Dans un climat de plus en plus tendu autour de la consommation et du trafic de drogues chez les jeunes, une opération de police aux Parcelles Assainies a mis à nu un réseau de trafic de haschich où figure un nom inattendu : M.R. Diop, fils d’une ancienne figure politique nationale. L’affaire, révélée par L’Observateur, a éclaté lundi soir dans le quartier Hamo 2, près du rond-point Case-bi.
Il est environ 19h, lorsque les éléments du commissariat des Parcelles Assainies, alertés par une source anonyme, mettent en place une planque devant une maison suspectée d’abriter des activités illicites. Rapidement, les policiers remarquent deux individus au comportement équivoque. L’un d’eux, après un appel téléphonique, s’approche de la maison et reçoit une boule de cannabis des mains d’un tiers sortant du domicile. Pris sur le fait, les deux jeunes hommes sont immédiatement interpellés. Sur l’un d’eux, une fouille révèle 0,5 g de haschich.
Âgés de 21 et 22 ans, l’un élève et l’autre menuisier alu, ils avouent s’être cotisés à hauteur de 2 500 FCFA chacun pour leur dose. Exploitant leur témoignage, les policiers tendent un guet-apens au présumé dealer, Raoul, étudiant en formation de délégué médical. Pris à son tour, il tente de se débarrasser de la preuve en avalant la boule qu’il s’apprêtait à vendre. Trop tard. Une descente dans la maison s’en suit.
À l’intérieur, les forces de l’ordre découvrent quatre autres jeunes, dont M.R. Diop, pris en possession de huit boules de haschich. Au total, ce sont 25 boules qui sont saisies chez trois autres membres du groupe. Particularité notable : la moyenne d’âge du réseau ne dépasse pas 25 ans et plusieurs d’entre eux sont encore élèves.
Placés en garde à vue, les sept interpellés ont tous reconnu leur implication. Trois sont poursuivis pour détention, trafic de haschich et association de malfaiteurs, tandis que les quatre autres sont poursuivis pour détention aux fins d’usage.
Il est environ 19h, lorsque les éléments du commissariat des Parcelles Assainies, alertés par une source anonyme, mettent en place une planque devant une maison suspectée d’abriter des activités illicites. Rapidement, les policiers remarquent deux individus au comportement équivoque. L’un d’eux, après un appel téléphonique, s’approche de la maison et reçoit une boule de cannabis des mains d’un tiers sortant du domicile. Pris sur le fait, les deux jeunes hommes sont immédiatement interpellés. Sur l’un d’eux, une fouille révèle 0,5 g de haschich.
Âgés de 21 et 22 ans, l’un élève et l’autre menuisier alu, ils avouent s’être cotisés à hauteur de 2 500 FCFA chacun pour leur dose. Exploitant leur témoignage, les policiers tendent un guet-apens au présumé dealer, Raoul, étudiant en formation de délégué médical. Pris à son tour, il tente de se débarrasser de la preuve en avalant la boule qu’il s’apprêtait à vendre. Trop tard. Une descente dans la maison s’en suit.
À l’intérieur, les forces de l’ordre découvrent quatre autres jeunes, dont M.R. Diop, pris en possession de huit boules de haschich. Au total, ce sont 25 boules qui sont saisies chez trois autres membres du groupe. Particularité notable : la moyenne d’âge du réseau ne dépasse pas 25 ans et plusieurs d’entre eux sont encore élèves.
Placés en garde à vue, les sept interpellés ont tous reconnu leur implication. Trois sont poursuivis pour détention, trafic de haschich et association de malfaiteurs, tandis que les quatre autres sont poursuivis pour détention aux fins d’usage.
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