Le Premier ministre de la Guinée-Bissau Carlos Gomes Junior a déclaré qu'il accueillerait l'ex-dirigeant libyen Mouammar Kadhafi "à bras ouverts" dans son pays si ce dernier le souhaite, a rapporté samedi une radio à Bissau.
"Si Kadhafi demande à venir en Guinée-Bissau, nous l'accueillerons à bras ouverts et nous assurerons sa sécurité", a déclaré M. Gomes Junior cité par la RDP.
Le Premier ministre a fait cette déclaration au Cap vert, où il assistait vendredi à l'investiture du nouveau président Jorge Carlos Fonseca.
La Guinée-Bissau n'a pas ratifié la Convention instituant la Cour pénale internationale (CPI).
L'ex-dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, visé par un mandat d'arrêt international émis par la CPI, fait l'objet d'un avis de recherche international.
La Guinée-Bissau, connue pour son instabilité politique et militaire, a entretenu des relations étroites avec le régime de Kadhafi, qui a largement investi dans des hôtels, l'agriculture et les noix de cajou, la principale exportation officielle du pays.
Kadhafi a également fourni des uniformes à l'armée de Guinée-Bissau et contribué à la rénovation de plusieurs casernes militaires.
Avant l'offensive lancée par les rebelles lybiens sur Tripoli à la mi-août, M. Gomes Junior avait déclaré au cours d'une conférence de presse: "Kadhafi et la Libye sont les amis de la Guinée-Bissau. Si le dirigeant libyen souhaite venir en Guinée-Bissau, nous le recevrons à bras ouverts".
En outre, il avait qualifié les frappes aériennes de l'OTAN "de violations flagrantes des droits d'un pays souverain" et accusé les Occidentaux de "vouloir le pétrole lybien". (belga/chds)
"Si Kadhafi demande à venir en Guinée-Bissau, nous l'accueillerons à bras ouverts et nous assurerons sa sécurité", a déclaré M. Gomes Junior cité par la RDP.
Le Premier ministre a fait cette déclaration au Cap vert, où il assistait vendredi à l'investiture du nouveau président Jorge Carlos Fonseca.
La Guinée-Bissau n'a pas ratifié la Convention instituant la Cour pénale internationale (CPI).
L'ex-dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, visé par un mandat d'arrêt international émis par la CPI, fait l'objet d'un avis de recherche international.
La Guinée-Bissau, connue pour son instabilité politique et militaire, a entretenu des relations étroites avec le régime de Kadhafi, qui a largement investi dans des hôtels, l'agriculture et les noix de cajou, la principale exportation officielle du pays.
Kadhafi a également fourni des uniformes à l'armée de Guinée-Bissau et contribué à la rénovation de plusieurs casernes militaires.
Avant l'offensive lancée par les rebelles lybiens sur Tripoli à la mi-août, M. Gomes Junior avait déclaré au cours d'une conférence de presse: "Kadhafi et la Libye sont les amis de la Guinée-Bissau. Si le dirigeant libyen souhaite venir en Guinée-Bissau, nous le recevrons à bras ouverts".
En outre, il avait qualifié les frappes aériennes de l'OTAN "de violations flagrantes des droits d'un pays souverain" et accusé les Occidentaux de "vouloir le pétrole lybien". (belga/chds)
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