«Avec Macky, le Sénégal à l’ère de la révolution républicaine »


«Avec Macky, le Sénégal à l’ère de la révolution républicaine »
Le peuple sénégalais, dans son écrasante majorité, a porté le président Macky sall à la magistrature suprême le 25 Mars 2012. Cette élection est alors l’expression de la volonté populaire.
Mais elle engage aussi de notre part, nous autres militants républicains, un sens élevé de la responsabilité politique.
Aujourd’hui l’impératif catégorique pour le peuple sénégalais comme pour le nouveau régime, c’est de restaurer la république, les valeurs, la dignité, la démocratie mais aussi et surtout de satisfaire la demande sociale.
Pour toutes ces raisons, le cercle des intellectuels républicains(CIREM), auquel j’appartiens, félicite le président de la république pour cette rupture qu’il a opérée et qui a consisté à réduire de manière drastique le train de vie de l’Etat. En effet le nouveau régime a mis sur pied un gouvernement de vingt cinq (25) ministres. Il a également supprimé toutes les Directions et agences inutiles.
Dans le même sillage le président Macky Sall a diminué le prix des denrées de première nécessité. Il a aussi décide de diminuer la fiscalité sur les salaires à partir de janvier 2013.
Les femmes enceintes auront droit à des soins gratuits.La jeunesse et le monde rural constituent aussi des priorités pour le président Macky Sall qui a parcouru tout le pays en profondeur pour s’enquérir des problèmes et trouver les solutions idoines.
Avec Macky les institutions vont retrouver leur valeur. C’est dans ce sens que les audits seront menés et les fautifs seront sanctionnés. C’est pourquoi nous refusons de croiser les bras par rapport aux attaques injustes et injustifiées à l’endroit du président. Certes la démocratie est un lieu de contradiction mais il faut respecter le pacte républicain qui existe entre Macky et le peuple sénégalais.
Nous parlions plus haut de révolution républicaine, c’est par ce que avec Macky le peuple sénégalais est réconcilié avec lui même. Les citoyens sont convaincus qu’un autre sénégalais est possible.
A ce titre nous découvrons maintenant que vertu et éthique peuvent bel et bien faire bon ménage avec la politique et c’est ce que le président est entrain de prouver au sénégalais, n’en déplaise aux oiseaux de mauvaise augure, des cercles mafieux et affairistes. A ces groupes maffieux partisans d’acquis injustifiés, nous leur rappelons que des positions et de rentes sont révolues. La révolution républicaine amorcé le 23 juin et matérialisé le 25 Mars 2012 à définitivement sonné le glas de ces pratiques.
Il reste maintenant d’accompagner le président Sall à réaliser les grandes ambitions qu’il a pour le Sénégal. Donc les conditions de la bonne gouvernance sont aujourd’hui réunies.

Mlle THIORO FALL
Secrétaire chargée des relations
Extérieures du CIREM
Samedi 9 Juin 2012
Mlle THIORO FALL



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

1.Posté par Stop les coups de bluff le 09/06/2012 19:54
Ce n'est pas de cette manière là qu'il faut faire une tribune. Melle Fall, Macky viens juste de prendre fonction et arrêtez vos commentaires dithyrambiques qui ne rien d'autre qu'une volonté d'avoir des projecteurs sur vous. Vous faites déjà un bilan alors que le mandat vient juste d'être entamé. Si vous vous satisfaites de ce peu, les exigences du peuple sénégalais sont encore plus fortes que de simples manipulations fiscales ou une simple réorganisation de l'appareil étatique.
Intellectuel Républicain? Vous êtes habile à créer des mouvements de soutien tout cela pour avoir votre part du butin. Ce sont ces mêmes mouvements qui ont prospéré sous Wade. Et on connait la suite. Vous êtes à l'image des petits partis politiques, une tare pour la démocratie et le développement socio-économique du Sénégal

2.Posté par Momar Idrissa NDIAYE le 09/06/2012 20:04
ouvernement Macky Sall : BOYCOTT, MEPRISE ET RATAGES

1°) Dissolution de l’Assemblée Nationale, UN RATAGE DU PRESIDENT MACKY SALL :
Annoncée SOLENNELLEMENT dans un très OFFICIEL message à la nation (« Faute de consensus, l’Assemblée nationale sera dissoute conformément aux dispositions constitutionnelles »), la DISSOLUTION de l’Assemblée Nationale n’aura pas lieu. Monsieur Macky SALL venait d’inaugurer son mandat par un ratage très présidentiel, suivi aux quatre coins du monde : Première ADRESSE A LA NATION oblige.
COUP DE FORCE VENGEUR et/ou Calcul électoraliste ? L’argumentaire servi, la proximité de la date de dépôt des listes de candidats à partir du 7 Avril 2012, ne résiste pas à l’analyse. Depuis bientôt cinq ans, durée du mandat parlementaire, tout le monde savait que les prochaines Législatives étaient prévues dans le courant du mois de JUIN 2012.
Le Président SALL voulait-il signer sa VENGEANCE sur l’INSTITUTION qui avait provoqué sa chute ; ou DISCREDITER définitivement l’Assemblée nationale, dont le peuple des « ASSISES » rêvait le renforcement à travers le Régime parlementaire ? Les « Assises nationales » auront échappé de justesse à cet ENTERREMENT de première classe. Les calculs politiciens et les combinaisons partisanes ne doivent pas primer sur le RESPECT DES NORMES démocratiques : ON NE DISSOUT PAS UNE ASSEMBLEE EN FIN DE MANDAT. JAMAIS.
Dakar, plus chanceuse que Bamako, sera sauvé in-extremis d’un coup de force à la veille du scrutin. L’INTERRUPTION du calendrier républicain, telle que motivée par le Président SALL, relevait-elle d’une « vulgaire » ATTITUDE PUTSCHISTE ? Les constitutionalistes ENDORMIS depuis le 25 Mars voudront bien nous éclairer. La QUESTION est : « L’impréparation et/ou l’absence de consensus des partis politiques sont-elles constitutives d’un MOTIF de dissolution CONFORME à la loi fondamentale » ?

2°) Déclaration de politique générale, LE PM ABDOUL MBAYE BOYCOTTE LE PARLEMENT :
Nommé, il y’aura bientôt DEUX (2) MOINS, le PM n’a toujours pas honoré le rendez-vous républicain avec l’Assemblée Nationale, une OBLIGATION inscrite dans la Constitution, même si cette dernière est muette sur le délai. Est-ce par peur des JOUTES ORATOIRES dont l’Assemblée a le secret, ou par déconsidération pure et simple de l’INSTITUTION PARLEMENTAIRE, fût-elle en fin de mandat ? Pour sûr, on ne fait pas face aux députés dans ses petits souliers.
La déclaration de politique générale est le véritable ACTE-DE-NAISSANCE-POLITIQUE du nouveau Gouvernement. Elle doit être, SURTOUT dans le cas particulier de l’alternance politique, l’OCCASION D’UN BILAN CONTRADICTOIRE du régime précédent. Le DEBAT PARLEMENTAIRE, forme la plus achevée, est une EXIGENCE de la démocratie et de la nouvelle citoyenneté nationale-mondiale. Le PM préfère-t-il le CONFORT DOUILLET d’une chambre d’enregistrement, que le BBY lui promet à l’issue des législatives ? Soulignons, qu’entre-temps le PM aura PROMPTEMENT déféré à la convocation du BUREAU POLITIQUE (BP) de l’APR, dont il ne serait pas membre. Alors, M. Abdoul MBAYE, ou se situe l’OBLIGATION ? Dans le PARTI ou dans la CONSTITUTION ? Monsieur le PM vous êtes fort justement attendus sur la déclaration de politique générale. L’ETAT DES LIEUX, les orientations, les priorités, le court et le long terme. TOUT. Où est la VISION, déclinée en programme de gouvernement ? Saisir l’opportunité offerte, pour lancer les législatives, sera incontestablement un acte de haute portée politique.
Notons, par ailleurs, que le PM a lui aussi eu droit au RATAGE : sa très ‘’primatoriale’’ « baisse du prix des denrées, d’APPLICATION IMMEDIATE », aura attendu UN (1) MOIS pour voir ses premiers effets. Et encore. A l’annonce de la mesure et dans les jours qui ont suivi, les Gouverneurs, représentants de l’Etat, n’avaient pas encore convoqué les INSTANCES REGIONALES habilitées à la FIXATION DES NOUVEAUX PRIX. Monsieur MBAYE n’a pas su accorder son action avec les procédures, tant gouvernementales que commerciales. L’application immédiate CONDAMNAIT les commerçants à céder les denrées à prix inférieur au coût de leur acquisition. C’EST ABSURDE.

3°) Déficit des finances publiques, UN RATAGE DE LA COMMUNICATION GOUVERNEMENTALE :
Annoncé avec BEAUCOUP DE FRACAS par, le très bien informé ministre de l’intérieur Mbaye NDIAYE, puis renforcé par le très OFFICIEL PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT Serigne Mbaye THIAM, le déficit des finances publiques a créé le TRAUMATISME chez tous les Sénégalais. Depuis lors, AUCUN AUDIT des comptes publics ni de la dette intérieure et extérieure n’est venu étayer ou infirmer ces AFFIRMATIONS GRAVES, qui décrédibilisent le Sénégal sur la PLACE FINANCIERE MONDIALE.
S’y ajoutent les soupçons de DETOURNEMENTS de deniers publics, de VOLS et de PILLAGES de toutes sortes, dont l’INDEFENDABLE REGIME SORTANT « serait » l’auteur. Un procès commence toujours par une BATAILLE DE QUALIFICATION ; elle n’est jamais gagnée d’avance. L’ETAT : c’est Sérieux. Plutôt qu’un LYNCHAGE Médiatique, mieux vaut l’OUVERTURE D’UNE INFORMATION JUDICIAIRE POUR CONNAITRE DES FAITS. Et suivra, s’il y’a lieu, un procès en bonne et due forme. L’ETAT DOIT POSER DES ACTES et en informer le CITOYEN-CONTRIBUABLE. LA TRANSPARENCE DANS LA GESTION DES BIENS PUBLICS EST UNE EXIGENCE CITOYENNE.
Les errements notés dans saisie des « 600 véhicules » ont permis au Président WADE, de justifier, par avance sa défaite pour les prochaines législatives. Au détour d’une conférence de presse, l’ancien Président a laissé entendre que la saisie de « son » parc automobile était destinée à lui empêcher de faire campagne. WADE, une victime, rions à gorge déployée. Ses « fidèles-amis » lui enverront certainement 600 AUTRES véhicules. N’est-ce pas Monsieur le Président ? Toutefois le mouvement citoyen (RADHO, Y’en a marre, M23…), auréolé du titre trompeur de « FAISEUR-DE-PRESIDENT », doit rester VIGILENT et assumer pleinement sa fonction de contrôle pour des élections TRANSPARENTES.

4°) Deux ou trois sessions du Bac, UNE GRAVE MEPRISE DU MEN IBRAHIMA SALL :
Premièrement : Les deux (2) ou trois (3) sessions sont illégales au regard des dispositions réglementaires en vigueur. D’ailleurs, le Ministre de l’éducation nationale sera, si j’ose dire, recadré par le Directeur de l’Office du Bac : « UNE SESSION UNIQUE NORMALE à la fin de l’année scolaire OU DE REMPLACEMENT, pour cause de force majeure dûment constatée, au début du MOIS D’OCTOBRE».
Deuxièmement : L’illustre économiste Ibrahima SALL, en envisageant deux ou trois sessions du Bac, MULTIPLIAIT DE FAIT le coût de cet examen par autant (2 ou 3). Un DEPASSEMENT BUDGETAIRE doublé d’une PERTURBATION de l’année scolaire 2012-2013 en aurait résulté, quand on sait que le PAIEMENT DES INDEMNITES de déplacement d’une seule session est déjà un problème récurrent, SOURCE DE DEBRAYAGES ET GREVES des enseignants.
Troisièmement : La MULTIPLICATION des sessions (surtout celle initialement annoncée pour le mois de Novembre) tendait à DISCREDITER L’ECOLE SENEGALAISE. Soutenir, INVOLONTAIREMENT, la thèse que « les élèves n’étaient pas SUFFISAMMENT prêts pour passer les examens à la FIN des enseignements-apprentissages le 31 Juillet » était de nature à convaincre tous les PARTENAIRES, que cette année scolaire était définitivement COMPROMISE. Sinon, pourquoi avait-il besoin d’envisager le renvoi de l’évaluation au mois de NOVEMBRE, (TROIS (3) MOIS après la fin de l’année courante et UN (1) MOIS après la prochaine rentrée) ? POURQUOI DONC ?

Pour un SOUTIEN-CRITIQUE. Citoyens, la république nous appelle !
M. Momar Idrissa NDIAYE, Professeur LETFP/Thiès

3.Posté par Momar Idrissa NDIAYE le 09/06/2012 20:07
POLITIQUE DE PROXIMITE : Le Président se trompe-t-il de paradigme
«DECENTRALISER LA REUNION DU CONSEIL DES MINISTRES DANS LES REGIONS» :
La réunion du Conseil des ministres, ou plus exactement la tenue dudit conseil, n’est pas véritablement centralisée à Dakar. C’est justement pour l’Exécutif, dont le Palais de la république est le siège, l’instrument par excellence de prise de décision. DAKAR, capitale-administrative, est à la fois le LIEU NATUREL D’IMPLANTATION des Institutions de la république et leur LIEU D’EXERCICE ET DE FONCTIONNEMENT. Certes, une délocalisation du Conseil des ministres (parce que c’est de ça qu’il s’agit) est envisageable, mais sa portée reste SYMBOLIQUE.
DECONCENTRATION DU POUVOIR DE DECISION :
Une réelle politique de proximité devra plus fondamentalement reposer sur une véritable déconcentration du pouvoir de décision. LE MAITRE-MOT EST DECONCENTRATION. Exact, les régions ont besoin d’attention, mais c’est plus exactement le STATUT de la région administrative qui devrait évoluer. Cela dans le cadre d’une REFORME ADMINISTRATIVE CONSENSUELLE destinée au renforcement de la décentralisation et tournée résolument vers l’aménagement du territoire. La région, prise comme division administrative, pourrait tout simplement disparaitre. Emportant avec elle la Gouvernance et les Administrations régionales, la région laisserait ainsi place au département, devenu première division administrative munie de toutes les structures déconcentrées nécessaires à la GESTION DE PROXIMITE.
AMENAGEMENT DU TERRITOIRE :
Ne jamais perdre de vue que LE DEVELOPPEMENT HUMAIN, dont l’indice est très faible au Sénégal, REPOSE ESSENTIELLEMENT SUR L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE. Le Préfet chef de l’Exécutif-départemental, devra, bien plus que la fonction de représentation, IMPULSER ET CONDUIRE l’exécution de programmes locaux de développement(PDL). Ici, c’est le CONSEIL DEPARTEMENTAL DE DEVELOPPEMENT (CDD), et non pas en tant que tel le Conseil des ministres, qui est l’organe approprié dans la gestion de proximité. L’avantage du terrain confère aux acteurs-locaux une connaissance des hommes et du milieu INCONTESTABLEMENT inégalable. Mettre le pouvoir de décision entre ces MAINS EXPERTES est un gage de réussite dans une construction nationale équilibrée. Au fond ce qui importe ce ne sont pas les mots « Décret-présidentiel » ou « Arrêté-préfectoral », mais la réelle capacité d’action sur les hommes et sur le milieu.
COLLECTIVITE TERRITORIALE DECENTRALISEE :

Bien entendu, la région (NOUVELLE-FORMULE) érigée en collectivité territoriale décentralisée présente le plus grand intérêt pour (entre autres choses) le règlement de la crise casamançaise. Elle ne sera plus placée sous la TUTELLE d’un Gouverneur nommé, mais dirigée par un RESPONSABLE élu démocratiquement, donc, au LEADERSHIP accepté. Dotée d’une personnalité juridique et d’une autonomie de gestion, la région, sans être un Etat dans l’Etat, acquière de fait un STATUT POLITIQUE. La déconcentration (Décentralisation, Régionalisation…) peut, si j’ose dire, « libérer » la région, des pesanteurs d’une CENTRALISATION AUTORITAIRE.
Pour un SOUTIEN-CRITIQUE : Sénégalais debout.
M. Momar Idrissa NDIAYE, Professeur LETFP/Thiès



4.Posté par gorgus le 09/06/2012 20:10
vertu et éthique font bon ménage chez maky sall ! mais non belle demoiselle, tu rêves ou quoi ? ne te réveille pas alors !

5.Posté par Momar Idrissa NDIAYE le 09/06/2012 20:11
FONDS POLITIQUES, UNE GIGANTESQUE ESCROQUERIE

1°) ENRICHISSEMENT SANS CAUSE :
J’appelle le Président Macky SALL à vendre, aux enchères publiques au plus offrant, tous les biens mobiliers et immobiliers acquis à titre gratuit sous le régime de l’alternance ; le produit de la vente étant reversé au trésor public. D’abord l’enrichissement sans cause, brandi comme une épouvante par ses anciens frères du sopi, n’honore pas le Premier magistrat de la république. Ensuite son intégrité publique et son impartialité décriées peuvent, assurément, vider sa traque des biens mal acquis de tout son fondement éthique. Enfin s’appliquer, pour la pédagogie de l’exemple, les règles communes aux justiciables est le meilleur garant contre l’impunité bien comprise. Debout Monsieur le Président de la république. Honorer le drapeau national. Le devoir vous commande. Suivra, dans mon rêve, une exécution-immédiate. Rêve-lucide, sachant que votre salaire de président vous permet d’acquérir en toute propriété d’autres terrains (TF), maisons à l’étranger et véhicules. J’attendrais patiemment.

2°) TERRAIN A UN (1) MILLIARD : UN DETOURNEMENT D’OBJECTIF ?
L’ancien Président Abdoulaye WADE a acquis, selon les dires de son porte-parole Serigne Mbacké NDIAYE, un terrain à un (1) milliard sur les fonds politiques. Un président en exercice, bénéficie déjà d’une résidence officielle (les appartements privés du Palais de la république), d’une résidence secondaire à Popenguine et même de résidences hôtelières dans les tous réceptifs dont l’Etat est propriétaire ou actionnaire. Comment peut-il, dès lors, s’attribuer à titre gratuit un logement particulier (logement-non-officiel ou, ce qui est équivalent, un terrain) payé sur des fonds publics destinés au fonctionnement de l’Exécutif dans l’intérêt général ? Voilà un détournement d’objectif, opéré sur les fonds politiques et revendiqué, fière de leur impunité, dans une conférence de presse publique. Debout Monsieur Président Abdoulaye WADE, je vous appelle à rendre le milliard ainsi que tous les biens mobiliers et immobiliers que vous auriez acquis illégitimement sur les fonds politiques.

3°) FONDS SPECIAUX : LA GRANDE MYSTIFICATION
L'argent des fonds spéciaux, en principe destiné au fonctionnement de l'État, ne saurait être utilisé à des fins privées. La grande supercherie qui consiste à dépenser l’argent public sans déclaration et sans contrôle a fini de mettre la République à genou ; son Ethique de gestion et ses Finances sont à terre. Anciens Présidents de la République, de l’Assemblée nationale, du Sénat ou du Conseil économique et social, debout ! Anciens Premiers ministres, Ministres d’Etat, Ministres, Ministres-conseillers, debout ! Debout les mystificateurs.
Tous les bandits d’Etats doivent, sans plus tarder, rendre (ne serait-ce que la moitié 50%, les procédures judiciaires étant longues et aventureuses), les biens illicites pendant qu’il est encore temps. N’imaginons pas, par exemple, que le seul dépôt de la déclaration de patrimoine devant le Conseil Constitutionnel peut servir et valoir de quitus de bonne conduite mettant les déclarants à l’abri de poursuites devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite. Non, la plus haute juridiction est à l’opposé d’une officine de blanchissement d’argent. Son domaine est le droit et non le monstrueux. Honneur et respect aux juges d’hier et d’aujourd’hui.

4°) SENEGALAIS DEBOUT, UN AUTRE SENEGAL EST POSSIBLE :
Pour conclure, espérons que le Conseil constitutionnel dont la réforme est envisagée pourra enfin se prononcer sur la validité des actes (déclaration de patrimoine), leur sincérité et conformité avec les lois de la république (notamment la loi sur l’enrichissement illicite). La république veut qu’on donne du sens aux actes posés. Servir et non se servir, la république nous appelle tous. Que répondre, sinon présent.
Pour un soutien critique
M. Momar Idrissa NDIAYE, Professeur LETFP/Thiès

6.Posté par TawFik le 09/06/2012 21:56
Elle veut juste le coup de Nene Farimata Tall qui est sans diplôme ni expérience avérée . Avec un seul article contre Aliou Sow, la fille Tall s'est faite bombarder PCA de la Lonase. Article d'ailleurs qui a été rédigé par quelqu’un d'autre. Toutes maintenant veulent faire pareil. Macky sera pire que Wade. Je regrette déjà d'avoir voté pour lui au deuxième tour. Comment peut on nommer PCA ? , un poste si stratégique à qq un qui n'a jamais eu d'expérience dans sa vie. Même le bac qu'elle prétend avoir le voisinage semble ne pas être au courant car l'ayant loupé deux fois. Lanase sera cassé pour du clientélisme et d'autre boites !«

7.Posté par astarbi le 09/06/2012 22:14
pour restaurer un république gravement détruite il faut du temps de grace peuple senegalais laisser lui travailler .un pays ne peut developper en 3 mois c impossible. les insultes sur les medias c du réwandé .merci

8.Posté par moi le 09/06/2012 22:23
Ah Thioro! je savais pas que tu étais intélectuelle. Je croyais que étais caissier de magasin. Ton niveau est tellement bas.
Si Macky doit compter sur vous on est mal barré

9.Posté par LOL le 09/06/2012 23:05
Je pense aussi que thioro imite néné Tall pour se faire remarquer et avoir sa part du gâteau.

10.Posté par big man le 09/06/2012 23:36
melle tu fait partie des gugusse à retardement de la république. nous comprenons ton jeu, juste une petite part et même si le peule m'amenuise ce n'est pas vos sou_cis, same on you

11.Posté par Mbabadiakhou le 10/06/2012 00:50
Restaurer la démocratie !!!!
tu fais rire, sans démocratie pas d'alternance politique
et ce n'est pas la personne qui avait forcé le vote sans présenter sa pièce d'identité qui nous instruira en matière des RESPECT DES LOIS ET RÈGLEMENTS

Je n'espère rien de votre équipe de menteuses et menteurs, manipulatrices et manipulateurs sinon je prie le Bon Dieu pour que le temps file à la vitesse grand V de la lumière pour nous rendre le tablier

franchement tu n'es pas de bonne foi

12.Posté par Tawfiik ou narfeekh le 10/06/2012 01:51
Tawfiik arrête de mentir la demoiselle tall dont tu parles à un bac plus 4 et est très expérimentée, elle a commencé à travailler avant de terminer ses études, son dernier boulot c t a la cbao. So khamoul boul fen ak di sooss!!!

13.Posté par sen baye le 10/06/2012 19:48
Elle s'exprime en disant la vérité et vous vous etres des jaloux, des nazes, des salops et si vous etiez a sa place vous serez de vrai salop en volant de l'agent jalouxxxxxxxxxxxxxxxxx

14.Posté par sarra le 10/06/2012 21:09
Mll Fall on n'est de tout coeur avec vous, il faut réstaurer la république,et c'est de notre devoir a nous tous

15.Posté par mandoye le 11/06/2012 02:23
mon cul pétasse

16.Posté par Siddiq le 11/06/2012 18:37
pour être objectif il faut faire constater que Macky n'a fait qu'entamer un mandat pour lequel il lui manque encore du temps pour que l'on puisse dire ou affirmer qu'il y a une révolution républicaine. Au demeurant celle-ci se mesure à travers la restauration des valeurs institutionnelles ( entre autres, séparation des pouvoirs, indépendance de la justice...) mais tel que les choses ont démarré avec lui on risque de perpétuer du wade sans wade

17.Posté par apr le 13/06/2012 10:44
Non mais franchement les gars, je suis triste d'être une femme dans mon propre pays. Comment se fait-il que toutes les femmes sont traitées de putes ou de pétasses? les femmes n'ont t'elles plus le droit de donner leur avis? Vous êtes pathétiques messieurs. N'avez-vous rien d'autre à faire que d'insulter les femmes? Khanna djigén diouroulénn ? Dolén rouss sakh.

18.Posté par apr le 13/06/2012 10:50
Et puis entre nous, c'est très facile de se réfugier derrière sa machine incognito et de balancer des insultes. Si seulement vous osiez le faire à visage découvert !!!!! Cette jeune dame ainsi que Néné Fatoumata Tall ont le mérite de porter au moins les couleurs d'un parti et d'en assumer fièrement le choix. Avec de telles réactions, je suis convaincue que ce n'est pas demain la veille que notre pays va se développer car on se rend compte de l’énormité de nos tares, sokhor ak kignannn et cela aucun chef d'Etat si dévoué soit-il, n'y pourra rien. C'est à un niveau individuel !!!

19.Posté par Thiey les nouveaux cadres le 15/06/2012 14:29
Aujourd'hui n'importe qui se lève pour s'auto-proclamer cadre. Cadre en quoi, Informatique, Maçon, Mécanique, Politique ? Un terme qui deviendra aussi péjoratif que le mot Intellectuel.

Cette fille fait trop de fautes dans son article :

" Les citoyens sont convaincus qu’un autre sénégalais est possible. " => .. un autre Senegal est possible ...
" A ces groupes ... nous leur rappelons ...' => A ce groupe ... nous rappelons.
" A ces groupes ... nous leur rappelons que des positions et de rentes sont révolues " => Elle voulais sans doute dire "le temps des positions ... "

" La révolution républicaine amorcé le 23 juin et matérialisé le 25 Mars 2012 à définitivement sonné le glas de ces pratiques. " => amorcéE, matérialiséE, A définitivement ...

Des fautes aussi terre à terre prouve qu'elle ne mérite même pas un poste de secrétaire. Mais comme l'APR est un parti politique de transhumants, on sera pas étonné de la voir devenir ministre. Au moins son apparence physique peut être un atout.

20.Posté par Thiey les nouveaux cadres le 15/06/2012 14:34
@apr

Franchement je ne vois pas où se trouve le mérite à chanter les louanges d'un homme aussi puissant et riche que le président. En langage humain ça s'appelle de l'opportunisme.

Moi je lui conseille d'apprendre un métier au lieu de s’autoproclamer cadre dans un article nul et bourré de fautes.

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