e principal parti d’opposition a remporté la majorité absolue aux élections législatives, dimanche 20 mars, au Cap-Vert et formera le prochain gouvernement, selon les résultats recueillis après le dépouillement de plus de 90 % des bulletins de vote.
Le Mouvement pour la démocratie (MPD, libéral), conduit par l’ancien maire de Praia, Ulisses Correia e Silva, a gagné avec plus de 53 % des voix devant le Parti africain pour l’indépendance du Cap-Vert (PAICV, membre de l’Internationale socialiste), au pouvoir depuis 2001, et dont la dirigeante, Janira Hopffer Almada, a reconnu sa défaite dans la soirée.
Sur 72 sièges au Parlement, le MPD en obtient au moins 36, devant le PAICV, à 25. Trois sièges reviennent à l’Union cap-verdienne indépendante et démocratique (UCID, démocratie-chrétienne) et huit restent encore à attribuer, notamment après le dépouillement des votes de l’importante diaspora aux Amériques.
Le futur premier ministre de cet archipel d’Afrique de l’Ouest s’est engagé à « beaucoup travailler, car nous avons besoin d’un pays avec une plus forte croissance économique, de résoudre le problème du chômage et de réduire la pauvreté ». « Il n’y a pas de perdants dans cette élection parce que c’est le Cap-Vert qui a gagné avec cette célébration de la démocratie », a-t-il encore assuré, adressant un salut particulier aux déplacés de l’éruption volcanique de l’île de Fogo en novembre 2014, dont certains vivent encore dans des conditions précaires.
Le MPD, parti du président Jorge Carlos Fonseca, a gagné sur l’île de Fogo, un bastion traditionnel du PAICV, en raison notamment du mécontentement lié aux conditions de vie de ces déplacés.
Le Mouvement pour la démocratie (MPD, libéral), conduit par l’ancien maire de Praia, Ulisses Correia e Silva, a gagné avec plus de 53 % des voix devant le Parti africain pour l’indépendance du Cap-Vert (PAICV, membre de l’Internationale socialiste), au pouvoir depuis 2001, et dont la dirigeante, Janira Hopffer Almada, a reconnu sa défaite dans la soirée.
Sur 72 sièges au Parlement, le MPD en obtient au moins 36, devant le PAICV, à 25. Trois sièges reviennent à l’Union cap-verdienne indépendante et démocratique (UCID, démocratie-chrétienne) et huit restent encore à attribuer, notamment après le dépouillement des votes de l’importante diaspora aux Amériques.
Le futur premier ministre de cet archipel d’Afrique de l’Ouest s’est engagé à « beaucoup travailler, car nous avons besoin d’un pays avec une plus forte croissance économique, de résoudre le problème du chômage et de réduire la pauvreté ». « Il n’y a pas de perdants dans cette élection parce que c’est le Cap-Vert qui a gagné avec cette célébration de la démocratie », a-t-il encore assuré, adressant un salut particulier aux déplacés de l’éruption volcanique de l’île de Fogo en novembre 2014, dont certains vivent encore dans des conditions précaires.
Le MPD, parti du président Jorge Carlos Fonseca, a gagné sur l’île de Fogo, un bastion traditionnel du PAICV, en raison notamment du mécontentement lié aux conditions de vie de ces déplacés.
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