Dans un message sur sa page X, le député Thierno Alassane Sall invite à rester alerte et vigilant face à la menace Jihadiste : « les groupes dits jihadistes sont à nos portes! » Étant donné que Kayes est l’objectif déclaré du JNIM malien, « on peut bien se douter que ces groupes préparent déjà les coups d’après », selon le député.
« Je n’ai aucune raison de douter que les hauts gradés de nos FDS suivent leurs agissements depuis une décennie et ne sont pas restés les bras croisés. Ce qui m’inquiète, c’est la vulnérabilité de notre société, minée par une pauvreté endémique, notamment dans les zones frontalières les plus exposées. Notre pays fait déjà difficilement face aux narco-groupes et autres mafias spécialisées dans les faux billets, comme l’attestent les saisies de plus en plus fréquentes », a considéré Thierno Alassane Sall qui interpelle les autorités : « les récentes sorties qui tendent à discréditer nos institutions comme la Justice, sont du pain bénit pour les propagandistes contre des États illégitimes. En ajoutant la faillite politique à la faillite économique, Ousmane Sonko ne contribue pas à arranger les choses. En ces heures graves, il ne donne pas l’impression de penser à la Patrie mais à lui-même », a-t-il alerté.
« Je n’ai aucune raison de douter que les hauts gradés de nos FDS suivent leurs agissements depuis une décennie et ne sont pas restés les bras croisés. Ce qui m’inquiète, c’est la vulnérabilité de notre société, minée par une pauvreté endémique, notamment dans les zones frontalières les plus exposées. Notre pays fait déjà difficilement face aux narco-groupes et autres mafias spécialisées dans les faux billets, comme l’attestent les saisies de plus en plus fréquentes », a considéré Thierno Alassane Sall qui interpelle les autorités : « les récentes sorties qui tendent à discréditer nos institutions comme la Justice, sont du pain bénit pour les propagandistes contre des États illégitimes. En ajoutant la faillite politique à la faillite économique, Ousmane Sonko ne contribue pas à arranger les choses. En ces heures graves, il ne donne pas l’impression de penser à la Patrie mais à lui-même », a-t-il alerté.
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