Le ministre libyen de l'Intérieur Faouzi Abdelali a démenti que les violences à Bani Walid lundi soient le fait de partisans de l'ancien régime de feu Mouammar Kadhafi, affirmant qu'il s'agissait de "problèmes internes" à cette ville située à 170 km de Tripoli.
"Les informations dont nous disposons disent qu'il y a des problèmes internes entre les habitants de cette ville, et c'est la raison de ce qui s'est passé", a-t-il affirmé à la chaîne de télévision Libya, en confirmant un bilan de cinq morts. "Les informations que nous avons en provenance de l'intérieur de la ville ne disent pas qu'il y a des drapeaux verts et il n'y a rien qui soit lié à l'ancien régime", a-t-il ajouté.
Le ministre a expliqué que les violences étaient liées à la question des compensations destinées aux personnes affectées par la guerre et qu'"il y a un différend entre deux parties dans la ville sur cette question". "J'espère que les thowars (révolutionnaires) ne vont pas s'engouffrer derrière les informations diffusées par certaines stations" et attendront "la publication d'un communiqué officiel", a-t-il ajouté.
Deux responsables locaux ont indiqué à l'AFP que des partisans lourdement armés du dirigeant libyen défunt Mouammar Kadhafi avaient pris lundi le contrôle de la ville symbolique de Bani Walid. Un correspondant de l'AFP qui a pu brièvement se rendre dans la ville a constaté qu'il y régnait la plus grande confusion et qu'il n'était pas possible de savoir qui était du côté des rebelles ou de l'ancien régime.
Bani Walid a été l'un des derniers bastions de Mouammar Kadhafi à tomber, quelques jours avant la mort de l'ancien dirigeant, et la fin du régime en octobre 2011 après huit mois d'un soulèvement sanglant. (belga)
"Les informations dont nous disposons disent qu'il y a des problèmes internes entre les habitants de cette ville, et c'est la raison de ce qui s'est passé", a-t-il affirmé à la chaîne de télévision Libya, en confirmant un bilan de cinq morts. "Les informations que nous avons en provenance de l'intérieur de la ville ne disent pas qu'il y a des drapeaux verts et il n'y a rien qui soit lié à l'ancien régime", a-t-il ajouté.
Le ministre a expliqué que les violences étaient liées à la question des compensations destinées aux personnes affectées par la guerre et qu'"il y a un différend entre deux parties dans la ville sur cette question". "J'espère que les thowars (révolutionnaires) ne vont pas s'engouffrer derrière les informations diffusées par certaines stations" et attendront "la publication d'un communiqué officiel", a-t-il ajouté.
Deux responsables locaux ont indiqué à l'AFP que des partisans lourdement armés du dirigeant libyen défunt Mouammar Kadhafi avaient pris lundi le contrôle de la ville symbolique de Bani Walid. Un correspondant de l'AFP qui a pu brièvement se rendre dans la ville a constaté qu'il y régnait la plus grande confusion et qu'il n'était pas possible de savoir qui était du côté des rebelles ou de l'ancien régime.
Bani Walid a été l'un des derniers bastions de Mouammar Kadhafi à tomber, quelques jours avant la mort de l'ancien dirigeant, et la fin du régime en octobre 2011 après huit mois d'un soulèvement sanglant. (belga)
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