Une découverte macabre en plein centre-ville, la Médina sous le choc
C’est une scène d’horreur qui s’est jouée dans la nuit du jeudi au vendredi, à deux pas du centre commercial Roxy. Le corps sans vie de Maïmouna Tambédou, surnommée Mounass par ses proches, a été découvert en état de décomposition très avancée dans sa chambre située au quatrième étage d’un immeuble de l’avenue Blaise Diagne, en plein cœur de la Médina. Cette employée de restaurant, réputée discrète et régulière dans ses habitudes, n’avait plus donné signe de vie depuis plusieurs jours.
Selon les informations recueillies par L’Observateur, c’est l’inquiétude croissante de ses parents, restés sans nouvelles, qui a déclenché les recherches. Connaissant le sérieux et la rigueur de Maïmouna, sa disparition soudaine a tout de suite été jugée anormale. Arrivés à son lieu de résidence, ses proches ont d’abord voulu forcer la porte de sa chambre, verrouillée de l’intérieur. Mais c’est sur l’intervention insistante du bailleur qu’ils ont contacté les forces de l’ordre, notamment le commissariat de la Médina, avant de procéder à l’ouverture.
Une scène insoutenable
Il est près de 23 heures quand la porte est finalement défoncée, en présence des policiers. Ce que les proches découvrent alors dépasse l’entendement. Le corps sans vie de Maïmouna gît dans un état de décomposition tel que certains s’effondrent presque à la vue de la scène. Les sapeurs-pompiers, appelés en urgence, ont rencontré d’énormes difficultés à intervenir, faute d’équipements adaptés à la situation. Le corps était si dégradé qu’il a fallu attendre près de six heures du matin pour qu’il soit enfin évacué, selon les sources de L’Observateur.
Une autopsie incertaine, une enquête en cours
Le corps de la jeune femme a été transféré à la morgue de l’hôpital Abass Ndao, où une autopsie devra être pratiquée. Mais son état avancé pourrait compliquer, voire empêcher, les analyses nécessaires à l’identification des causes exactes du décès. Pour l’heure, toutes les hypothèses sont sur la table, même si aucune trace d’effraction ni de violence apparente n’a été évoquée par les premières constatations.
C’est une scène d’horreur qui s’est jouée dans la nuit du jeudi au vendredi, à deux pas du centre commercial Roxy. Le corps sans vie de Maïmouna Tambédou, surnommée Mounass par ses proches, a été découvert en état de décomposition très avancée dans sa chambre située au quatrième étage d’un immeuble de l’avenue Blaise Diagne, en plein cœur de la Médina. Cette employée de restaurant, réputée discrète et régulière dans ses habitudes, n’avait plus donné signe de vie depuis plusieurs jours.
Selon les informations recueillies par L’Observateur, c’est l’inquiétude croissante de ses parents, restés sans nouvelles, qui a déclenché les recherches. Connaissant le sérieux et la rigueur de Maïmouna, sa disparition soudaine a tout de suite été jugée anormale. Arrivés à son lieu de résidence, ses proches ont d’abord voulu forcer la porte de sa chambre, verrouillée de l’intérieur. Mais c’est sur l’intervention insistante du bailleur qu’ils ont contacté les forces de l’ordre, notamment le commissariat de la Médina, avant de procéder à l’ouverture.
Une scène insoutenable
Il est près de 23 heures quand la porte est finalement défoncée, en présence des policiers. Ce que les proches découvrent alors dépasse l’entendement. Le corps sans vie de Maïmouna gît dans un état de décomposition tel que certains s’effondrent presque à la vue de la scène. Les sapeurs-pompiers, appelés en urgence, ont rencontré d’énormes difficultés à intervenir, faute d’équipements adaptés à la situation. Le corps était si dégradé qu’il a fallu attendre près de six heures du matin pour qu’il soit enfin évacué, selon les sources de L’Observateur.
Une autopsie incertaine, une enquête en cours
Le corps de la jeune femme a été transféré à la morgue de l’hôpital Abass Ndao, où une autopsie devra être pratiquée. Mais son état avancé pourrait compliquer, voire empêcher, les analyses nécessaires à l’identification des causes exactes du décès. Pour l’heure, toutes les hypothèses sont sur la table, même si aucune trace d’effraction ni de violence apparente n’a été évoquée par les premières constatations.
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