Encore lui, l’ange gardien d’idrissa Seck ! (Mody Niang)


Encore lui, l’ange gardien d’idrissa Seck ! (Mody Niang)
Ce garçon est donc revenu à la charge, plus fougueux, plus passionné, plus sûr de son fait que jamais auparavant. De nombreux parents, amis et sympathisants m’ont supplié d’ignorer ses injures, comme je l’ai du reste toujours fait. Chaque fois que j’ai eu à adresser une seule critique, même la plus anodine, à son leader, ce M. Bocoum s’est attaqué violemment à moi. Et j’ai toujours fait la sourde oreille, sauf pour son attaque du mardi 28 août 2012.

Un proverbe bien de chez nous nous apprend ceci : « Loo noppi noppi, ngir am jámm ak say dëkkëndóo, boo yeewoo benn suba teel fekk ñu bayyi pónkalum mbaam mu de sa buntu kër, booba nak wax jótna. » En d’autres termes, vous avez beau choisir de garder le silence pour sauvegarder des relations paisibles avec vos voisins, vous êtes obligé de sortir de vos gonds si, un matin, vous découvrez que quelqu’un a déposé le cadavre d’un gros âne devant la porte de votre maison. Je me trouve exactement dans la même situation avec ce turbulent et bouillant M. Bocoum. Je rassure cependant parents, amis et sympathisants : celle-ci est ma toute dernière réaction, quelle que soit la suite des événements.

Pour revenir à la charge encore copieuse du garçon, je ne m’attarderai pas sur les injures, les mêmes qui n’ont pas d’intérêt. En tout cas si, par ce moyen, on pouvait me faire taire, je serais devenu sourd-muet depuis de longues années, bien avant l’irruption de ce M. Bocoum sur la scène politique. L’homme revient donc avec force sur les fonds politiques, les révélations de la presse que j’utiliserais comme preuves à mes « allégations », le non-lieu total de son champion qui le rend blanc comme neige, etc. Il m’apprend « qu’on ne peut pas parler d’illicéité quand il s’agit de fonds politiques », que « ces fonds ont existé depuis longtemps et continuent encore, au moment où (il) écrit ces lignes, d’exister chez nous, qu’ils sont légalement inscrits dans le budget de l’Etat et votés par les représentants du peuple ». Toujours pour mon information, il ajoute : « Et la loi les place sous le contrôle et l’utilisation discrétionnaire du Président de la république. Et c’est encore le cas aujourd’hui. »

Je ne suis sûrement pas, comme lui, très versé dans la gestion des Finances publiques. Je suis, cependant, en mesure de débusquer l’amalgame. Nos oreilles sont plus familières avec le concept de « Fonds politiques ». Il s’agit, en réalité de « Fonds spéciaux » qui comprennent trois rubriques : les fonds politiques, les fonds secrets et le fonds d’aide à l’Unité africaine. Ces fonds spéciaux sont certainement, comme le rappelle mon éternel contradicteur, laissés à la discrétion du Président de la République, dans le cadre dans l’exercice de ses fonctions régaliennes. Cela veut dire donc qu’ils ont une philosophie, une mission, surtout un esprit, un esprit républicain. En tout état de cause, ils ne devraient pas servir à faire n’importe quoi, notamment à acheter de vulgaires transhumants ou des porteurs de voix potentiels, ou à enrichir les collaborateurs, même les plus proches du président de la République. Un autre bouclier de M. Seck, un certain Abdoulaye Djigo, qui a tenu à prendre sa part du combat dans un texte paru à dakaractu de ce jour, m’a inconsciemment conforté en affirmant ceci : « L’opportunité de mettre à la disposition du chef de l’Etat un fonds spécial, s’explique, par la nécessité de lui permettre de faire des «actions républicaines» (aides sociales, prises en charge médicale…) et des «dépenses de souveraineté». Á moins que l’enrichissement de M. Seck sur la base des fond spéciaux s’inscrive dans le cadre des « aides sociales !

Je remercie ce cher M. Bocoum de me rappeler, peut-être de m’apprendre que les « fonds politiques ont existé depuis longtemps et continuent encore (…) d’exister chez nous, sont légalement inscrits dans le budget de l’Etat et votés par les représentants du peuple ». Nous sommes totalement en phase ici. Cependant, M. Bocoum me permettra de lui rappeler à mon tour que, au moment où les Socialistes quittaient le pouvoir, les fonds politiques plafonnaient à 640-650 millions de francs Cfa et que, avec Me Wade, le montant a crevé tous les plafonds. Ce dernier ne se contentait pas des allocations annuelles de l’Assemblée nationale qui ne lui suffisaient même pas à se rincer les dents : doyu ko woon sax galaxndiku !

Ces maigres fonds légaux sont donc sans commune mesure avec ceux sur la gestion desquels l’ancien Premier ministre Idrissa Seck a été interrogé le 11 novembre et le 23 décembre 2005 par la Commission d’Instruction de la Haute Cour de Justice. Devant cette Commission, M. Seck fera des révélations fracassantes et ahurissantes. Ces graves révélations ont largement été relayées, et pratiquement dans les mêmes termes, par au moins quatre quotidiens dont, en particulier, « Le Quotidien » du 17 janvier 2006 (page 5) et « Walfadjri » du 20 janvier 2006 (page 3). Les deux journaux ne pouvaient rien inventer : ils ont donné les mêmes chiffres et cité les mêmes noms de toutes les personnalités (publiques et privées) impliquées dans la gestion calamiteuse desdits fonds. C’est le champion de M. Bocoum qui révèle que le président Wade, son fils Karim et lui-même ont eu à gérer, dans le cadre de ces fonds politiques, des dizaines, voire des centaines de milliards, à travers des comptes ouverts notamment à la Cbao, à la Sgbs et en France. Ce n’est pas moi qui révèle, mais bien Idrissa Seck, librement et en toute connaissance de cause, sans que personne lui ait glissé un morceau de sucre dans la bouche.

Á la question des magistrats ébahis de savoir d’où provenaient ces milliards, notre ex-Premier ministre répondit sans fard : « Des fonds diplomatiques et autres aides budgétaires que Me Wade ramenait de ses nombreux voyages. » Il donnera même un exemple concret : « Un chèque d’un milliard 200 millions de francs Cfa offert par le Koweït au Sénégal, avait été directement remis au Président de la République qui l’aurait fondu dans ses fonds politiques », exactement dans les comptes hébergés par la Cbao.

En d’autres termes, les fonds spéciaux du président de la République étaient aussi alimentés par de l’argent détourné de sa destination normale : le Trésor public. Des compatriotes triés sur le volet profitaient largement et indûment des ces fonds, de l’argent du contribuable, à commencer par lui-même, Idrissa Seck. Il a même cité des noms dont un certain Ibrahima Khalil dit Bibo, présenté comme un ami d’enfance de Karim Wade. Une des banques où étaient logés les fonds politiques, a consenti deux prêts d’un milliard de francs Cfa chacun à cette personne privée, avec une caution et une garantie de Karim Wade et de Papa Diop, alors président de l’Assemblée nationale. Le futur bénéficiaire d’un non-lieu total révèlera que les deux fameux prêts ont été remboursés les 26 et 29 juin 2001, par des fonds en provenance de l’étranger. L’homme « blanc comme neige » fera nombre d’autres révélations, toutes gravissimes.

Les cuillères d’Idrissa Seck s’empresseront de répliquer encore : c’est lui qui a tout inventé ! Mon imagination est donc particulièrement fertile, si je suis capable d’inventer tout cela. Comment oserais-je d’ailleurs inventer des choses aussi graves, sans risque aucun ? Même si Idrissa Seck me méprise, le Procureur de la République aurait pu s’autosaisir et me convoquer ! Basta, mes chers contradicteurs ! Il faut faire la part entre les fonds politiques réguliers, et ceux alimentés sur des bases proprement illégales, par de l’argent détourné. Á partir de quels fonds Idrissa Seck s’est-il enrichi, des licites ou des illicites ?

Ce cher M. Bocoum affirme, péremptoire, que « la loi les place (les fonds politiques) sous le contrôle et l’utilisation discrétionnaire du président de la République ». Lesquels sont-ils protégés par la loi ? Les licites ou les illicites ? Les fonds spéciaux du président de la République ne devraient donc pas échapper aux audits, en tout cas pas ceux qui étaient alimentés irrégulièrement par de l’argent dont la place naturelle devrait être le Trésor public, au profit du seul contribuable.

Je crois avoir répondu, en passant, à cette accusation facile d’utiliser les révélations de la presse comme preuves à mes « allégations ». D’ailleurs, m’appartient-il de fournir des preuves à la Justice ? Á quel titre le ferai-je ? Soyons quand même sérieux ! Ni la presse, ni moi-même ne somme en cause. S’il y a quelqu’un qui s’est tiré une balle dans les pieds, c’est bien Idrissa Seck qui a choisi, en se laissant aller à ses révélations, d’aller mourir au milieu du village, un jour de grand marché, se passant ainsi de communiqué de décès. J’ai fait état ici d’un proverbe de chez nous qui dit ceci : « ku dee ca diggu ja ba, yaa tagge sa bopp ».

Je crois avoir répondu aussi à ce fameux non-lieu total qui rendrait Idrissa Seck aussi blanc que le toor toor. M. Bocoum et les autres auront beau me tirer dessus, ils ne me feront jamais croire à son innocence totale, ni ne m’amèneront à lui faire confiance. En tout cas jusqu’à preuve du contraire.

Un mot sur la leçon que ce cher M. Bocoum me fait sur la présomption d’innocence. Elle existe, et j’y crois. Je pense, cependant, qu’à côté, devrait exister la présomption de culpabilité. Quand on achète des cuillères, des couteaux, des clés Usb respectivement à 42000, 37500 et 97500 francs l’unité hors taxe, on serait plus proche de la culpabilité que de l’innocence. Le pédophile belge Marc Dutroux et le tueur norvégien Andres Behring Breivik n’ont-ils pas eu droit à la présomption d’innocence ? Pourtant, quel Belge, quel Norvégien a-t-il douté un seul instant de leur culpabilité ? Ces deux tristes individus méritaient davantage la présomption de culpabilité que la présomption d’innocence.

Je passe sur tout le reste – et dieu sait qu’il y en a encore à boire et à manger, pour employer une expression familière –, et terminerai par la conclusion singulière de M. Bocoum que je cite : « Je terminerai par ces propos que Mody Niang avait tenus au sujet de Wade : « Ce n’est pas à 84 ans – d’autres disent infiniment plus – que cet homme va changer. Nous devons donc rester fermement sur nos gardes. »
Nous resterons donc fermement sur nos gardes, vu son âge qui avoisine celui de Wade, même s’il nous promet de clore définitivement la page Idrissa Seck. »

Ce garçon n’est pas bête et a sûrement quelque chose dans le ventre. Cependant, il n’a pas dû suffisamment réfléchir avant de choisir sa conclusion. Je ne le connais point, et ne peux me permettre, partant, de me prononcer sur son profil moral. Ce que je peux affirmer, par contre, c’est qu’il s’est laissé emporter, à la fin de son texte, par une passion aveugle, une méchanceté inutile, d’autant plus inutile qu’il m’a régulièrement accusé de tous les péchés d’Israël depuis plusieurs années.

Donc, pour revenir à sa conclusion, mon âge avoisinerait celui de Wade, qui n’a pas moins de 88 ans aujourd’hui. Je serais donc âgé de 85 à 86 ans. Je passe sur la malhonnêteté intellectuelle et peut-être le déficit moral qu’il y a derrière ce malheureux rapprochement. Á supposer d’ailleurs qu’il ait raison et que je ne sois pas loin de 88 ans – yalla na gimiñëm am barke –, ce garçon impétueux devrait comprendre que même si Wade et moi avions des âges voisins, nous n’étions pas dans la même posture, ni n’assumions les mêmes responsabilités, au moment où j’évoquais son âge. Il envisageait surtout de solliciter nos suffrages à 88 ans, pour un mandat de sept ans, après une dizaine d’années de gouvernance désastreuse. Pendant que moi, avec mes 82-83 ans d’alors, peut-être plus, je n’étais candidat à rien du tout et n’assumais aucune responsabilité publique. Je ne représentais surtout aucun danger pour le pays, en tout cas pas à ma connaissance. Pourquoi donc M. Bocoum et ses amis s’effaroucheraient-il devant mon âge avancé, devant mes 85-86 ans aujourd’hui ? J’espère que les autres octogénaires sénégalais ne leur inspireront pas la même horreur !

Je laisse enfin le lecteur apprécier.

En tout cas, si ce garçon croit me nuire, m’atteindre en me donnant à peu près le même âge que Wade, il se fourvoie terriblement. Depuis quand d’ailleurs un âge avancé est-il devenu une tare ? Pour ce qui me concerne, je rends grâce à Dieu qui m’a fait le grand privilège de vivre jusqu’à cet âge qu’il me prête. Combien de parents, d’amis, de compatriotes sont-ils restés en chemin, à la fleur de l’âge, alors qu’ils avaient en chantier beaucoup de projets, qu’ils avaient une famille avec des enfants en bas âge qui ne demandaient qu’à être encadrés ? Il est vrai que ce M. Bocoum se prend très au sérieux, peut-être trop au sérieux. Mais, en arriver jusqu’à cette comparaison impertinente et malheureuse rien que pour nuire, cela pose réellement problème.

Sans doute, y a-t-il de très profondes divergences entre ce garçon et moi. Celles-ci ne m’empêcheront cependant pas de lui souhaiter, en toute sincérité, de vivre encore plus longtemps que moi, et de continuer d’apprendre ainsi de la vie, car il en a manifestement besoin, ne serait-ce que pour relativiser ses certitudes.

Dakar, le 31 août 2012

Mody Niang e-mail : modyniang@arc.sn
Samedi 1 Septembre 2012
Mody Niang



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59.Posté par DIOUF Babacar le 01/09/2012 01:09
Mais,grand tu nous avais promis dans ta,réponse précédente que c'était la dernière et tu n'as pas tenu parole!
Grand moralisateur , tu devrais savoir ce que vaut une parole donnée et quel effet cela ferait aux enfants de te voir te dédire comme ça, sans gêne! Demande à monsieur Abdoulaye WADE ex président , peut être il voudra bien t'aider. Honnêtement tu fais pitié. Di dagasanté avec tes fils et petits fils tci Lou niak fayda!
Ressaisi toi way encore qu'il est temps!
Sans rancune

58.Posté par tinos le 01/09/2012 00:43
tu es tout sauf sérieux petit Mody Niang. boonn ak sookhoor rek momla diapp

57.Posté par Ousmane le 01/09/2012 00:41
Je pense que Mody Niang n'a pas de classe. Ayez un peu de auteur au lieu de vos disputer

56.Posté par boocs le 01/09/2012 00:36
Je ne suis pas avec idy mais pour l’intellectuel que je souhaite devenir, je trouve trop de contradictions dans ce torchon de ce mody niang. Il pense qu'il est un grand analyste mais il ne m'a jamais impressionné franchement. Dommage pour les esprits paresseux qui se laisse impressionner facilement.

55.Posté par Mami le 01/09/2012 00:20
Mody c'est vraiment dommage. Je regrette de te le dire mais le garçon a raison. Tu es loin d'être un intellectuel. Tu as un problème de discernement. Tu veux, tu tente mais ce problème est réel et profond en toi

54.Posté par ZARZAR le 31/08/2012 23:07
BOCOUM IL EST TEMPS DE FERMER TA GUEULE. MODY NIANG PEUT ETRE TON PERE. TU ES TROP PRETENTIEUX POUR PENSER POUVOIR DEFENDRE LE VOLEUR IDY. TU NE POURRAS JAMAIS ET MEME AVEC TOUS LES MILITANTS DE REWMI DEFENDRE LE SUBLIME VOLEUR DE L'ALTERNANCE. IDY SATHE LEU CECI RESTERA GRAVE SUR LE MARBRE. LUI PERSONNELLEMENT A DIT S'ETRE ENRICHI PAR LE BIAIS DES FONDS POLITIQUES, ET TOI? PETIT MORVEUX TU VEUX TENTER DE DEFENDRE L'INDEFENDABLE, D'AUTANT PLUS QUE L'USAGE DISCRETIONNAIRE DE CES FONDS EST UNE PREROGATIVE UNIQUE DU PRESIDENT. IDY N'AYANT PAS CETTE QUALITE TOUT USAGE QU'IL POURRAIT EN FAIRE EST FORCEMENT DELICTUEL. C'EST UN VOLEUR, SATHE LEU ET CE JUSQU'A L'EXTINCTION DE NOTRE SOLEIL.

53.Posté par hello le 31/08/2012 22:50
mody BOCOUM
MODY BOCOUM
MODY BOCOUM
MODY BOCOUM
MODY BOCOUM
MODY BOCOUM
MODY BOCOUM

52.Posté par a REVOLTE le 31/08/2012 22:46
je ne suis pas du tout idrissa seck MAIS de ma coute vie je n'ai JAMAIS vu quelqu'un d'aussi GNAK FAYDA que ce mody niang mais ki ana aye mbokam akh aye domam ?

51.Posté par a REVOLTE le 31/08/2012 22:46
je ne suis pas du tout idrissa seck MAIS de ma coute vie je n'ai JAMAIS vu quelqu'un d'aussi GNAK FAYDA que ce mody niang mais ki ana aye mbokam akh aye domam ?

50.Posté par a REVOLTE le 31/08/2012 22:46
je ne suis pas du tout idrissa seck MAIS de ma coute vie je n'ai JAMAIS vu quelqu'un d'aussi GNAK FAYDA que ce mody niang mais ki ana aye mbokam akh aye domam ?

49.Posté par Babs le 31/08/2012 22:43
bien sûr que Mody a fait mouche!! Idy a voulu prendre les sénégalais pour des idiots,les gens ont profité des dernières élections pour lui ont montrer la porte de sortie politique...........................

48.Posté par palune le 31/08/2012 22:42
Salam Mr niang a parfaitement raison de ne pas avoir confiance en idy comme la majorité des sénégalais d’ailleurs comme en atteste ses résultats aux élections

47.Posté par Babs le 31/08/2012 22:38
Mody Niang n'a avancé que des certitudes et d'ailleurs le peuple sénégalais a montré à Idy la porte de sortie....................A trop vouloir prendre les gens pour des demeurés, on finit.....................La preuve, tout le monde a vu comment il a dégringolé dans l'estime des gens depuis 2007. Cela suffit comme réponse aux thuriféraires comme Bocoum et compagnie.

46.Posté par ndew dieye le 31/08/2012 22:34
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANEBOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANEBOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE
BOCOUM NIANE °BOCOUM NIANE

45.Posté par Cette Idyologie le 31/08/2012 22:30
Mody Niang utilise des arguments. Pourquoi lui opposer des injures. Les minutes de l'audition de Idrissa Seck par le doyen des juges ont été publiées dans la presse quotidienne. Cette Idyologie qui veut que meme l'aveux ne soit pas retenu, pas plus les investigations, les rapports des corps de contrôle, encore moins le patrimoine multiplié par 1000 de monsieur Seck, est un dangereux fanatisme. C'est aussi, et c'est aussi sinon plus grave, une haute trahison de l'esprit de la Republique et des intérêts supérieurs de la Nation. Monsieur Idrissa Seck n'a pas d'avenir politique. Ses partisans feraient mieux de lui chercher de bons avocats et d'éviter de citer des versets qui, s'ils lui étaient appliquées, lui vaudraient la main coupée. Merci et bravo a monsieur Mody Niang.

44.Posté par daaka le 31/08/2012 22:22
Mody Niang ,tout le monde sait que tu ne fais pas tes contributions d'une maniére spontané ,mais parceque tant que Idy fait de la politique ton candidat ne sera jamais Président du Sénégal .
Bravo Thierno Bocoum et à tous le jeunes de REWMI
Bravo à Abdou KEBE de IS4
Si ce vieux pervers ne récul pas ,vous aussi ne reculez jamais .
Bonne continuation

43.Posté par IDRISSA SECK le 31/08/2012 22:06
BAYOO NDEYOU IDY

42.Posté par IDRISSA SECK le 31/08/2012 22:02
IDRISSA SECK EST UN BATARD VOLEUR QUI A ENFANTE UN FILS VOLEUR COMME LUI. TEUGOU KHARAMATA NDIAYE- SAYA BOU BONE

41.Posté par Mr Sow le 31/08/2012 21:53
Mr Niang, certes vous êtes un grand intellectuel parmi tant d’autres, pour ainsi dire que vous appartenez à cette génération qui nous a servie de repère.En plus vous ne manquez pas d’arguments, mais ces derniers ,aujourd’hui,n’enrichissent en rien notre connaissance .en effet, je vois en vous un intellectuel qui cherche coûte que coûte à se faire connaitre comme ces jeunes journalistes diplômés et qui ne cessent de surprendre les lecteurs par leur pertinence mais aussi les efforts qu’ils fournissent dans leur travail. Mais vous, je ne vous comprends pas. Vous vous focalisez tellement sur la personne de Mr Idrissa Seck. Finalement, les gens penseront que vous profiteriez de sa popularité pour espérer décrocher votre seul ‘’ UNE ‘’. « Soyons quand même sérieux » ! Puisque c’est vous même qui le dites.
Avant de parler, il faudrait remuer mille fois la langue. Une règle élémentaire, non ! Vous avez affirmé des choses qui, sortant de la bouche d’un éminent intellectuel, font rire .Et on voit bien que vous avez des problèmes car étant incapable d’assumer vos propos. Vous avez appelé vos ’’ amis et sympathisants’’ Dommage pour un VIEUX INTELLECTUEL.
Personne ne cherche à vous convaincre sur quoi que ce soit mais seulement à vous faire descendre sur terre. Mais on voit que vous refusez et c’est peut-être dû à l’âge. Vous vous permettez de soulever toujours des problèmes déjà réglés pour en faire une porte de sortie : vous vous trompez !

40.Posté par la voix le 31/08/2012 21:49
Foutez nous la paix Monsieur Mody Niang et laissez Idrissa Seck

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