Ousmane Gnantang Diatta, le très virulent chef rebelle du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), a été exfiltré du maquis au courant du mois de février dernier. Conduit à Dakar et logé dans la discrétion dans un quartier reclus, il est resté dans la capitale tout au long des deux tours de la présidentielle. L’Agence nationale pour la relance des activités socioéconomiques de la Casamance (Anrac) a pris soin de lui jusqu’à son départ il y a quelques jours pour l’Espagne. Un chef de guerre perdu par la rébellion ? En tout cas, l’Etat sénégalais l’a bien «pacifié».
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