L’intersyndicale du secteur primaire passe à l’action. Réunie en visioconférence pour évaluer ses préavis de grève arrivés à terme le 7 février 2025, la coordination syndicale a dénoncé l’inaction du gouvernement et, en particulier, le silence du ministre de la Fonction publique, Olivier Boucal. Face à cette inertie, un plan d’action progressif a été arrêté, avec pour point d’orgue une grève générale de 72 heures, prévue du 19 au 21 février.
Le mouvement de contestation débutera dès le lundi 17 février par un débrayage, suivi d’une assemblée générale à 10 heures. Ce même jour, les travailleurs arboreront des brassards rouges en signe de protestation, une action qui se poursuivra le lendemain, mardi 18 février. Cette journée sera également consacrée à une tournée de sensibilisation et de mobilisation auprès des travailleurs du secteur.
L’ultime étape du plan d’action sera une grève générale de 72 heures sur l’ensemble du territoire national, du mercredi 19 au vendredi 21 février.
En dénonçant le « mutisme » du ministre de la Fonction publique, les syndicats du secteur primaire entendent mettre la pression sur le gouvernement pour obtenir gain de cause. Si aucune réponse n’est apportée d’ici la fin de cette première phase de mobilisation, l’intersyndicale pourrait durcir encore davantage son mouvement.
Reste à savoir si le gouvernement prendra la mesure de la colère des travailleurs et ouvrira le dialogue avant que le conflit ne s’envenime.
Le mouvement de contestation débutera dès le lundi 17 février par un débrayage, suivi d’une assemblée générale à 10 heures. Ce même jour, les travailleurs arboreront des brassards rouges en signe de protestation, une action qui se poursuivra le lendemain, mardi 18 février. Cette journée sera également consacrée à une tournée de sensibilisation et de mobilisation auprès des travailleurs du secteur.
L’ultime étape du plan d’action sera une grève générale de 72 heures sur l’ensemble du territoire national, du mercredi 19 au vendredi 21 février.
En dénonçant le « mutisme » du ministre de la Fonction publique, les syndicats du secteur primaire entendent mettre la pression sur le gouvernement pour obtenir gain de cause. Si aucune réponse n’est apportée d’ici la fin de cette première phase de mobilisation, l’intersyndicale pourrait durcir encore davantage son mouvement.
Reste à savoir si le gouvernement prendra la mesure de la colère des travailleurs et ouvrira le dialogue avant que le conflit ne s’envenime.
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