Lors de l'audition de Farba Ngom au Pool judiciaire financier, le commissaire Keïta n’a pas mâché ses mots. Selon lui, l'événement était attendu, un dénouement inévitable. "Ce pays, nous ne le laisserons pas aux mains de ceux qui sont arrivés ici par hasard, qui ont défoncé tout sur leur passage", a-t-il martelé. Pour le commissaire, il s'agit d'une bataille contre l'incompétence et l'amateurisme qui gangrène les institutions. La politique de répression et de maltraitance, à ses yeux, ne saurait être tolérée plus longtemps. Il a fait un appel vibrant à la mobilisation de ceux qui, comme lui, croient que le Sénégal mérite mieux que les pratiques actuelles.
Farba Ngom, une cible privilégiée dans ce combat, n’est pas un simple acteur politique. Le commissaire Keita le défend ardemment, soulignant ses réussites passées et son rôle crucial dans l'opposition. À ses yeux, l’ancien allié politique devenu adversaire représente bien plus qu'un simple homme politique : il est le symbole de la résistance à un système qu’il qualifie de "totalement inapte". Le Commissaire Keïta, loin d’être effrayé par les intimidations, affirme que cette lutte est indispensable pour "libérer le Sénégal des mains de ceux qui ne font que manipuler et corrompre".
L'implication des juges dans cette affaire et les accusations de corruption n’ont pas échappé au Commissaire Keïta. Le renvoi des magistrats à Tambacounda et le refus du président de sortir du Conseil supérieur de la magistrature ont alimenté ses critiques. Pour lui, cette justice est "couchée depuis trop longtemps", et il promet de continuer à dénoncer ces dérives. Il n’a pas non plus, manquer d'attaquer les membres du clan Pastef, qu’il accuse de se fédérer autour d’intérêts incompréhensibles.
Farba Ngom, une cible privilégiée dans ce combat, n’est pas un simple acteur politique. Le commissaire Keita le défend ardemment, soulignant ses réussites passées et son rôle crucial dans l'opposition. À ses yeux, l’ancien allié politique devenu adversaire représente bien plus qu'un simple homme politique : il est le symbole de la résistance à un système qu’il qualifie de "totalement inapte". Le Commissaire Keïta, loin d’être effrayé par les intimidations, affirme que cette lutte est indispensable pour "libérer le Sénégal des mains de ceux qui ne font que manipuler et corrompre".
L'implication des juges dans cette affaire et les accusations de corruption n’ont pas échappé au Commissaire Keïta. Le renvoi des magistrats à Tambacounda et le refus du président de sortir du Conseil supérieur de la magistrature ont alimenté ses critiques. Pour lui, cette justice est "couchée depuis trop longtemps", et il promet de continuer à dénoncer ces dérives. Il n’a pas non plus, manquer d'attaquer les membres du clan Pastef, qu’il accuse de se fédérer autour d’intérêts incompréhensibles.
Autres articles
-
Guinée: report du procès en appel d'un opposant pour offense au chef de la junte
-
Niger: le chef du régime militaire proclamé président de la république
-
Football : la Côte d’Ivoire renonce à organiser la CAN U20 à quelques semaines du coup d’envoi
-
Secteur minier – Fonds d'appui et de péréquation et fonds d'appui au développement local : "Les élus locaux doivent se mobiliser pour récupérer cette manne financière" (Demba Seydi, CAJUST)
-
Communiqué du CNRA aux médias : Le CDEPS exprime son inquiétude, relève des manquements du régulateur et l’appelle à faire preuve de responsabilité.