Des ravisseurs ayant enlevé dans la nuit de vendredi à samedi une Française dans l'archipel touristique de Lamu (Kenya) ont été blessés dans une fusillade avec la marine, a annoncé le Kenya, précisant qu'ils avaient toutefois réussi à rejoindre la Somalie.
A l'annonce de l'agression, les forces de sécurité sont entrées en action et ont poursuivi les ravisseurs qui se dirigeaient vers Ras Kamboni (sud de la Somalie, NDLR) à bord d'un bateau rapide, selon un communiqué du gouvernement kényan.
Dans la fusillade qui a suivi entre les ravisseurs et la marine kényane, plusieurs ravisseurs ont été blessés mais ont réussi à entrer dans Ras Kamboni, selon le texte.
Selon le gouvernement, la femme a été enlevée dans sa propre maison par dix bandits somaliens lourdement armés soupçonnés d'être des agents des (rebelles islamistes) shebab de Ras Kamboni en Somalie, près de la frontière kényane.
Ras Kamboni, petit village côtier proche de la frontière avec le Kenya, est un ancien bastion des shebab. L'endroit n'est aujourd'hui plus sous le contrôle d'aucun groupe bien défini. Plusieurs gangs armés y séviraient.
Samedi, le gouvernement a aussi assuré que tous les efforts seraient déployés pour sauver la victime.
Le ministre du Tourisme kényan, Najib Balala, a de son côté indiqué que des mesures pour renforcer la sécurité dans le pays seraient prises.
La Française kidnappée dans la nuit, âgée de 66 ans, avait l'habitude de passer une bonne partie de l'année sur l'archipel de Lamu.
Elle a été enlevée à son domicile sur l'île de Manda, juste en face du village de Shela, qui abrite, sur l'île de Lamu, des résidences secondaires de riches ressortissants étrangers. A une vingtaine de minutes à pied de Shela se trouve Lamu, ville classée au patrimoine de l'Unesco.
Cet enlèvement intervient moins d'un mois après celui d'une Britannique, à une cinquantaine de kilomètres plus au nord.
( AFP )
A l'annonce de l'agression, les forces de sécurité sont entrées en action et ont poursuivi les ravisseurs qui se dirigeaient vers Ras Kamboni (sud de la Somalie, NDLR) à bord d'un bateau rapide, selon un communiqué du gouvernement kényan.
Dans la fusillade qui a suivi entre les ravisseurs et la marine kényane, plusieurs ravisseurs ont été blessés mais ont réussi à entrer dans Ras Kamboni, selon le texte.
Selon le gouvernement, la femme a été enlevée dans sa propre maison par dix bandits somaliens lourdement armés soupçonnés d'être des agents des (rebelles islamistes) shebab de Ras Kamboni en Somalie, près de la frontière kényane.
Ras Kamboni, petit village côtier proche de la frontière avec le Kenya, est un ancien bastion des shebab. L'endroit n'est aujourd'hui plus sous le contrôle d'aucun groupe bien défini. Plusieurs gangs armés y séviraient.
Samedi, le gouvernement a aussi assuré que tous les efforts seraient déployés pour sauver la victime.
Le ministre du Tourisme kényan, Najib Balala, a de son côté indiqué que des mesures pour renforcer la sécurité dans le pays seraient prises.
La Française kidnappée dans la nuit, âgée de 66 ans, avait l'habitude de passer une bonne partie de l'année sur l'archipel de Lamu.
Elle a été enlevée à son domicile sur l'île de Manda, juste en face du village de Shela, qui abrite, sur l'île de Lamu, des résidences secondaires de riches ressortissants étrangers. A une vingtaine de minutes à pied de Shela se trouve Lamu, ville classée au patrimoine de l'Unesco.
Cet enlèvement intervient moins d'un mois après celui d'une Britannique, à une cinquantaine de kilomètres plus au nord.
( AFP )
Autres articles
-
Pyongyang se moque de Trump et précise son plan d'attaque sur Guam
-
Côte d'Ivoire : Emprisonnement à vie requis contre Simone Gbagbo
-
Allemagne : Arrestation d'un islamiste radical soupçonné de préparer un attentat
-
L'ambassadeur russe à l'ONU Vitali Tchourkine est mort subitement à New York
-
EGYPTE : Décès dans une prison américaine de cheikh Omar Abdel-Rahman