Mohamed ElBaradei, ancien haut fonctionnaire international, a rejoint vendredi les manifestants qui réclament sur la place Tahrir au Caire le départ sans délai de l'armée du pouvoir, a constaté une journaliste de l'AFP.
L'ex-chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui affiche ses ambitions pour la présidence de l'Egypte, s'est joint à des dizaines de milliers de manifestants qui participaient à la prière musulmane hebdomadaire sur la place.
Dès le sermon fini des dizaines de personnes autour de lui ont crié "le peuple veut le départ du maréchal", en référence au maréchal Hussein Tantaoui, chef du Conseil suprême des forces armées (CSFA), qui dirige le pays depuis la chute en février du président Hosni Moubarak.
L'imam conduisant la prière sur la place a réclamé dans son sermon le transfert immédiat du pouvoir à un gouvernement de "salut national" et a prévenu que les manifestants ne quitteraient Tahrir "qu'une fois leurs revendications satisfaites".
"Il n'y a d'autre option qu'un gouvernement de salut national avec les pouvoirs d'un président", a déclaré l'imam Mazhar Chahine.
Les manifestants qui réclament le transfert immédiat du pouvoir aux civils ont entamé vendredi matin un rassemblement dit de "la dernière chance" réclamant une fois de plus le départ immédiat du pouvoir militaire.
Dans le même temps, la Maison Blanche a exhorté à un retour rapide à une gouvernance civile en Egypte, où de violents affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont fait 41 morts au cours des derniers jours. (belga)
L'ex-chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui affiche ses ambitions pour la présidence de l'Egypte, s'est joint à des dizaines de milliers de manifestants qui participaient à la prière musulmane hebdomadaire sur la place.
Dès le sermon fini des dizaines de personnes autour de lui ont crié "le peuple veut le départ du maréchal", en référence au maréchal Hussein Tantaoui, chef du Conseil suprême des forces armées (CSFA), qui dirige le pays depuis la chute en février du président Hosni Moubarak.
L'imam conduisant la prière sur la place a réclamé dans son sermon le transfert immédiat du pouvoir à un gouvernement de "salut national" et a prévenu que les manifestants ne quitteraient Tahrir "qu'une fois leurs revendications satisfaites".
"Il n'y a d'autre option qu'un gouvernement de salut national avec les pouvoirs d'un président", a déclaré l'imam Mazhar Chahine.
Les manifestants qui réclament le transfert immédiat du pouvoir aux civils ont entamé vendredi matin un rassemblement dit de "la dernière chance" réclamant une fois de plus le départ immédiat du pouvoir militaire.
Dans le même temps, la Maison Blanche a exhorté à un retour rapide à une gouvernance civile en Egypte, où de violents affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont fait 41 morts au cours des derniers jours. (belga)
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