ce travail de haute securite.

4.Posté par Orion le 12/03/2013 14:24
Comment peut-on se proclamer sociologue quand on n'en a pas l'ombre d'un diplôme? Et s'adresser ainsi au ministre de l'Intérieur? Chacun à sa place, et les vaches seront bien gardées.

5.Posté par Mico le 12/03/2013 15:26
L'homosexuel Orion est de retour. Au moins maintenant tu ne changes pas de pseudo. félicitation !

6.Posté par Orion le 12/03/2013 16:15
@ Mico. Je ne suis pas homosexuel, mais comme je suis tolérant je les défends. Le dramaturge latin Terence disait: "Je suis homme, et rien de ce qui touche à l'humanité ne m'est étranger." Je te conseille de méditer cette phrase.

7.Posté par FRue le 12/03/2013 19:27
Assume c pas grave Orion



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