Pour cette année 100 000 tonnes de coton a transité par Dakar en provenance du Mali. En partenariat avec Bolloré Africa Logistics, les Entrepôts du Mali au Sénégal (EMASE) et la Compagnie Malienne pour le Développement du Textile (CMDT), le Port Autonome de Dakar a organisé une cérémonie marquant le franchissement de ce seuil des cent mille (100 000) tonnes de trafic pour le coton.
De 45 000 tonnes de coton qui passaient les années dernières par le Port de Dakar, le seuil est passé à 100.000 tonnes de trafic, ce qui a fait dire au Directeur général du Port Cheikh Kanté, qu’« aujourd’hui, notre rêve vient de se réaliser», a-t-il fait savoir.
Un défi réussi pour la compagnie malienne dont le président, Kalfa Sanogo a vite fait les ardeurs de Bolloré Africa Logistics. La multinationale française qui tablait sur 500.000 tonnes sous peu a vu ses ardeurs freinées au nom du réalisme par Kalfa Sanogo. Pour 2018, on pourrait tabler sur un peu plus de 600.000 tonnes. Des prévisions soumises hélas aux conditions pluviométriques, à l’environnement économique aussi. De ce point de vue, le triangle sud qui abrite l’essentiel des productions a besoin de mesures incitatives notamment les subventions aux producteurs. Le coton qui est la principale ressource du pays à part l’or offre de grandes perspectives pour le pays sachant que la production annuelle a dépassé les 350000 tonnes dont les 250.000 ont été exportés vers le port d’Abidjan. Le coton pour la petite histoire contribue pour 12% dans le Pib malien.
Enfin, Dr Cheikh Kanté s’est dit optimiste quant aux capacités du Mali d’augmenter les 100.000 tonnes en mettant en lumière le saut qualitatif réalisé. L’occasion de féliciter les chargeurs et la Cmdt pour la confiance placée sur le Port Autonome de Dakar.
Cette cérémonie qui est un symbole fort de la dynamique de performance dans laquelle s’est inscrit le Port, a regroupé toute la communauté des acteurs portuaires parmi lesquelles Christophe Pujalte directeur régional de Bolloré. « Sans notre participation, il serait difficile d'exporter le coton » a-t-il fait savoir. Le soutien du Groupe à la filière coton se traduit par d'énormes investissements dans le rail, dans le matériel de manutention spécifique et par des infrastructures importantes, des hangars de stockage aux normes internationales, sans oublier l'aspect financier des fonds engagés ajoutera t-il en outre.
Pour finir M. Pujalte de noter que l’objectif finalement vise à développer la fluidité du trafic de coton via Dakar et à faire passer tout le trafic de coton malien par Dakar, qui est la porte de sortie naturelle du Mali ...
De 45 000 tonnes de coton qui passaient les années dernières par le Port de Dakar, le seuil est passé à 100.000 tonnes de trafic, ce qui a fait dire au Directeur général du Port Cheikh Kanté, qu’« aujourd’hui, notre rêve vient de se réaliser», a-t-il fait savoir.
Un défi réussi pour la compagnie malienne dont le président, Kalfa Sanogo a vite fait les ardeurs de Bolloré Africa Logistics. La multinationale française qui tablait sur 500.000 tonnes sous peu a vu ses ardeurs freinées au nom du réalisme par Kalfa Sanogo. Pour 2018, on pourrait tabler sur un peu plus de 600.000 tonnes. Des prévisions soumises hélas aux conditions pluviométriques, à l’environnement économique aussi. De ce point de vue, le triangle sud qui abrite l’essentiel des productions a besoin de mesures incitatives notamment les subventions aux producteurs. Le coton qui est la principale ressource du pays à part l’or offre de grandes perspectives pour le pays sachant que la production annuelle a dépassé les 350000 tonnes dont les 250.000 ont été exportés vers le port d’Abidjan. Le coton pour la petite histoire contribue pour 12% dans le Pib malien.
Enfin, Dr Cheikh Kanté s’est dit optimiste quant aux capacités du Mali d’augmenter les 100.000 tonnes en mettant en lumière le saut qualitatif réalisé. L’occasion de féliciter les chargeurs et la Cmdt pour la confiance placée sur le Port Autonome de Dakar.
Cette cérémonie qui est un symbole fort de la dynamique de performance dans laquelle s’est inscrit le Port, a regroupé toute la communauté des acteurs portuaires parmi lesquelles Christophe Pujalte directeur régional de Bolloré. « Sans notre participation, il serait difficile d'exporter le coton » a-t-il fait savoir. Le soutien du Groupe à la filière coton se traduit par d'énormes investissements dans le rail, dans le matériel de manutention spécifique et par des infrastructures importantes, des hangars de stockage aux normes internationales, sans oublier l'aspect financier des fonds engagés ajoutera t-il en outre.
Pour finir M. Pujalte de noter que l’objectif finalement vise à développer la fluidité du trafic de coton via Dakar et à faire passer tout le trafic de coton malien par Dakar, qui est la porte de sortie naturelle du Mali ...
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