A l'analyse des cas Mor Ngom/Augustin Tine, ceux qui ont toujours juré que les sanctions présidentielles sont ciblées, n’ont peut-être pas tort. Selon « l’As » deux sont dans la même situation. Ils ont tous les deux gagné dans leur patelin et ont été écrasés dans leur département. Si Dr Augustin Tine n’a gagné que la commune de Fandène, Mor Ngom a aussi remporté la localité de Ndangalma. Par contre, ils ont tous les deux essuyé une cinglante défaite dans leur département. Mor Ngom a été renvoyé à ses études par Aïda Mbodj, tandis que Augustin Tine, à l’époque «vice-Premier ministre» a été écrabouillé par Idrissa Seck. Mieux, on peut même dire que Mor Ngom est plus méritant. En effet, en terme de population, Ndangalma fait trois fois plus que Fandène. Et puis, la liste du challenger de Augustin Tine avait été presque écartée. Elle n’a été autorisée à compétir qu’à 48h du scrutin. Alors question : pourquoi avoir sanctionné Mor Ngom et laissé Augustin Tine ?
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