Le Maroc a pris des décisions, elles sont irrévocables (...). D'autres décisions sont à l'étude, a déclaré à la presse le ministre marocain des Affaires étrangères Salaheddine Mezouar, juste avant une réunion du Conseil de sécurité à ce sujet.
Le Maroc a décidé de réduire sa contribution à la Minurso (mission de l'ONU au Sahara occidental) et a demandé le rapatriement de 84 membres civils de la mission à la suite d'une controverse à propos d'une visite début mars du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon dans un camp de réfugiés sahraouis à Tindouf (Algérie).
A cette occasion, M. Ban avait fortement irrité Rabat en parlant d'occupation à propos du statut du territoire.
Le ministre n'a pas précisé les menaces de Rabat mais a souligné que tout cela dépendra du Conseil de sécurité et des membres du Conseil de sécurité qui doivent tenir des consultations jeudi après-midi.
Il s'agira pour les 15 pays membres de tenter de dissiper le malentendu entre l'ONU et le gouvernement marocain à propos du Sahara occidental, a indiqué le président du Conseil.
Il y a un léger malentendu entre l'ONU et le gouvernement marocain, a estimé l'ambassadeur angolais Ismael Gaspar Martins, qui préside le Conseil en mars. Nous devons trouver une forme de rapprochement.
Le porte-parole de l'ONU Stéphane Dujarric a précisé que les restrictions demandées par le Maroc concernaient 84 membres civils internationaux de la Minurso (dont 81 de l'ONU et 3 dépendant de l'Union africaine), soit l'essentiel du personnel civil expatrié de la Minurso.
Ces coupes, qui concernent le personnel politique à un niveau assez élevé mais aussi des chauffeurs ou techniciens indispensables, sont un défi logistique (et) rendent quasiment impossible pour la mission de remplir son mandat, obligeant l'ONU à étudier des plans d'urgence, a-t-il ajouté.
Il a accusé le Maroc de mener une action unilatérale en contradiction flagrante avec ses obligations internationales. Ce à quoi nous assistons est sans précédent, a-t-il affirmé.
Le Maroc a décidé de réduire sa contribution à la Minurso (mission de l'ONU au Sahara occidental) et a demandé le rapatriement de 84 membres civils de la mission à la suite d'une controverse à propos d'une visite début mars du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon dans un camp de réfugiés sahraouis à Tindouf (Algérie).
A cette occasion, M. Ban avait fortement irrité Rabat en parlant d'occupation à propos du statut du territoire.
Le ministre n'a pas précisé les menaces de Rabat mais a souligné que tout cela dépendra du Conseil de sécurité et des membres du Conseil de sécurité qui doivent tenir des consultations jeudi après-midi.
Il s'agira pour les 15 pays membres de tenter de dissiper le malentendu entre l'ONU et le gouvernement marocain à propos du Sahara occidental, a indiqué le président du Conseil.
Il y a un léger malentendu entre l'ONU et le gouvernement marocain, a estimé l'ambassadeur angolais Ismael Gaspar Martins, qui préside le Conseil en mars. Nous devons trouver une forme de rapprochement.
Le porte-parole de l'ONU Stéphane Dujarric a précisé que les restrictions demandées par le Maroc concernaient 84 membres civils internationaux de la Minurso (dont 81 de l'ONU et 3 dépendant de l'Union africaine), soit l'essentiel du personnel civil expatrié de la Minurso.
Ces coupes, qui concernent le personnel politique à un niveau assez élevé mais aussi des chauffeurs ou techniciens indispensables, sont un défi logistique (et) rendent quasiment impossible pour la mission de remplir son mandat, obligeant l'ONU à étudier des plans d'urgence, a-t-il ajouté.
Il a accusé le Maroc de mener une action unilatérale en contradiction flagrante avec ses obligations internationales. Ce à quoi nous assistons est sans précédent, a-t-il affirmé.
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