Lundi soir, alors que terroriste est retranché dans la maison de ses victimes, l'unité d'élite tente de cerner ses motivations.
L'homme de 25 ans, qui vient de poignarder à mort Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, se trouve alors seul avec leur enfant de 3 ans. Au milieu d'échanges stériles quant à sa possible reddition, Abballa prononce cette phrase: "Il était venu chez moi, maintenant c'est moi qui viens chez lui".
Cette tirade pourrait confirmer ce que certains enquêteurs pressentent depuis le début, à savoir que Larossi Abballa a consciencieusement choisi ses victimes en raison d'un contentieux personnel antérieur, précise Libération. Recoupée par plusieurs sources policières, la phrase énoncée au Raid par le terroriste n'apparaît cependant pas dans le dossier à ce stade.
L'homme de 25 ans, qui vient de poignarder à mort Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, se trouve alors seul avec leur enfant de 3 ans. Au milieu d'échanges stériles quant à sa possible reddition, Abballa prononce cette phrase: "Il était venu chez moi, maintenant c'est moi qui viens chez lui".
Cette tirade pourrait confirmer ce que certains enquêteurs pressentent depuis le début, à savoir que Larossi Abballa a consciencieusement choisi ses victimes en raison d'un contentieux personnel antérieur, précise Libération. Recoupée par plusieurs sources policières, la phrase énoncée au Raid par le terroriste n'apparaît cependant pas dans le dossier à ce stade.
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