Depuis l’avènement de l’alternance, les libéraux rabâchent à qui veut l’entendre qu’avant 2000 le Sénégal était à genoux et qu’ils ont hérité d’un pays mal en point. La plupart des sénégalais, submergés et éblouis par l’euphorie suscitée par le changement qui était du reste salutaire et surtout induits en erreurs par la démagogie extravagante du président WADE qui frise la malhonnêteté intellectuelle, les ont suivis dans la diabolisation et la stigmatisation des socialistes.
Les sénégalais réputés intelligents dans leur majorité ne se sont pas posés des questions. Pour eux tout est mauvais. WADE qui maîtrise la technique de modifier les consciences, est passé par là.
Aujourd’hui beaucoup de sénégalais haïssent les socialistes et pourtant ces derniers n’ont pas démérité. C’est vrai et compréhensible que l’usure du pouvoir a fait son effet néfaste et a beaucoup contribué à cet état de fait. Ce qui devrait contraindre les chefs d’état africains à réfléchir sur le nombre de mandats et d’éviter de s’agripper au pouvoir sous peine d’être rejeté par tout un peuple.
Le président DIOUF a bien travaillé dans l’ensemble à mon avis même si ses œuvres sont loin d’être parfaites. On ne peut comparer le magistère de DIOUF à celui de wade ; les contextes sont différents.
Quand DIOUF héritait du pouvoir, on était à vingt ans après l’indépendance et qu’il fallait finir d’asseoir un état organisé et fort avec des institutions fonctionnelles. Chose que le Président SENGHOR a entamée avec maestria et autorité avec des hauts et des bas caractérisés par des événements malheureux et regrettables comme ceux de 1962 et 1968.
DIOUF a su tant bien que mal redresser avec l’aide de dieu l’économie du pays qui était au départ à la limite du désastre et instaurer progressivement la démocratie et l’état de droit.
N’oublions pas que son règne a été perturbé par une sécheresse qui a duré des années et l’ajustement structurel imposé ; sans oublier la dévaluation qui a contraint le gouvernement à sursoir certains projets pendant une durée plus ou moins longue comme le Programme d’Ajustement Sectoriel des Transports (PAST).
.
Si je devrais comparer le Sénégal à une bâtisse, je dirais que SENGHOR, DIA et consorts…ont conçu le plan architectural, SENGHOR a fait les fouilles et amorcé les poteaux en fondation. DIOUF a pris le relais pour finir le soubassement et l’enfouir pour le sécuriser et WADE est venu en 2000 pour entamer l’élévation du bâtiment qui est la partie visible. Je comprends qu’on encense WADE pour ses réalisations car il l’a quand même fait, mais n’oublions pas que n’eût été cette solide fondation invisible car engloutie, ses œuvres n’auraient jamais tenues. Ainsi donc, dire que les socialistes n’ont rien fait, relève d’une pure et absurde démagogie. Mais je ne voudrais pas donner l’impression de les défendre, car n’étant pas des leurs. Tant pis s’ils sont incapables de défendre leurs acquis d’avant alternance et de laisser les libéraux se l’approprier.
Hôpital de Ziguinchor
Le marché des travaux architecturaux et techniques de l’hôpital de Ziguinchor estimé à FCFA
2 400 000 000 a été passé par entente directe le 19 août 1999 accordée au Ministère de l’urbanisme et une avance virée dans le compte de l’entrepreneur bénéficiaire au mois de février de l’an 2000. Ce qui montre que ce projet est loin d’être l’œuvre des libéraux. Ils l’ont juste parachevé sur la base de la continuité de l’état. Ce qui est du reste normal.
PDIS ET PNDS
La politique du gouvernement du Sénégal en matière de santé est retracée, depuis 1998 par le Plan National de Développement Sanitaire et Social(PNDS) prévu pour la période 1998-2007.
Cette période de 10 années a été scindée en deux périodes de 5 années chacune :
-Le Programme de Développement Intégré de la Santé (PDIS) numéro 1 : 1998-2002.
-Le Programme de Développement Intégré de la Santé (PDIS) numéro 2 : 2002-2007
Le PDIS1 couvre les cinq (5) premières du PNDS dont il constitue les priorités. Il fait la synthèse des priorités dégagées des plans de Développement des régions et des districts (PRDS/PDDS) avec les plans de développement des services centraux.
L’amélioration de l’accessibilité des services de santé constitue une stratégie majeure du PDIS. L’importance de cette stratégie tient au fait qu’une bonne partie de la population sénégalaise, surtout les populations rurales, vit à plus de 5 kilomètres du poste de santé le plus proche. Des régions comme Tambacounda et Kolda accusent les déficits en postes de santé ruraux les plus importants avec un rayon moyen d’action de loin supérieur à 15 km Les mêmes problèmes d’accès sont observés avec les centres de santé et les hôpitaux. Deux (2) régions sur les dix (10) que comptait le pays en 1998, ne disposaient pas d’hôpital, ce qui est à la base de l’objectif du PDIS "une région, un hôpital régional "
Ce programme donc a été déjà amorcé bien avant l’alternance. Ce qui a permis à des villages comme SAM NDIAYE d’environ 10 000 habitants situé dans la région de THIES de bénéficier dés 1999 , d’un poste de santé avec maternité et logements de sage-femme et d’ICP. D’où l’aboutissement ces dernières années, de la construction d’hôpitaux et de centres de santé.
Le Programme d’Ajustement Sectoriel des Transports (PAST) ET le Programme Sectoriel Transport (PST)
La lettre de politique sectorielle (LPS1) de 1990 qui couvrait la période 1991 à 1999 et dont l’objectif principal était de favoriser la mise en place d’un environnement propice à l’amélioration de la qualité des infrastructures et des services a servi de base à la mise en oeuvre du Programme d’Ajustement Sectoriel des Transports (PAST).
Le PAST est un programme intégré alliant des réformes institutionnelles pour une meilleure efficacité opérationnelle de la gestion des infrastructures de transport et la réalisation d’importants investissements destinés à la restauration et, dans une moindre mesure, à l’extension des capacités des réseaux. Le Programme d’Ajustement Sectoriel (PAST) avait pour principaux objectifs : la réduction des coûts de transport, le renforcement de la gestion du secteur, la privatisation de l’exécution des travaux et des services et enfin la restructuration des organismes parapublics de transport.
Si le programme d’investissement n’a pas pu être exécuté dans les délais pour des raisons liées à la fois aux retards pris dans son démarrage et dans la mobilisation des financements extérieurs et aux perturbations induites par la dévaluation du F CFA, l’incidence du PAST a cependant été jugée globalement satisfaisante sur le secteur lui-même et sur les activités de production.
La Lettre de politique sectorielle de 1990 et le PAST I
Le Gouvernement y définit une stratégie de développement à moyen terme - 5 ans - destinée à servir de cadre à l’exécution d’un programme d’ajustement soutenu par les partenaires au développement. Cette stratégie à moyen terme repose sur quatre (4) principes généraux :
- reconstruire les institutions sectorielles et promouvoir le secteur privé,
- reconnaître le caractère prioritaire de l’entretien et de la réhabilitation des infrastructures,
- améliorer le niveau de sécurité des infrastructures : routes, ports, aéroports et voies ferrées,
- développer la formation professionnelle.
La Lettre de politique sectorielle de 1999 et le PST II
Le Gouvernement y indique, en effet, qu’il entend s’inscrire « en droite ligne du IXème Plan d’Orientation pour le Développement Economique et Social dont l’objectif principal est l’avènement d’une économie compétitive en vue d’un développement humain durable12 ».
A cet égard, il se fixe, notamment, comme orientations générales de :
- mettre à disposition des populations et des entreprises, des infrastructures et des services de transport de qualité et à des coûts compétitifs, capable de soutenir efficacement les activités de production,
- réduire la pauvreté en amorçant un processus de développement économique durable (développement des systèmes de transport en milieu rural, promotion des Pme, des matériaux locaux, des activités HIMO, etc.), en lien avec la Stratégie Nationale de Réduction de la Pauvreté qui ne sera adoptée qu’en 2002 mais dont le contenu était en discussion dès 1999.
Cette Lettre définit huit (8) principaux objectifs :
- poursuivre le processus de réforme du cadre institutionnel, législatif, réglementaire, financier, fiscal et organisationnel de développement du secteur des transports ;
- développer de nouvelles capacités de transport pour accompagner l’accroissement de la demande ;
- développer des infrastructures de liaison conformément aux directives du IXème PDES qui font de l’intégration régionale l’un des axes majeurs de la politique économique et sociale nationale ;
- améliorer la gestion des infrastructures et des services de transport : coordination, programmation, entretien et rentabilité économique des investissements ;
- renforcer l’implication des usagers, du secteur privé et des collectivités locales dans le financement du secteur ;
- désenclaver les zones rurales ;
- contribuer à la lutte contre la pauvreté en adoptant, le plus possible, des technologies à HIMO utilisant les ressources humaines locales pour la construction et l’entretien des infrastructures de transport ;
- généraliser les études d’impact environnemental.
Dix ans après son adoption, les principales analyses du secteur font apparaître la nécessité de maintenir les interventions de l’Etat dans ce cadre et il semble opportun que le projet de troisième Lettre de politique, ne remette pas fondamentalement en cause les orientations de la lettre de 1999.
Les projets de troisième Lettre de politique sectorielle et de PST III
La consolidation des acquis des programmes précédents, PAST I et PST II.
Ce programme est exécuté par le gouvernement de l’alternance.
Ainsi donc c’est évident que tous ces programmes et projets ont été bel et bien des œuvres des socialistes.
A CESAR CE QUI LUI APPARTIENT!
Les sénégalais réputés intelligents dans leur majorité ne se sont pas posés des questions. Pour eux tout est mauvais. WADE qui maîtrise la technique de modifier les consciences, est passé par là.
Aujourd’hui beaucoup de sénégalais haïssent les socialistes et pourtant ces derniers n’ont pas démérité. C’est vrai et compréhensible que l’usure du pouvoir a fait son effet néfaste et a beaucoup contribué à cet état de fait. Ce qui devrait contraindre les chefs d’état africains à réfléchir sur le nombre de mandats et d’éviter de s’agripper au pouvoir sous peine d’être rejeté par tout un peuple.
Le président DIOUF a bien travaillé dans l’ensemble à mon avis même si ses œuvres sont loin d’être parfaites. On ne peut comparer le magistère de DIOUF à celui de wade ; les contextes sont différents.
Quand DIOUF héritait du pouvoir, on était à vingt ans après l’indépendance et qu’il fallait finir d’asseoir un état organisé et fort avec des institutions fonctionnelles. Chose que le Président SENGHOR a entamée avec maestria et autorité avec des hauts et des bas caractérisés par des événements malheureux et regrettables comme ceux de 1962 et 1968.
DIOUF a su tant bien que mal redresser avec l’aide de dieu l’économie du pays qui était au départ à la limite du désastre et instaurer progressivement la démocratie et l’état de droit.
N’oublions pas que son règne a été perturbé par une sécheresse qui a duré des années et l’ajustement structurel imposé ; sans oublier la dévaluation qui a contraint le gouvernement à sursoir certains projets pendant une durée plus ou moins longue comme le Programme d’Ajustement Sectoriel des Transports (PAST).
.
Si je devrais comparer le Sénégal à une bâtisse, je dirais que SENGHOR, DIA et consorts…ont conçu le plan architectural, SENGHOR a fait les fouilles et amorcé les poteaux en fondation. DIOUF a pris le relais pour finir le soubassement et l’enfouir pour le sécuriser et WADE est venu en 2000 pour entamer l’élévation du bâtiment qui est la partie visible. Je comprends qu’on encense WADE pour ses réalisations car il l’a quand même fait, mais n’oublions pas que n’eût été cette solide fondation invisible car engloutie, ses œuvres n’auraient jamais tenues. Ainsi donc, dire que les socialistes n’ont rien fait, relève d’une pure et absurde démagogie. Mais je ne voudrais pas donner l’impression de les défendre, car n’étant pas des leurs. Tant pis s’ils sont incapables de défendre leurs acquis d’avant alternance et de laisser les libéraux se l’approprier.
Hôpital de Ziguinchor
Le marché des travaux architecturaux et techniques de l’hôpital de Ziguinchor estimé à FCFA
2 400 000 000 a été passé par entente directe le 19 août 1999 accordée au Ministère de l’urbanisme et une avance virée dans le compte de l’entrepreneur bénéficiaire au mois de février de l’an 2000. Ce qui montre que ce projet est loin d’être l’œuvre des libéraux. Ils l’ont juste parachevé sur la base de la continuité de l’état. Ce qui est du reste normal.
PDIS ET PNDS
La politique du gouvernement du Sénégal en matière de santé est retracée, depuis 1998 par le Plan National de Développement Sanitaire et Social(PNDS) prévu pour la période 1998-2007.
Cette période de 10 années a été scindée en deux périodes de 5 années chacune :
-Le Programme de Développement Intégré de la Santé (PDIS) numéro 1 : 1998-2002.
-Le Programme de Développement Intégré de la Santé (PDIS) numéro 2 : 2002-2007
Le PDIS1 couvre les cinq (5) premières du PNDS dont il constitue les priorités. Il fait la synthèse des priorités dégagées des plans de Développement des régions et des districts (PRDS/PDDS) avec les plans de développement des services centraux.
L’amélioration de l’accessibilité des services de santé constitue une stratégie majeure du PDIS. L’importance de cette stratégie tient au fait qu’une bonne partie de la population sénégalaise, surtout les populations rurales, vit à plus de 5 kilomètres du poste de santé le plus proche. Des régions comme Tambacounda et Kolda accusent les déficits en postes de santé ruraux les plus importants avec un rayon moyen d’action de loin supérieur à 15 km Les mêmes problèmes d’accès sont observés avec les centres de santé et les hôpitaux. Deux (2) régions sur les dix (10) que comptait le pays en 1998, ne disposaient pas d’hôpital, ce qui est à la base de l’objectif du PDIS "une région, un hôpital régional "
Ce programme donc a été déjà amorcé bien avant l’alternance. Ce qui a permis à des villages comme SAM NDIAYE d’environ 10 000 habitants situé dans la région de THIES de bénéficier dés 1999 , d’un poste de santé avec maternité et logements de sage-femme et d’ICP. D’où l’aboutissement ces dernières années, de la construction d’hôpitaux et de centres de santé.
Le Programme d’Ajustement Sectoriel des Transports (PAST) ET le Programme Sectoriel Transport (PST)
La lettre de politique sectorielle (LPS1) de 1990 qui couvrait la période 1991 à 1999 et dont l’objectif principal était de favoriser la mise en place d’un environnement propice à l’amélioration de la qualité des infrastructures et des services a servi de base à la mise en oeuvre du Programme d’Ajustement Sectoriel des Transports (PAST).
Le PAST est un programme intégré alliant des réformes institutionnelles pour une meilleure efficacité opérationnelle de la gestion des infrastructures de transport et la réalisation d’importants investissements destinés à la restauration et, dans une moindre mesure, à l’extension des capacités des réseaux. Le Programme d’Ajustement Sectoriel (PAST) avait pour principaux objectifs : la réduction des coûts de transport, le renforcement de la gestion du secteur, la privatisation de l’exécution des travaux et des services et enfin la restructuration des organismes parapublics de transport.
Si le programme d’investissement n’a pas pu être exécuté dans les délais pour des raisons liées à la fois aux retards pris dans son démarrage et dans la mobilisation des financements extérieurs et aux perturbations induites par la dévaluation du F CFA, l’incidence du PAST a cependant été jugée globalement satisfaisante sur le secteur lui-même et sur les activités de production.
La Lettre de politique sectorielle de 1990 et le PAST I
Le Gouvernement y définit une stratégie de développement à moyen terme - 5 ans - destinée à servir de cadre à l’exécution d’un programme d’ajustement soutenu par les partenaires au développement. Cette stratégie à moyen terme repose sur quatre (4) principes généraux :
- reconstruire les institutions sectorielles et promouvoir le secteur privé,
- reconnaître le caractère prioritaire de l’entretien et de la réhabilitation des infrastructures,
- améliorer le niveau de sécurité des infrastructures : routes, ports, aéroports et voies ferrées,
- développer la formation professionnelle.
La Lettre de politique sectorielle de 1999 et le PST II
Le Gouvernement y indique, en effet, qu’il entend s’inscrire « en droite ligne du IXème Plan d’Orientation pour le Développement Economique et Social dont l’objectif principal est l’avènement d’une économie compétitive en vue d’un développement humain durable12 ».
A cet égard, il se fixe, notamment, comme orientations générales de :
- mettre à disposition des populations et des entreprises, des infrastructures et des services de transport de qualité et à des coûts compétitifs, capable de soutenir efficacement les activités de production,
- réduire la pauvreté en amorçant un processus de développement économique durable (développement des systèmes de transport en milieu rural, promotion des Pme, des matériaux locaux, des activités HIMO, etc.), en lien avec la Stratégie Nationale de Réduction de la Pauvreté qui ne sera adoptée qu’en 2002 mais dont le contenu était en discussion dès 1999.
Cette Lettre définit huit (8) principaux objectifs :
- poursuivre le processus de réforme du cadre institutionnel, législatif, réglementaire, financier, fiscal et organisationnel de développement du secteur des transports ;
- développer de nouvelles capacités de transport pour accompagner l’accroissement de la demande ;
- développer des infrastructures de liaison conformément aux directives du IXème PDES qui font de l’intégration régionale l’un des axes majeurs de la politique économique et sociale nationale ;
- améliorer la gestion des infrastructures et des services de transport : coordination, programmation, entretien et rentabilité économique des investissements ;
- renforcer l’implication des usagers, du secteur privé et des collectivités locales dans le financement du secteur ;
- désenclaver les zones rurales ;
- contribuer à la lutte contre la pauvreté en adoptant, le plus possible, des technologies à HIMO utilisant les ressources humaines locales pour la construction et l’entretien des infrastructures de transport ;
- généraliser les études d’impact environnemental.
Dix ans après son adoption, les principales analyses du secteur font apparaître la nécessité de maintenir les interventions de l’Etat dans ce cadre et il semble opportun que le projet de troisième Lettre de politique, ne remette pas fondamentalement en cause les orientations de la lettre de 1999.
Les projets de troisième Lettre de politique sectorielle et de PST III
La consolidation des acquis des programmes précédents, PAST I et PST II.
Ce programme est exécuté par le gouvernement de l’alternance.
Ainsi donc c’est évident que tous ces programmes et projets ont été bel et bien des œuvres des socialistes.
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